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Tales of Symphonia for ever
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20 mars 2010

Neko Zélos - par The Real Sheena

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20 mars 2010

Inchangés - par The Real Sheena

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20 mars 2010

Drunk - par The Real Sheena

Drunk

4 février 2010

[OS] S.O.S d'un Elu en détresse - par Marina Ka-Fai

Meltokio, la ville des nobles de Tésséha’lla. C’était dans cette ville qu’était né Zélos Wilder. Son avenir semblait brillant, son père était l’Elu de Tésséha’lla, sa mère était l’une des plus hautes dames de la Cour, il était doué et mignon. La famille parfaite ? Pas vraiment, ses parents ne s’aiment pas, sa mère ne l’aimait pas. Mais lui espérait qu’un jour elle l’aimerait. Il y avait Sébastien, le domestique attitré de Zélos qui l’aimait bien et puis son père l’aimait aussi alors avec un peu de chance….Sauf que son père se donna la mort quand Zélos avait sept ans. L’enfant hérita du titre d’Elu et se retrouva donc seul avec sa mère Mylène, qui se mit à haïr encore plus cet enfant. Et Zélos ne pouvait plus compter sur l’innocence de l’enfance, il le voyait bien qu’elle ne l’aimait pas, qu’elle ne l’aimerait jamais mais il continuait d’espérer. Trois ans plus tard, Zélos apprit que son père avait une maîtresse, une femme qu’il aimait, et qu’il lui avait même fait un enfant : Sélès, une petite fille de quatre ans. Zélos la haïssait sans le vouloir mais toute cette haine s’envola quand il vit la petite lui sourire en l’appelant « Grand Frère ». Sélès n’y était pour rien, et puis, au moins Zélos n’aurait plus été seul. Eh bien, raté ! La mère de la petite Sélès essaya de tuer Zélos mais Mylène le protégea, périssant à sa place. Que furent ses derniers mots selon vous ? « Je t’aime Zélos », ou encore « Ca va ? Tu n’as rien ? Bien, tant mieux ! » ?

Non ses derniers mots furent « Tu n’aurais jamais dû naître, je n’aurais jamais dû te mettre au monde ».

Si elle l’avait protégé, ce n’était pas parce qu’il était son fils, c’est parce que c’était l’Elu.

Mylène ignorait à quel point ses mots allaient marquer son fils. Il se retrouva seul, Sélès ayant été enfermée dans une abbaye. Il n’avait pas d’amis sincères. Seul, seul toujours et infiniment, indéniablement seul. C’est dans la foule que ma solitude me pèse le plus disait Hemingway. Oh combien pour Zélos cette phrase était vrai ! Il se construisait un sourire et une attitude de façade, noyant sa solitude et sa souffrance dans les fêtes, flirtant sans pour autant concrétiser, histoire de ne pas donner sans le vouloir son sang maudit à un enfant innocent qui pourrait venir au monde. Zélos joua cette comédie jusqu’à l’âge de vingt-deux ans. Ce fut lors de ce vingt-deuxième printemps qu’il rencontra Sheena Fujibayashi, une ninja du village de Mizuho, elle aussi seule et marquée par une tragédie. Enfin une vraie amie dans la vie de Zélos ! Petit à petit, il en tomba amoureux mais ne le montra jamais, comment lui imposer sa présence ? Son sang de damné ? Son sang d’assassin ? Lui qui était responsable du malheur de sa famille….Puis il rencontra un groupe prétendant venir de Sylvarant, un monde déclinant parallèle à ce lui de Tésséha’lla. Il y avait Lloyd, le jeune homme innocent pas très futé mais si gentil, Colette, l’Elue de Sylvarant candide et généreuse, Génis le petit mage intelligent irritant mais sympathique et Raine l’enseignante un peu brutale mais douce. Il voyagea donc avec Sheena et eux. Il se lia même d’amitié avec, c’est pour vous dire ! Il rencontra par la suite Préséa, une enfant à qui on avait volé sa liberté et Régal, un homme déchiré par l’amour et qui pour soulager les souffrances de sa belle avait dû la tuer. Zélos s’était lié d’amitié avec tous comme si c’était naturel. Mais ce qui l’étonnait, c’était qu’on l’aimait pour lui, pas pour son titre. Il se retrouva embarqué dans une odyssée pour sauver Sylvarant et Tésséha’lla. Et pour une fois, Zélos se sentait utile dans ce bas monde. Il combattait, pouvait utiliser la magie, pouvait soigner des blessures légères, il cuisinait relativement bien. D’ailleurs le premier à le complimenter fut Lloyd pour son curry, ce qui fut suivi par une salve de compliments, ce qui quelque part le gênait, même s’il n’en montrait rien Il gardait ce masque jovial pour n’inquiéter personne, il se sentait aimé pour de vrai mais bizarrement toujours aussi seul. Il ne comprenait pas comment on pouvait aimer un être comme lui. Un jour, le groupe était de passage à Meltokio. Rien ne pressait et tous étaient fatigués. Zélos leur proposa de se reposer chez lui. Revoir son manoir revivre par la présence de tant de gens lui faisait chaud au cœur. Nostalgie, nostalgie quand tu nous tiens. Il se revoyait jouer avec son père, puis avec Sélès et Sébastien. Il se détourna légèrement du groupe et se mordit la langue pour ne pas pleurer, Zélos n’avait plus pleuré depuis la mort de sa mère, il s’était juré de ne plus pleurer pour ce monde froid, hypocrite, empli de solitude. Cela faisait douze ans déjà qu’il portait sa croix en silence, mais aujourd’hui, il n’en pouvait plus, il craquait. Pourquoi vivait-il encore ? Pourquoi ? Il ne méritait pas tant d’amour, tant d’affection, il en était persuadé, il n’aurait jamais dû naître après tout !

Du coin de l’œil, Lloyd le vit trembler.

 

-Que t’arrive t-il Zélos ?

 

L’Elu se retourna brusquement, regardant le jeune homme.

 

-Rien, j’ai juste un peu froid à cause d’un courant d’air.

 

Lloyd n’était peut-être pas très futé mais il savait reconnaître une explication d’un prétexte. Quelque chose n’allait pas, même pas du tout. Il se jura d’aller parler à Zélos au soir, quand tout le monde serait couché, au moins comme ça, il était sûr de pouvoir lui parler en tête à tête. Heureusement qu’il se fit cette promesse !

 

Le soir vint et tout le monde alla dormir. Sauf Lloyd qui attendait que tout le monde soit bien couché et Zélos qui réfléchissait. Il était fatigué, fatigué de vivre. Sa vie n’avait aucun sens, il n’était qu’une erreur, il avait détruit sa famille et il avait même réussi à faire en sorte que Lloyd s’inquiète pour lui par-dessus le marché ! Franchement il abusait ! A quoi bon être sur Terre après tout ? Tout le monde serait beaucoup plus heureux sans lui. Le suicide, c’est le courage de ceux qui n’en n’ont plus, dixit Baudelaire. Zélos n’en avait plus. Il prit une corde, fit un nœud bien solide, l’accrocha à une poutre. Il monta sur un tabouret, passa son œuvre autour de son cou et poussa brusquement le tabouret, se laissant pendre, l’air lui manquant, les ténèbres l’attirant dans leur cœur obscur.

Lloyd se dirigeait dans la chambre de Zélos, bien décidé à savoir ce qui tracassait son ami. Il pénétra dans la pièce et la première chose qu’il vit fut le corps du jeune homme pendant au dessus du sol. Réagissant promptement, il cassa la corde avec une de ses épées, rattrapa Zélos inconscient, retira la corde de son cou, laissant le pauvre garçon infortuné respirer. Il se mit à tousser violemment portant ses mains à sa gorge. Lloyd le tenait dans ses bras, lui parlant gentiment. Il lui disait « C’est fini, tout va bien maintenant. » en lui caressant les cheveux. L’Elu ouvrit doucement les yeux pour entrevoir avec difficulté le visage de son sauveur. Lloyd. Quelque part ça ne l’étonnait pas que se soit lui, l’idéaliste qui croyait que chacun avait le droit de vivre dès la naissance, que la mort ne rimait à rien.

 

-Zélos pourquoi ? Pourquoi bon sang ?

-Parce que ma vie n’est qu’une plaisanterie.

- Arrête de déconner, tu veux ?

 

Voyant que le rouquin ne rigolait pas, Lloyd soupira et tous les deux, ils allèrent à la cuisine. Les domestiques dormant, et ne voulant pas les réveiller, le jeune Aurion prépara lui-même deux tasses de thé bien chaudes. Zélos en but une gorgée, le chaud se répandant dans sa gorge.

 

-Zélos, explique-moi, pourquoi ?

- En quoi ça te regarde ?

-Ca me regarde parce que tu es mon ami !

-Tu aurais dû me laisser mourir.

-Explique-moi, alors je comprendrais peut-être ce que tu dis.

 

Zélos se dirigea vers la fenêtre, regardant l’obscurité dehors, ses doigts touchant le reflet d’un jeune homme épuisé. Il soupira, se mit à trembler pour ensuite éclater en sanglots qu’il ne put refouler. Aussitôt

Il sentit les bras de Lloyd l’enlacer. Il se laissa bercer doucement. Puis, sans savoir se qui l’y poussait, il se mit à raconter. Il raconta son enfance, le suicide de son père, Sélès, sa solitude, la mort de sa mère.

 

-Ses derniers mots ont été « Tu n’aurais jamais dû naître, je n’aurais jamais dû te mettre au monde ». Et le pire dans l’histoire, c’est qu’elle a raison, je n’aurais pas dû être de ce monde ! Je rends tout le monde malheureux ! La mort de mon père, celle de ma mère, Sélès enfermée à l’abbaye, tout cela est de ma faute, uniquement la mienne !

 

Et il continuait de pleurer, il pleurait ses douze années de douleur. Un éclair zébra le ciel et la nuit se mit à pleurer avec lui. Mon dieu, comme Lloyd se sentait impuissant ! Tout ce qu’il pouvait faire, c’était le consoler maladroitement en le serrant dans ses bras. Soudain, Zélos sortit de la pièce en courant, suivi par un Lloyd déboussolé. Il courut à travers la ville, se dirigeant vers le cimetière où reposaient ses parents.

Il tomba à genoux et tapa le sol de ses poings, commençant à crier sur la tombe de sa mère.

 

-Je n’aurais jamais dû naître hein ? Tu n’avais qu’à m’abandonner ! Je n’ai jamais demandé à venir ! Tes derniers mots ont fait de ma vie un enfer ! Si tu savais, je te hais autant que je t’aime !

 

Puis se tournant vers celle de son père.

 

- Et toi, quelle idée tu as eu de te tuer ! Tu m’as abandonné et tu as abandonné Sélès ! Si tu voulais épouser sa mère, tu n’avais qu’à faire en sorte que je ne naisse pas, comme ça tu aurais eu une excuse pour répudier Maman qui se serait remarié à son amant ! Et toi tu serais en vie, heureux ! Sélès aurait eu un père ! Quand à moi, je n’aurais pas autant souffert !

 

Zélos tremblait, à la fois de froid et de colère, sa tristesse s’échappant peu à peu. Il pleurait toujours. Enfin de compte, lui qui se croyait adulte depuis la mort de sa mère, réalisa qu’il était toujours un enfant abandonné. Lloyd lui avait ouvert les yeux sans le vouloir.

Le jeune homme se leva pour se retrouver nez à nez avec son ami.

 

-Rentrons Zélos, tu es trempé et tu risques d’attraper froid.

-Lloyd, je peux te demander un service ?

-Bien sûr.

-Tu peux rester avec moi cette nuit ?

-Tu crois que je t’aurais laissé seul après la frayeur que j’ai eue ?

- J’ai un autre service si je n’abuse pas trop…

-Dis toujours.

-Tu ne m’abandonneras jamais hein ?

 

Zélos leva ses yeux bleus vers Lloyd. L’Aurion y voyait peur, tristesse, désespoir. Alors il lui répondit en souriant :

 

- Jamais vieux.

 

Zélos sentit son cœur bondir de joie. Enfin sa souffrance allait s’arrêter ! Il n’était plus seul ! Quelques jours après cette histoire, il était enrhumé mais il avait des amis et il était en vie.

C’est déjà pas mal non ?

 

FIN

 

 

5 janvier 2010

[OS] Juste une petite histoire de cheveux - par Marina Ka-Fai

Hello les gens, me revoilà !

Eh non je ne suis pas morte !

Je vous propose une petite fic tapée sur Word et basé sur TOS et son aspect ludique jamais vu : les cheveux XD

 

Couples : Colloyd –Yuartel- PronymaxYggdrasill - Géséa et relations parentales/amicales

 

Merci à tous ceux qui me lisent et reviews, c’est adorable !

I do not own Tales of Symphonia , neither I do not own their characters.

Enjoy!

 

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 Juste une petite histoire de cheveux

 

Yuan Ka-Fai avait toujours été fier de lui-même. Sans orgueil mal placé. Il est vrai que Yuan avait quasiment toujours réussi ce qu’il entreprenait. Et toujours sans orgueil mal placé, sans devenir un Narcisse en puissance, il était assez fier de son physique, surtout de ses cheveux. Longs, lisses et bleus azurés que Martel aimait tant caresser. C’est pourquoi Yuan prenait le plus grand soin pour sa chevelure, ainsi Martel restait présente encore une fois dans son cœur déjà plein de ses souvenirs. Une fois au Ciel après sa mort, elle aurait de nouveau le plaisir de les caresser comme elle les avait connus.

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Si Zélos Wilder gardait ses cheveux longs, ce n’était ni par coquetterie ni parce que cela augmentait son charme. Zélos Wilder était un peu fainéant pour cette partie de son corps. Il les lavait et les entretenait bien entendu mais il les laissait toujours pendre dans son dos. Il ignorait tout de l’art de la queue de cheval ou de la natte. Aussi quand Lloyd lui proposait de les coiffer il disait toujours oui. Le fait d’ignorer tout de l’art de la coiffure avait un avantage, au moins Zélos et Lloyd passaient un moment agréable et drôle ensemble.

C’est pourquoi à ce jour Zélos Wilder n’a toujours pas appris à se nouer les cheveux.

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Quand Lloyd était enfant, Kratos lui brossait souvent les cheveux. Une activité réservée aux femmes, direz-vous ? Selon Kratos non. Il aimait brosser les cheveux de son petit car à chaque fois petit Lloyd jouait sagement sur ses genoux, lui racontant ce à quoi il jouait avec Maman ou Noïshe. Séparé de son fils pendant quatorze ans, la femme de sa vie morte, ce rituel manquait horriblement au Séraphin, priant lorsqu’il se couchait de ne pas voir le soleil se lever le lendemain.

Peu après leurs retrouvailles, Lloyd avait confié qu’il avait quelques souvenirs de son enfance mais il semblait qu’il avait oublié ce moment. Un matin, il rejoignit son père, ses cheveux étant lâchés. Là oui, la ressemblance avec Kratos était encore plus troublante. Il avait à la main deux élastiques et une brosse. Lloyd demanda donc à son père s’il pouvait l’aider à se coiffer.

-Comme quand j’étais petit ! Ajouta t-il

Pour la première fois depuis qu’il coiffait son fils, Kratos le faisait non pas en souriant comme il en avait l’habitude, mais en pleurant d’émotion. Comment avait t-il put souhaiter ne plus voir le soleil se lever ?!

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Aussi loin qu’il se souvenait, Mithos Yggdrasill avait toujours connu Pronyma avec ses beaux cheveux vert forêt attachés.

-C’est plus pratique pour travailler. Lui avait-elle dit.

Faux prétexte pensait Mithos

Et pourtant, il rêvait de voir sa Pronyma d’amour avec ses cheveux lâchés. Aussi, il s’arrangea et fit en sorte qu’elle ne retrouve pas ses élastiques. Ce fut donc une Pronyma aux cheveux longs lui tombant au bas des reins qu’il vit le lendemain de son forfait. Elle était encore plus belle ainsi si c’était possible, plus sexy…

Et Mithos ne put s’empêcher de l’embrasser.

- Tu vois Mithos, c’est pour cette raison que j’attache mes cheveux. Si je ne le fais pas, tu me sautes dessus.

Et apparemment, ça ne la gênait pas tant que ça Pronyma !

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Depuis qu’elle était toute petite, Colette Brunel laissait pousser ses cheveux blonds. Pas pour elle non. Elle pouvait les avoir longs ou courts, peu lui importait jusqu’à ce qu’un petit Lloyd énamouré et âgé de dix ans lui dise un jour :

- Tes cheveux sont si beaux ! Ils ont la couleur du soleil, alors même s’il pleut, il me suffit de les voir pour que ma journée s’illumine !

Depuis ce jour, elle les laissait pousser, devenir plus longs afin que « le soleil » soit toujours plus grand, afin que les journées de Lloyd soient toujours lumineuses tout au long de sa vie.

Le concerné lui en était gré. A ce jour, le nombre de bijoux et de barrettes fabriquées par Lloyd pour Colette s’élève à trois cents douze, sans compter les autres cadeaux qu’il lui a offert, dont un petit être portant leur sang et qui allait naître de leur amour bientôt.

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Un jour, Préséa se cassa le bras en tombant d’un ptéroplan. Et évidemment elle se cassa le bras avec lequel elle écrivait. Comment allait-elle faire pour faire ses couettes, celles qu’Alicia lui avait apprit à faire et qu’elle faisait tous les jours ad aeternam ?

La question lui trotta longtemps dans la tête, elle ne voulait déranger personne avec des choses aussi futiles.

Le lendemain de son accident, Génis vint la voir avec une brosse et des élastiques.

- Je me disais juste que tu aurais besoin d’aide pour faire tes couettes… lui dit-il rougissant

Elle accepta. Pendant deux mois « son petit chevalier servant » comme l’appelait Régal, l’aidait à se coiffer et autres choses en tout genre.

Depuis, quand Préséa se coiffait avec ses couettes, ce n’était plus seulement parce qu’Alicia le lui avait apprit, c’était aussi parce que Génis l’aimait et réciproquement.

 The End ?

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Voilà mes petites rubriques cheveux de TOS ^^

Si vous avez des idées sur ce sujet, faîtes m’en part ^^

Reviews ?

 

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13 novembre 2009

Zélos de trois quart - par Coco13

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13 novembre 2009

Zelos Wilder - par Sasuk8

Zelos_Wilder_by_Sasuk8

13 novembre 2009

[OS] Est ce que tu m'aimes...? - par Marina Ka-Fai

Ohayo minasan !
Tadaima !
J’ai décidé d’écrire un yaoi sur un couple que j’aime beaucoup : le zélloyd ^^
Je vais faire de mon mieux pour essayer de rester loin du OOC.
Ca va être galère XD
Petite fantaisie de fana de TOS, une vraie geek ^^

Couple : Zélos WilderxLloyd Irving-Aurion

Contexte : Peu avant le grand combat contre Mithos, nos héros se retrouvent chez Zélos à Meltokio afin de profiter d’un moment de répit. Enfin répit pour tous sauf pour Lloyd et Zélos qui ressentent une attirance l’un pour l’autre.

Disclamer : TOS n’est pas à moi sinon j’aurais tout fait pour que Yuan soit mon père adoptif et j‘habiterais chez les Renégats ^^

Attention, cette fic est axée sur une relation homosexuelle !
Ceux et celles qui pour une raison X ou Y ne supportent pas le yaoi, passez- votre chemin, je ne supporterai pas d’insultes sur le couple.
Merci pour votre compréhension.

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Est-ce que je…t’aime ?



Meltokio, cité des nobles, Tésséh’alla.
Le ciel était teinté d’une drôle couleur violette, Derris-Kharlan en recouvrait la quasi-totalité. Tous croyaient la fin du monde proche. Mais c’était sans compter sur le groupe de l’Elue de Sylvarant qui voulait réunir les mondes, ce qui était signification de sauvetage des deux mondes. La bataille finale arrivait mais avant, les héros exténués s’arrêtèrent chez un des membres du groupe, l’Elu de Tésséh’alla Zélos Wilder, afin de se reposer un peu.
Tous vaquaient à leurs occupations : Colette s’occupait du chien de Zélos, un magnifique bébé labrador sable. Raine lisait avec Régal, Préséa apprenait à Génis à sculpter des objets en bois, Sheena admirait les lys blancs qui décoraient la maison, Kratos, le père de Lloyd qui les avait rejoint, astiquait son épée avec minutie.
Lloyd, quand à lui, avait entreprit de se promener dans les rues de la ville. Il y croisa Zélos qui charmait une de ses nombreuses groupies superficielles. En dragueur invétéré, il lui faisait des compliments, lui sursurait des mots doux.
Pour une raison inconnue, Lloyd avait mal. Un mal affreux qui lui pesait sur le cœur, qui lui enserrait la poitrine dans un étau. Le coup fatal pour son pauvre petit cœur fut quand Zélos la prit dans ses bras. C’en était trop. Zélos le vit, les larmes vinrent brûler les yeux de Lloyd et soudain il s’enfuit.

POV Lloyd

Pourquoi ? Pourquoi je pleure comme ça ?
Zélos a toujours été comme ça, un charmeur. Avant cela me faisait sourire alors pourquoi maintenant j’ai si mal ? Pourquoi ai-je eu envie d’être à la place de cette fille ?
Pourquoi il m’obsède tant ? C’est mon ami, un bon ami avec qui je ris, avec qui je m’amuse. Il est déjà arrivé que l’on dorme ensemble à la belle étoile car l’occasion s’était posée comme ça mais je n’ai jamais ressenti quelque chose comme ça ! Mon cœur se serre malgré moi. Pourquoi ? Et surtout qui pourrait me répondre ? J’ai mal et aussi peur de ce sentiment, de la réaction des autres…J’ai mal, j’ai peur….

POV Zélos

J’ignorais que Lloyd était là. D’ailleurs me serais-je arrêté s’il était là ? Je ne sais pas, d’ailleurs je ne sais plus rien quand je suis avec lui. Il est si pur, si innocent, du haut de ses dix-sept ans et moi à côté j’ai l’air d’un libertin dépravé de vingt-deux printemps. Sa candeur me fait tant de bien, avec lui, j’ai l’impression d’être vivant enfin ! Avec lui, je ne suis plus l’Elu, je n’ai plus à jouer ce rôle que je déteste, que je hais et à qui pourtant je dois tout. Si je n’étais pas l’Elu, je sais très bien que les filles qui m’adorent ne feraient pas plus attention à moi qu’à un petit souillon. Avec Lloyd, tout est différent, je ne suis plus l’Elu, je suis moi. L’avoir vu s’enfuir comme ça me rend triste, d’autant plus que je jure avoir entendu des pleurs…Mon ange pleure par ma faute….merde pourquoi je l’appelle mon ange d’abord ? Mon cœur se serre, c’est insupportable. Lloyd me fait ressentir des choses que jamais avant je n’avais ressenti, même en draguant mes louloutes. Quand je les charme, j’ai l’impression que j’ai Lloyd en face de moi, ses lèvres me tentent tout comme sa peau…
Bon sang, ce serait ça !
Est-ce que…je serais…amoureux de Lloyd ?

POV Lloyd

Mes larmes s’apaisent peu à peu mais mon mal subsiste. Zélos n’a rien fait de mal alors pourquoi je souffre autant ? Je me rappelle un jour avoir lu un livre, moi qui d’habitude en lit si peu…La Nouvelle Héloïse je crois, un vrai pavé. Je venais juste de rencontrer Zélos. Au début, mon cœur s’était serré sous l’émotion. Aujourd’hui si je le relis, il se serre et moi je pleure, comme s’il cherchait à se débarrasser de toute l’eau qu’il a, comme une éponge.
Il est Julie, moi je suis Saint-Preux…Le professeur était étonnée que je lise un pareil bouquin, moi qui ne suis pas très scolaire…
Bon sang, mais pourquoi j’ai si mal ?!
Je….aimerais-je Zélos ?

POV normal

Zélos courait à travers la ville afin de retrouver « son ange ». Il ignorait vaguement pourquoi mais il se disait qu’il était de son devoir de sécher les larmes de Lloyd. Le jeune homme était assis sur les escaliers de pierre menant au château, dans un coin sombre afin que personne ne le remarque. Les gens ne faisaient pas attention à lui. Ce n’était pas plus mal. Il vit la cause de ses larmes venir vers lui. Il tenta de s’enfuir à nouveau mais Zélos l’attrapa par le bras, le forçant à se coller contre lui.

POV Zélos

Je retrouvais enfin Lloyd, caché aux yeux du monde extérieur pour extérioriser sa peine à sa guise. Il me vit et tenta de s’enfuir à nouveau mais dans une sorte de rélflexe, je l’en empêchais et le serrais contre moi. Ses larmes redoublèrent, je le serrais plus fort, comme pour le consoler. D’un geste lent, avec ma main, je levai son menton vers moi afin de le voir, lui et ses beaux yeux noisettes inondés de larmes. Je lui souris gentiment, séchais ses larmes et là, comme poussé par une attraction invisible, je m’emparais de ses lèvres dont j’ai si souvent rêvé. Je me sentais comme apaisé, plus rien d’autre ne comptait pour moi. Je ne voyais que Lloyd.


POV Lloyd

Zélos me trouva aisément malgré ma cachette, je voulus partir mais il m’en empêcha et me serra contre lui. Mes larmes se remirent à couler, comme si les écluses de mon être s’était ré ouverte. Plus je pleurais plus il me serrait contre lui. Avec tendresse, il me força à le regarder à travers mes yeux noyés et soudain sans crier gare, il m’embrassa. Surpris, je me laissais pourtant assez vite abandonner. Mon mal s’était envolé, disparu dans le néant. Je me sentais flotter, j’étais bien. Je l’aimais, oui je l’aimais.

POV normal
Le tout nouveau couple ne se sépara que quand le manque d’oxygène se fit sentir. Les deux cœurs battaient à se rompre. Les habitués de Zélos « el draguissimo » les regardaient comme s’ils venaient de voir un extraterrestre.

- Pardonne-moi Lloyd, j’aurais dû me rendre compte de tout ça avant, mon pauvre, comme tu as dû souffrir! Pourras-tu un jour me le pardonner ?
-Zélos tu m’aimes ?
- A en mourir.
-Mais je suis un homme, comme toi.
-Ca je m’en fous, ce que je veux c’est être avec toi. Si tu veux de moi évidemment.

Pour toute réponse, Lloyd l’embrassa. Et c’est main dans la main qu’ils rentrèrent au bercail, sous les yeux de Kratos, qui les regardait par la fenêtre. Il avait remarqué tout cela depuis longtemps. Loin d’être sous le choc ou fâché, il souriait. Son fils venait de trouvait le bonheur, son fils allait être heureux et c’était tout ce qui lui importait.

Quand aux amis des deux amoureux, surpris au début, ils s’en accommodèrent assez vite, sans aucun mal.

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Voilà c’est fini !
Oh je le sens mal….
Reviews ?

13 novembre 2009

Tears - par The Real Sheena

_Z_los8

13 novembre 2009

Baiser - par The Real Sheena

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