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Tales of Symphonia for ever

17 février 2007

Une petite sieste

z_los_et_sheena
Directement au stylo bille noire en attendant que msn arrête de planter^^

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14 février 2007

baniére du blog

voici la baniére de notre blog, qui a été faite par l'équipe de notre partenaire old création.Banniere___TOS

je vous souhaite a tous une bonne saint valentin

8 février 2007

Tales of Symphonia-Partie 2- Chapitre 8 "La bataille de Mizuho"

Lloyd, Génis et Régal avaient suivit à distance l’armée personnelle du Pontife jusqu’à ce qu’elle pénètre avec fracas dans le village de ninja.
  Ils étaient à présent dissimulés derrière les premiers buissons de la lisière de la forêt de Gaorrachia, mettant une tactique au point. Ils s’attendaient à entendre d’un instant à l’autre des plaintes déchirantes. Il n’en fut rien. Les rumeurs d’une bataille leur parvenait effectivement aux oreilles mais cela n’avait pas du tout l’air d’une attaque éclair prenant par surprise les villageois. Perplexes et poussés par la curiosité, tout trois s’avancèrent vers la palissade qui ceignait Mizuho et qu’ils entreprirent d’escalader.

 Sous leurs yeux des ninjas aguerris tenaient farouchement tête aux envahisseurs en armures. Il n’y avait là que les guerriers expérimentés. Aucune trace des vieillards, des femmes ou encore des enfants. S’attendaient-ils donc à l’attaque ? Oui, il n’y avait aucun doute possible. Sur le moment, Lloyd se sentit un peu bête d’avoir volé à leur secours sans prendre le temps de la réflexion. Les habitants de Mizuho avaient l’air de maîtriser parfaitement la situation en dépit de l’incendie qui semblait ravager une partie du village.
   Mais l’avantage de la surprise qu’avaient eu les ninjas, s’amenuisait à mesure que les minutes passaient. Ils n’étaient pas assez nombreux et malgré toute l’ardeur qu’ils mettaient au combat, les gardes pontificaux affluaient encore et toujours. A croire que c’était la milice du Pontife toute entière qui leur avaient été envoyée.
   Lloyd jeta un coup d’œil furtif vers ses compagnons, tendus et prêts à l’affrontement. Ils échangèrent un hochement de tête et sautèrent à l’intérieur de l’enceinte. Le jeune épéiste tira ses deux katanas de leurs fourreaux dans un chuintement vif, Génis resserra sa prise sur son kendama en tremblant un peu et Régal affichait un regard déterminé. Puis ils s’élancèrent ensemble dans le fracas des armes et des corps entremêlés.
   Lloyd se baissa afin d’éviter la large lame de son premier adversaire en armure et lui porta un puissant coup d’estoc, se détendant tel un ressort. Son arme acérée s’enfonça entre deux plaques de métal et l’homme s’effondra sur lui-même dans un atroce gargouillis auquel Lloyd ne fit pas attention. Génis, petit magicien au milieu de la mêlée puisait dans le mana environnant, murmurant à mi-mot son incantation, Régal lui assurant protection et ne le quittant pas d’une semelle. Un cercle magique mauve se dessina soudain sous les pieds du jeune garçon tandis que l’électricité statique emplissait l’air ambiant, le faisant crépiter de fureur.
   - Indignation ! hurla Génis avec force.
  Et ce furent les derniers mots que les gardes pontificaux entendirent avant d’être balayés par l’énergie destructrice qui venait de s’abattre sur eux.
   Cependant la place ne resta pas nette bien longtemps, d’autres venant aussitôt remplacer ceux qui étaient tombés.

 Un hurlement de terreur se fit soudain entendre à l’autre bout du village d’où s’élevait en gros volutes une épaisse fumée noire. Le cri isolé fut bientôt rejoint par plusieurs autres, à la fois rageurs et désespérés.
  Les archers du bataillon venaient de tirer une nouvelle volée de flèches enflammées qui embrassèrent instantanément les toits de bois et de chaume des modestes maisons. Les ninjas postés sur les toitures furent rapidement encerclés par les hautes flammes, piégés. Leurs compagnons à terre s’empressèrent alors de leur prêter main forte, mais leurs adversaires avaient l’avantage du nombre.
   Lloyd, Génis et Régal tentèrent de se rapprocher du lieu d’agitation à grand renfort de taille en tout sens. A chaque pas, un nouvel adversaire venait leur barrer la route, rendant leur progression de plus en plus difficile. Le feu, quant à lui, progressait toujours et une odeur atroce et étouffante vint prendre les combattants, assaillants et assaillis sans distinction, à la gorge. Délaissant leur combustible habituel, les flammes avaient fini par venir lécher les chairs des malheureux pris au piège sur les toits. Surpris et affolés par l’horreur que cette odeur impliquait, les ninjas et le groupe de l’Elue réduit à trois de ses membres n’hésitèrent qu’une seconde avant de reporter leur attention sur la bataille. Toute perte de vigilance et de concentration pourrait leur être fatal, tous en avaient conscience.
   « Orochi ! s’exclama Lloyd en apercevant dans la mêlée l’imposante stature du ninja.
   - Lloyd ?! s’écria-t-il en retour avec étonnement. Que faites-vous ici ?
   - On passait dans le coin et on s’est dis qu’un petit coup de main ne serait pas de trop, plaisanta le jeune épéiste tout en passant sa lame au travers d’un corps ennemi.
   - Voilà qui n’est pas de refus ! On commençait un peu à s’ennuyer pour tout dire…, répondit le ninja sur le même ton. Où sont les autres ?
   - On vous expliquera plus tard. Derrière vous !!! » lança Lloyd.
  Il s’apprêtait à tourner son katana dans cette direction mais le ninja fut plus rapide que lui. Ses réflexes, aiguisés par des années d’entraînement lui permirent de passer d’un bond aussi souple que celui d’un félin, au dessus de son assaillant. Le temps que ce dernier comprenne ce qu’il lui arrivait, il s’écroula mort, un kunai fiché dans la nuque, à la base de son casque.
  - Joli, siffla Lloyd admiratif.
  Il n’avait jamais vu quelqu’un, à part Sheena peut être, avec des réflexes aussi rapides et était stupéfait.

   Plus les minutes passaient et plus l’issue de l’affrontement ne faisait aucun doute. Réduits à une poignée, les ninjas de Mizuho s’étaient regroupés, dos à dos, resserrant leurs rangs. Lloyd, Génis et Régal étaient parmi eux, leurs vêtements déchirés par endroits et tachés du sang de la milice pontificale aussi bien que du leur. Une longue estafilade barrait la joue du petit magicien, l’ancien aristocrate était touché sévèrement à l’épaule et l’épéiste était recouvert de coupures multiples. Il en allait de même pour leurs alliés.
  Cela ne finira donc jamais ?s’interrogea Lloyd en essayant de contenir comme il le pouvait le flot continu des guerriers en armures.
  Il commençait à ressentir sérieusement la fatigue qu’un tel affrontement pouvait provoquer. Cela n’avait rien à voir avec les combats qu’il avait pu mener jusqu’ici, le nombre d’attaquants n’étant jamais aussi important. Une petite dizaine tout au plus, et puis il y avait ses cinq autres compagnons. Il eut une pensée pour chacun d’eux, en particulier pour Sheena et Colette. Il espérait que l’invocatrice allait bien et que Raine avait pu l’aider. Il avait beaucoup d’affection pour elle. Même si elle avait voulu la mort de Colette au début, il savait que ce choix avait été contraint et forcé par la survie de son propre peuple et lui était reconnaissant d’avoir allié sa puissance d’invocatrice à leur cause. Son attachement envers Colette n’était pas feint et une profonde amitié s’était établie entre les deux jeunes filles. Lloyd appréciait par-dessus tout sa franchise et son dévouement, ainsi son cœur se serra un peu à l’idée qu’il ne la reverrait plus si Raine échouait dans son entreprise.
  Lloyd secoua la tête pour chasser cette mauvaise pensée. Bien sûr que Raine allait la sauver. Elle était la guérisseuse la plus puissante qu’il connaissait. Il était impossible que le Professeur soit réduit à l’impuissance.
Il projeta ensuite son esprit vers la jeune Elue de Sylvarant comme si il essayait d’entrer en contact avec elle. Les battements de son cœur s’accélèrent sans pour autant que l’ardeur du combat en soit la cause. Il aurait aimé la savoir près de lui en cet instant, juste en retrait de quelques pas comme à son habitude. Il avait l’étrange impression d’être amputé d’une partie de lui-même et cette étrange constatation le troublait. La savoir si mal n’arrangeait pas la chose, loin de là.

Colette

- Lloyd ! Attention ! s’exclama Génis en voyant son ami abaisser sa garde quelques secondes.
  Ce cri ramena brusquement l’adolescent à la réalité. Il n’eut que le temps de voir la lame qui s’abattait vers lui, comme au ralenti. Il était trop tard pour parer. Il ne pouvait rien faire sinon se préparer au choc. Une bourrade dans l’épaule le déstabilisa. Le coup passa à quelques millimètres de lui mais un sinistre déchirement parvint à ses oreilles. Il vit le demi-elfe aux cheveux d’argent tomber en arrière, les bras en croix, la poitrine entaillée profondément sur toute sa largeur. Tout s’était passé en quelques secondes mais il avait l’impression que son ami mit plusieurs longues minutes à s’effondrer.
  - Génis !!! cria Lloyd, incrédule.
  Le jeune épéiste se tourna d’un bloc, la colère s’emparant peu à peu de ses sens. Un grognement de rage s’éleva de sa gorge et il chargea l’ennemi le plus proche.

 Peu lui importait à présent d’assurer ses arrières. La colère avait envahit son être et des larmes d’impuissance obstruaient sa vue. Il se détacha du groupe de ninja et fonça tête baissée, armes au clair, tandis que Régal accroupi au pied de Génis tentait d’arrêter le flot de sang qui s’échappait de sa blessure béante.
  Les soldats du Pontife furent un instant surpris par la manœuvre. Ils se trouvaient à présent face à un jeune tigre plein de fureur, frappant et enchaînant les attaques avec une rapidité phénoménale. Aucune lame, aucun coup, aucune botte, ne semblait pouvoir l’atteindre. Bondissant, virevoltant, il était partout à la fois mais demeurait cependant insaisissable. Ses deux katanas semblaient être animés d’une vie propre et chaque coup porté faisait écho à la souffrance qui étreignait le cœur de Lloyd.
  C’était à lui de protéger Génis, son meilleur ami, et non le contraire. Que pouvait un magicien face à une arme de poing alors que sa plus grande force résidait dans le combat à distance ? Il n’avait pas été assez vigilant, il avait relâché son attention. Erreur impardonnable dans un combat et qui vous coûte la vie.
Ne meurs pas Génis… je t’en supplie.
  Jetant un rapide coup d’œil en arrière, il aperçut Régal au centre du groupe de ninjas survivants. Une pâle lumière blanche auréolait ses mains, posées sur le petit torse ensanglanté du demi-elfe. Ce dernier était inconscient et plus pâle que jamais, un petit sillon carmin au coin des lèvres. Lloyd se força à détourner les yeux de cette vision morbide. Ses adversaires semblaient avoir repris du poil de la bête et il se sentait faiblir. Les muscles de ses bras le faisaient souffrir et bouger ses épées lui demandait de plus en plus d’effort.

 Il se retrouva soudain face un homme imposant. Probablement le commandant de la milice, à en juger par son armure rutilante à motifs entrelacés. Son épée était longue et large, dotée une pointe légèrement recourbée. Son visage était dissimulé sous un heaume d’acier sans ornements particuliers mais Lloyd était prêt à parier qu’il souriait. Un petit rire cruel s’éleva des profondeurs du métal et l’adolescent su qu’il ne s’était pas trompé. L’homme s’avança et ses hommes stoppèrent leur combat en cours pour concentrer leur attention sur celui de leur chef. Lloyd sentit sa gorge s’assécher. Il allait avoir du mal sur ce coup là. Il ne se laissa pas démonter pour autant et, rassemblant ses dernières forces, il se ramassa sur lui-même. Cette fois-ci il rien n’entamerait sa concentration.

 Lloyd attaqua le premier. Les lames d’acier s’entrechoquèrent avec un bruit mat et le commandant repoussa sans mal la charge de l’épéiste qui fut projeté à quelques mètres de là, ses bottes crissant sur le sol. Lloyd rétablit prestement son équilibre et imprima une forte impulsion à ses jambes afin de remonter au niveau de son adversaire. Soufflant comme un bœuf l’adolescent avait beaucoup de mal à contenir ses assauts répétés.
   Amelkhar, le commandant de la milice pontificale, était étonné de voir tant de force et de résistance chez ce gamin. Sa détermination semblait inébranlable et pourtant son corps commençait d’ores et déjà à montrer des signes évidents de fatigue. Le gosse n’abandonnerait pas, il en était certain. Amelkhar sourit intérieurement. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas rencontré un adversaire de cette trempe et cette perspective le faisait frémir d’excitation. D’un revers de sa lame il fit voler celle de Lloyd. Surpris, ce dernier recula vivement tandis que son arme vint se planter dans le sol, juste entre les deux combattants. L’épéiste fronça les sourcils. C’était le premier adversaire qui arrivait à le désarmer depuis son affrontement contre Kratos dans la tour du Salut de Sylvarant.
   Il ramena son unique katana devant lui, les deux mains posées sur la garde, en position de défi. Fermant les yeux un instant il fit appel à tout le Mana qui restait en lui. Ce coup devait être décisif car il savait pertinemment qu’il ne tiendrait pas longtemps à ce rythme. Il fallait mettre un terme au combat et Lloyd avait le sentiment que si il parvenait à défaire le chef, les hostilités prendraient fin.
  Il rouvrit les yeux et commença à bouger lentement sur le coté droit. Amelkhar fit de même. Les deux hommes se tournaient autour tel deux fauves en cage, se jaugeant du regard, en quête du moindre indice indiquant le point faible de l’autre.

 L’incendie faisait toujours rage alentour. L’air ambiant était brûlant. Les clameurs de la bataille avaient à présent laissé place à un silence tendu, comme si tout, la défaite ou la victoire, allait se jouer sur une seule et unique attaque.
   Un des soldats se racla la gorge et ce fût le signal du départ. Les deux adversaires bondirent l’un vers l’autre. Les armes s’entrecroisèrent. Le katana de Lloyd vint se coller juste sous la gorge du commandant. La scène semblait figée.
   Puis Lloyd s’écroula à terre, le souffle coupé. Juste avant qu’il ne place sa lame, le genou d’Amelkhar était venu se ficher dans son estomac, le stoppant dans son geste. L’air lui manquait et sa vue se troublait. Il avait perdu.
  Lloyd ferma les yeux de rage alors que ses genoux touchaient le sol de terre dure. Ses poumons le brûlaient douloureusement à cause du manque d’air et un filet de sang s’écoulait lentement au coin de ses lèvres. La vue brouillé, il tenta de se mettre debout lorsque qu’il sentit un poids dans son dos l’obligeant à retourner mordre la poussière avec violence. Le commandant Amelkhar venait de poser son pied sur les épaules de l’adolescent qui tentait vainement de se relever. Sa résistance était tellement futile que le visage buriné du chef de la milice personnelle du Pontife s’étira en un rictus sauvage.
   - Et où crois-tu aller comme ça sale vermine ? cracha-t-il avec une complaisance feinte
  Un coup de pied vint cueillir Lloyd au niveau de l’abdomen et l’envoya bouler plus loin. Régal et le petit groupe de ninja serrèrent les poings. Pourquoi s’acharnait-il sur un homme à terre ? Il avait vaincu… n’était-ce pas suffisant ? Les soldats les tenaient en respect et ils ne pouvaient espérer venir en aide à leur ami.
  L’épéiste crachota du sang et se redressa en l’essuyant d’un revers de main. Amelkhar poussa un grognement rauque et d’un bond, fut sur lui. Un coup porté au plexus solaire envoya à nouveau l’adolescent à terre. L’homme attrapa de sa large main gantée la tignasse brune de son jeune adversaire à bout de force et de l’autre attrapa son épée.

 Les guerriers de Mizuho s’agitèrent nerveusement, révoltés. Une telle chose ne devait pas se produire ! Mais que pouvaient-ils espérer faire ? Ils étaient totalement réduits à l’impuissance, et des râles de frustration devant leur incapacité à intervenir s’élevèrent alors des rangs. Régal ne quittait pas des yeux Lloyd et leurs regards s’accrochèrent. Celui-ci jetait des coups d’oeils frénétiques en direction de Génis, et Régal comprit que seul le sort de son ami d’enfance lui importait à l’instant présent. Il ne pensait à rien d’autre alors qu’il était lui-même sur la sellette. L’ancien aristocrate hocha la tête d’un air qui se voulait rassurant. Il avait stoppé l’hémorragie et le jeune garçon était hors de danger pour le moment. Soulagé, Lloyd poussa un imperceptible soupir.
   Amelkhar leva son arme, prêt à frapper. Lloyd sourit à Régal. Il avait échoué, il n’avait pas réussi à sauver ces gens, et ses amis étaient dans un sale pétrin par sa tendance à vouloir jouer les héros. Mais il ne regrettait rien. Il avait agit en accord avec ses convictions jusqu’au bout et il était en paix avec lui-même. Il n’était tout simplement pas assez fort… Kratos avait raison en fin de compte. Finalement il ne pourrait pas faire ce qu’il lui avait demandé.
Pardon Colette… je ne pourrais pas te sauver cette fois…
   -NON ! hurla Régal à plein poumons.

 Le commandant abaissa son arme avec un geste vif.

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 Kratos sursauta. Un frisson venait de courir le long de son échine. Il se leva et se dirigea vers la fenêtre de sa chambre. Son regard parcourut l’océan et s’arrêta sur une ligne verticale à l’horizon. La tour du Salut se dressait fièrement au loin. Un étrange et funeste pressentiment s’insinua aux tréfonds de l’âme du mercenaire qui serra avec force le rebord de pierres grises.

Lloyd… ne meurs pas.

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Lloyd avait fermé les yeux, résigné et Régal s’était élancé, faisant fi de la douleur lancinante qui lui paralysait presque son épaule droite. Il ne pouvait pas rester là sans rien faire. Il voulait agir. Il n’était resté que trop longtemps à subir son destin. Pas cette fois. Il sauverait cette personne qui comptait tant pour lui parce qu’elle lui avait redonner le courage de continuer à vivre et d’avancer, de se racheter de son crime. Cet enfant qui lui avait laissé entr’apercevoir la lumière au bout de ce long tunnel noir et sans fin, il ne le laisserait pas mourir. Sa destinée n’était pas ici. Elle était à la tour du Salut, là haut sur Derris-Kharlan. La survie d’un monde, non…, de deux mondes, d’un univers à part entière dépendait de lui…dépendaient d’eux… Et son rôle à lui, Régal Bryant, était qu’il trouve le chemin vers le salut de Sylvarant et Tésséha’lla.

Un coup entre les deux omoplates, porté du pommeau d’une épée ennemie, le stoppa net dans son élan et il s’écroula à terre.
  - Lloyyyyd ! s’écria-t-il de désespoir.
  Trop tard… rien ne semblait plus pouvoir arrêter la course de la lame d’Amelkhar vers la nuque de Lloyd, à présent.

 Une légère brise se leva, portée par une douce et étrange mélodie si pure que tous sentirent des larmes d’émotions picoter leurs yeux. Puis un immense éclair d’un blanc intense figea la scène. Seul un cri, presque une prière, retentit dans un silence irréel.

- Jugement sacré !

 

__________

Génis ! Attaque !

 Champ de bataille de Mizuho.
Lloyd se baisse afin d’éviter la lame de son adversaire.
Armé d’un pic à brochette, il tue son adversaire rapidement.
Génis, près du barbecue coréen prépare son attaque, protégé par Régal.
Il se concentre tandis que des flammes s’élève du barbecue, le faisant crépité de fureur.
Soudain, G se tourne vers ses assaillants. Son attaque est fin prête…

 G (ouvrant bien grand la bouche): Haleine d’ail ! Agis tout de suite !

Et ce furent les derniers mots que les gardes pontificaux entendirent avant d’être balayés par l’énergie destructrice qui venait de s’abattre sur eux.

 L et R (au bord de l’évanouissement): Prends un chewing-gum Génis !

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8 février 2007

Mise à jour de la section Fanfiction. La suite de

Mise à jour de la section Fanfiction. La suite de la fic de Naikkoh est enfin arrivée!

8 février 2007

Tales of Symphonia-Partie 2- Chapitre 7 "Palabres et remises en cause sur la grève"

Perché sur le rebord de la falaise, surplombant l’océan, Zélos laissait le vent s’engouffrer dans ses cheveux. Il ne pensait à rien en cet instant. Son esprit était vide et il aurait voulu qu’il en soit toujours ainsi. Cela aurait été tellement plus simple. Tous ces sentiments contradictoires ne seraient pas venus le submerger alors qu’il avait pris la fuite de la chambre de l’invocatrice quelques instant auparavant. Haine, colère, amour, et peur se succédaient tour à tour tandis qu’il tentait de remettre de l’ordre dans ce qui venait de se produire.
   Haine contre cet assassin envoyé par le Pontife qui avait tenté de violer Sheena. Rien que penser à ce mot, « violer », le faisait bouillir de rage. Un mot si simple mais pourtant si lourd de conséquences.
   Colère envers lui-même car il n’avait su identifier à temps la menace. Il se sentait si lamentable. Sa seule consolation était d’avoir pu exploser la tête de cet homme. Piètre réconfort dans un moment tel que celui-ci.
   Amour… oui, il devait le reconnaître. Il ressentait un doux sentiment pour sa compagne d’arme aux cheveux d’ébène et au regard en amande, et cet amour naissant le consumait lentement. Jamais il n’aurait agit de la sorte pour une autre de ses conquêtes, jamais. Cette femme là le rendait fou et pourtant ne lui courrait pas après. Et là résidait le dilemme. Il se rendait compte à présent combien il était dépendant d’elle et cette sensation nouvelle lui faisait peur. Pour la première fois, il ne contrôlait rien. C’était si agréable et effrayant à la fois… car elle n’avait pas l’air de partager ses sentiments. Lui qui se vantait de tout savoir sur les femmes, elle lui avait donné une belle leçon d’humilité. La peur d’être rejeté lui tordit alors les entrailles. Sa situation était risible : lui le coureur de jupon invétéré et chouchou inconditionnel de ces dames, appréhendait de la réponse d’une seule. Il valait mieux pour tout le monde qu’il tire un trait définitif sur cette histoire. Le pourrait-il seulement ?

 L’Elu ferma les yeux et enserra son buste de ses bras croisés en soupirant, essayant vainement de chasser tout ça de son esprit et de combler cette étrange sensation de vide qui l’étreignait à présent.
   Une voix dans son dos vint couper sa méditation et le fit sursauter :
   « ça y est ? Tu es calmé ?
   - Kratos…, souffla Zélos sans pour autant daigner se retourner.
   - Comment as-tu su que c’était moi ? demanda l’intéressé perplexe.
  - Ta voix. Celle d’un homme… ça ne pouvait être que toi. De plus ton pas lourd est celui d’un guerrier et non d’un serviteur de la Déesse dont le seul exercice physique consiste à entretenir le jardin de l’Abbaye. Et puis l’odeur musquée ne peut pas tromper. Enfin, pourquoi les prêtes viendraient-ils me parler ? Quant aux filles…, répondit l’Elu laissant sa phrase en suspend.
   -Tu n’es pas si bête finalement », dit Kratos avec un petit sourire en coin.
  Zélos haussa les épaules avec désinvolture, montrant qu’il se fichait bien de ce que l’ange pensait à son sujet.
  Le mercenaire s’approcha alors pour se placer à sa hauteur et contempla lui aussi l’étendue bleutée et immense qui s’étalait sous pieds. Pendant quelques minutes, tout deux ne prononcèrent pas un mot. Chacun laissait son esprit vagabonder.

 // « Kratos… ! Arrête ! C’est pas juste ! Tu triches ! s’exclama une voix cristalline d’un air faussement en colère.
   - Pas question… vous êtes ma prisonnière mademoiselle… et une prisonnière d’une propreté douteuse », répondit l’homme d’une trentaine d’années affichant un visage qu’il s’efforçait de garder impassible.

    Le vent du large balayait les dunes, soulevant de temps à autre des gerbes de sable. Un couple de jeunes gens se tenait sur la plage déserte, l’homme portant la femme en travers de ses épaules. Celle-ci gesticulait pour se libérer de cette position très inconfortable entre deux crises de fou rire.
   Elle avait de longues boucles brunes souples que la brise achevait d’emmêler et était pied nu. Une simple robe à fines bretelles en mousseline blanche venait rehausser la blancheur de son teint et lui donner la beauté d’une poupée de porcelaine. Lui aussi s’était déchaussé et faisait fi de l’eau fraîche qui venait lui lécher les orteils à chaque vague s’étalant inlassablement sur le sable chaud. Il souffla pour essayer de chasser les mèches rouges auburn qui lui chatouillaient le visage et lui obstruaient la vue.
   La femme frappait pour la forme le dos de son ami de ses poings rageurs tandis qu’il pénétrait dans le flot continu de vagues. Sa compagne protesta avec véhémence et il attendit de s’être engagé jusqu’aux genoux pour la jeter à l’eau sans crier gare avec un énorme « sploucth ! » sonore.
   - Mais c’est que tu as grossi ma chère… tu as presque faillit faire déborder la mer, railla-t-il, s’attendant à la voir surgir d’une seconde à l’autre, trempée et soufflant comme un phoque.
   Seul un rouleau répondit à sa plaisanterie et elle ne réapparaissait toujours pas.
   Le visage de l’homme devint livide, toute trace d’amusement avait disparu.
   - Anna ! appela-t-il, tremblant d’inquiétude. Anna ! Réponds-moi ! Ce n’est plus drôle là…
  Il se retourna dans tout les sens, en proie à une soudaine peur panique. Mais où était-elle donc passée ?
  Il s’apprêtait à plonger lorsqu’il se sentit happer vers le fond. Quelque chose venait de lui attraper les chevilles et il bascula à son tour dans l’eau froide.
  - Voilà ta juste punition, môssieur l’ange ! Ah, tu fais moins le malin maintenant, n’est ce pas ? s’écria la voix rieuse d’Anna, triomphante, secouant sa chevelure trempée.
   Kratos ressortit lentement la tête de l’eau en la toisant d’un regard noir et crachant l’eau salée qu’il avait dans la bouche. Il se releva avec une lenteur et un dédain affiché puis étreignit avec force la jeune femme, surprise par cette soudaine marque d’affection. Ce n’était pas dans le genre de son compagnon d’être aussi démonstratif. Touchée par ce geste qu’elle appréciait à sa juste valeur, elle resserra ses bras autour de lui.
   «  Ne me refait plus jamais une peur pareille, lui murmura-t-il à l’oreille. Comment pourrais-je encore continuer à vivre si tu m’étais enlevé à jamais mon amour ? lui murmura-t-il à l’oreille en la serrant contre lui de toute ses forces.
    - Mais voyons je ne vais pas disparaître comme ça… ne t’inquiètes donc pas…, dit-elle de sa voix douce et rassurante.
    - Si tu savais comme je t’aime…, commença l’ange.
   - Chut ! Je le sais déjà, répondit-elle en lui mettant son doigt fin sur la bouche, l’empêchant de continuer. Rentrons, l’eau commence à être un peu froide… » //

- Alors ? Qu’est ce que tu veux ? demanda Zélos d’un air las. Hé ! Tu m’écoutes ?
   Devant l’absence de réaction du mercenaire, il rajouta :
  «  Ce type est vraiment pas croyable… Kratos !
  - Hein ?
  - Ah, tout de même ! Monsieur réagit…fit l’Elu exaspéré. Tu es venu pour quoi ? Pour jouer au moralisateur ? Te repaître de mes hypothétiques remords ? Saches pour ta gouverne que je n’en ai aucun… si c’était à refaire, je le referais…
   - Tu m’as l’air bien sur de toi », dit Kratos d’un air tranquille.
   En apparence, l’homme aux cheveux auburn gardait une parfaite maîtrise de soi, cependant une tempête se déchaînait à l’intérieur. Venir ici, sur cette grève, lui avait rappelé des souvenirs et des émotions qu’il avait cru et aurait voulu oublier. Mais on n’efface pas comme ça une vie, et encore moins cette vie là. Il savait par expérience que la vengeance n’était aucunement salvatrice et doutait fortement que l’Elu de Tésséha’lla échappe à la règle.
   «  Ne sois pas trop dur avec toi-même. Elle est juste trop bouleversée pour le moment pour faire la part des choses, dit Kratos sans regarder le jeune homme roux.
   - Mais ce n’est…, protesta Zélos.
  - Je sais très bien ce que tu peux ressentir, aussi étrange que cela puisse paraître… . L’impuissance… , murmura le mercenaire, les yeux dans le vague et le visage emprunt de nostalgie.
   Zélos crut même y déceler une once de tristesse et de regret.
   - Pardon ? demanda-t-il, intéressé malgré tout par les propos de l’ange.
  - Le sentiment d’être faible alors qu’on a subit aucune défaite… n’importe quel personne, combattant expérimenté, a ressenti un jour cette impuissance face au cours des choses, qui lui, est immuable. « Aurais-je empêché ceci si il ne s’était pas passé cela ? ». Autant de questions qui torturent toute une vie et qui tournent finalement autour d’une seule « Pourquoi ? ».
   - Mais ça aurait pu être empêché ! explosa Zélos. J’avais déjà vu cet homme ! Chez le Pontife en plus ! Si j’avais fait le rapprochement plus tôt, il n’aurait pas eu le loisir de s’approcher d’elle et de… de…
  - C’est une combattante. Elle a été entraîné à résister ce genre de chose durant sa formation, répliqua Kratos d’un ton cassant.
   - Elle n’était pas en état de faire quoique ce soit ! gronda l’Elu.
   - Tu penses qu’elle est faible et à besoin de ta protection ? interrogea durement le mercenaire.
   - Non ! Bien sur que non ! Mais…, commença Zélos.
   - Ne laisse pas tes sentiments interférer dans ton jugement. En combat cela pourrait vous être fatal. Pour toi… et pour elle, le coupa Kratos. Je ne nie pas que ce qui vient de se produire soit horrible. Mais rappelles-toi qu’elle n’est pas seulement une femme. C’est une guerrière accomplie de Mizuho, réputé pour le dur entraînement qu’ils font subir à leurs aspirants. Et elle a passé l’épreuve avec succès puisqu’elle vous accompagne. Elle n’est pas une petite chose fragile à protéger. Ce serait une insulte, à sa formation de ninja et aux souffrances qu’elle a enduré jusque ici, que de penser ainsi.
   - Qu’est ce que tu essayes d’insinuer par là ?
   - Rien… Je fais état de ce qui est, et que tu as peut être tendance à oublier. Je ne te juge pas. Ce que tu as fait est fait. Je te met juste en garde contre un comportement qui pourrait nuire au groupe entier.
  - Qui es-tu à la fin ? s’écria Zélos en attrapant Kratos par le col de son vêtement, l’obligeant ainsi à lui faire face. Comment peux-tu dire de telles choses ! C’est quoi ce discours sur Sheena et le fait que je veuilles la protéger ? Ce qui n’est pas le cas d’ailleurs… .Quel est le rapport avec le combat que nous menons ? Et la sécurité des autres ? Qu’est ce que ça a avoir avec le fait qu’elle a faillé être violée ? Et bon sang, d’où sort-tu avec tes propos grandiloquents ? Hein ! Tu ne sais rien de moi alors ne me juge pas !»
   Il était en colère contre lui-même de se mettre dans un tel état et de donner à Kratos des ouvertures pour l’atteindre. Cependant, il avait beau essayer de se convaincre que son attitude était puérile, il n’arrivait plus à rester maître de lui-même, et ce depuis tout à l’heure. La perspective de perdre le contrôle de la situation l’agaçait au plus haut point
   Lorsque le mercenaire avait parlé de la sécurité du groupe, Zélos avait tiqué et pâlit. Avait-il découvert sa trahison ?

 Kratos laissa échapper un imperceptible sourire devant la colère du jeune homme. Il lui rappelait une certaine personne… surtout ses yeux… .
   D’une main, il desserra sans aucun mal la poigne de l’Elu du Mana.
   - N’oublie pas ce que je viens de te dire… . C’est pourquoi je suis toujours en vie… Tâches de t’en souvenir à l’avenir, avant de faire quoique que soit de stupide. C’est un conseil, dit-il avant de s’éloigner avec nonchalance.
   Zélos suivit d’un regard de braise le mercenaire jusqu’à ce qu’il disparaisse de son champ de vision. Les paroles de ce dernier l’avaient ébranlé plus qu’il ne voulait le croire. Mais si il fouillait au fond de lui, force lui était de constater qu’il avait raison. Il devait prendre garde à ses pulsions. Dans le cas contraire, on allait finir par le percer à jour. Bien malgré lui il chercha des yeux, sur le haut mur de pierre, la fenêtre de l’invocatrice. Et il resta ainsi dans le vent glacial venant de l’océan, la tête levée vers le ciel.

 Sheena avait fini par s’endormir, non sans mal. Raine lui avait administré un léger calmant, discrètement mélangé à son thé.
   Assise sur le matelas aux cotés de l’invocatrice dont elle caressait distraitement les cheveux comme pour l’apaiser et la rassurer, la demie-elfe analysait la situation. Tout son corps de femme se révoltait et se révulsait à l’idée de l’agression dont la jeune ninja venait de faire les frais. Comment les hommes pouvaient-ils agir de la sorte ? Elle sentait que même Préséa avait été choquée. La fillette avait su ériger autour de son cœur et de son âme une protection difficile à briser… pourtant… pourtant en cet instant, Raine voyait danser dans ses yeux une lueur d’angoisse qu’elle n’avait jamais perçue auparavant. Habituée au silence de son amie et sachant qu’il ne fallait pas s’y fier, le Professeur Sage se leva et vint s’accroupir aux cotés de Préséa qui regardait à travers la fenêtre.
   - ça va Préséa ? interrogea-t-elle.
   La fillette hocha la tête au bout de quelques minutes, d’un air mal assurée. Le silence s’installa à nouveau dans la pièce, seulement troublé par les cris stridents de quelques mouettes se laissant porter par les courants aériens. Raine se prit la tête dans les mains.
   - Comment peut-on faire une pareille chose ? demanda soudain Préséa.
  La question n’avait pas d’interlocuteur particulier. La fille à la hache semblait seulement s’interroger à haute voix. Néanmoins, Raine essaya d’y apporter une réponse.
  « Je ne sais pas, finit-elle par dire, impuissante pour une fois. Le désir des hommes est parfois si fort qu’il les transforme en véritables animaux. Ce n’est plus la raison qui les habite dans ces moments là… . Sheena possède une arme puissante mais à double tranchant… Son corps lui permet de séduire et de tenir la gente masculine en son pouvoir, et cette arme là est redoutable, tu peux me croire. Tu ne peux pas imaginer la portée du pouvoir de séduction d’une femme, tu es encore un peu jeune. Saches toutefois qu’il permet de faire et défaire des empires. Cependant, le revers de la médaille est tout autre. Il arrive parfois qu’on devienne une proie facile. Un peu trop facile même…
    - Mais Sheena n’a pas désiré tout ça ! Elle n’a rien fait pour ! C’est injuste ! » s’écria la fillette visiblement aux bords des larmes malgré toute l’assurance dont elle faisait preuve d’ordinaire.
   Raine fut surprise par ce brusque accès d’humanité, si rare chez la combattante à la hache, et se leva afin de la prendre dans ses bras.
   - Oui, je le sais, murmura-t-elle doucement tandis que Préséa tremblait comme une feuille.
   L’incident l’avait choqué bien plus que le Professeur ne l’aurait cru.
  - Et c’est bien cela le plus triste dans l’histoire, poursuivit-elle. Elle a joué de malchance… Comment va-t-elle réagir à présent ? Il nous faudra attendre qu’elle se réveille pour le savoir…

_________

Les dents de la mer

Anna protesta lorsque Kratos la jeta à l’eau sans crier gare.

K : Mais c’est que tu as grossi ma chère… tu as presque failli faire débordé la mer ! ^^

K attendit mais A ne réapparaissait pas.

Soudain, quelque chose lui attrapa les chevilles.

K :arrggghHHHH ! Au secours ! NoooooooooOOOOoooon !

Une mare rouge s’étale tandis que Kratos agite les bras en tout sens.

A ( à une petite pieuvre) : Attaque Médor ! Il m’a traité de grosse vache !

K se retrouve donc avec une chose gluante sur le visage, cherchant à l’étouffer et répandant partout un jet d’encre… rouge. Et A rouge de fureur exhorte la bestiole à tuer son homme. On ne parle pas du poids d’une femme ainsi, non mais !

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4 février 2007

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3 février 2007

Fanfic ToS [ sans titre pour l'instant]- Chapitre 1

Chapitre 1: Neige et Séduction

 

C'était un matin. Un de ces matins où il fait froid. Un matin d'hiver. Une jeune fille regardait dehors depuis la fenêtre de sa chambre. Elle sourit. Il y avait plein de neige. La fille partit s'habiller, et d'un pas joyeux entra dans la salle à manger de l'auberge.
Cette jeune fille s'appelait Colette Brunel. Elle était blonde, filiforme et très maladroite. Colette était aussi l’élue du mana qui avait pour mission de permettre la résurrection de Martel et de faire prospérer Sylvarant. La jeune élue vint s’asseoir à côté d’une très jolie jeune femme bien proportionnée. C’était Sheena Fujibayashi, une invocatrice d’esprits originels. A côté se tenaient une femme et un jeune garçon. Ils se prénommaient Raine Sage, professeur à Isélia et magicienne de haut niveau, et Génis Sage, petit frère de Raine et également magicien. Il y avait aussi un jeune homme aux cheveux rouges, Zélos Wilder, un tombeur ; une petite fille aux couette roses qui maniait brillamment la hache : Préséa Combatir ; un autre jeune homme tout habillé de rouge, Lloyd Irving, et enfin un homme aux cheveux bleus, Régal Bryant.
Après leur bon petit déjeuner, Colette tint absolument à emmener Sheena, Préséa, Raine et les autres faire un bonhomme et une bataille de boules de neige. Raine rechigna car elle disait avoir des recherches importantes à faire sur une pierre gravée ramenée il y avait quelques temps des ruines de Triet. Mais Colette insista et Raine finit par déclarer forfait. Tout le monde se prépara et sortit. Colette était toute contente. Le groupe se sépara en deux. Les femmes contre les hommes. Raine fit une vrai forteresse. Les garçons, eux, avaient du mal à faire un simple mur de neige. Régal intervint et il réussir à faire ressembler leur mur à quelque chose. Et la bataille commença. Zélos lança la première boule qui atterrit sur…Sheena. Aie pauvre Zélos !

 

<< ZELOSSSSSS !!!!!! Tu vas me le payer !
- Oh, oh, cours Zélos, conseilla Génis. >>
Sheena fit appel à Celsius et lui demanda une énorme boule de neige. L’invocatrice la lança comme un boulet de canon sur Zélos qui la reçut en pleine face.
<< Aieeeeeeeeeeeeeeeeee >_< pourquoi t’as fait ça?
- Je me suis prise une de tes boules de neige alors je me venge, argumenta Sheena.
- Mais euh
>>, gémit Zélos.
Entre temps Génis avait lancé une boule sur Raine.
<< Eh Génis, pourquoi tu me vises ? Pourquoi pas Colette ?
- Eh Raine !!!! C’est pas gentil, dit Coco.
- Bon OK le combat est ouvert ! Tous à vos boules de neige
>>, cria Sheena. 

 

 
Tout le monde s’amusa et à la fin tous s’écroulèrent, vidés d’avoir tant ri et tant joué. Ils rentrèrent bien au chaud. Zélos avait encore la joue rouge à cause de toutes les boules de neige qu’il s’était reçu dans la figure. Sheena s’était vengée.
Ils rentèrent dans la salle à manger et commandèrent un bon repas pour leur déjeuner. Ils s’étaient tous régalés à part ce pauvre Zélos qui s’était pris le verre d’eau de Sheena et celui de Raine en plein figure. Décidément ce n’était pas son jour de chance. A la fin du repas Zélos, boudeur, monta dans sa chambre.
<< Ben qu’est ce qu’il a Zélos ? s’étonna Sheena.
- A ton avis… Je crois qu’il n’a pas apprécié les deux verres d’eau que toi et Raine lui avaient mis sur la tête… déclara Génis qui avait eu pitié de Zélos.
- Tu crois ? C’est juste qu’il a honte à mon avis, répliqua Raine.
- Bon, je monte le voir, dit Colette sur un ton toujours joyeux.
- NON, hurlèrent Raine et Sheena à l’unisson.
- Bah pourquoi ?
- Écoutes Colette, Zélos est un grand garçon et il n’a pas besoin d’être consolé, expliqua Raine.
- Pas grave, j’y vais quand même
>>, déclara Coco.
Et sur ces mots Colette monta à l’étage et frappa à la porte de Zélos. Un grognement étouffé se fit entendre :
<< Mmmmmm ?
- Je peux entrer ?
- Colette ?! Mon petit ange, bien sur, entre. >>
Colette s’avança dans la pièce et trouva Zélos assis sur son lit, les yeux rouges.
<< Ben Zélos tu pleures ?
- Hein, euh non… non >>

 

 En disant ça Zélos pensa à Sheena :
Pourquoi au déjeuner lui ai-je dit qu’elle avait des belles formes ?
En disant cela elle a du penser que je l’avais mater sous sa douche… mais ce n’est pas vrai. Raine l’a crue aussi. Oh, Sheena… qu’est-ce que je ressens exactement pour toi ? Je n’en sais rien… Tu me fuis car tu crois que je suis un imbécile et un tombeur…
<< Zélos… Zélos… ZELOS tu m’écoutes ?
- Hein? Eh non je ne t’ai pas écouter, désolé.
- Bon je disais que je compatissais pour tout à l’heure. Mais tu sais que Sheena n’aime pas qu’on parle de son corps. Je l’envie d’ailleurs, moi je n’ai qu’une petite poitrine toute plate >>
Zélos rougit en entendant Colette parler de ça sans aucune gêne.
<< Mais tu l’a vraiment vue sous sa douche ?
- Mais bien sur que non, je ne suis pas comme ça ! >>
En prononçant ces mots Zélos devint encore plus rouge. Il était un tombeur, c’est vrai, mais pas à ce point. Bon il lui était déjà arrivé de tomber sur Sheena qui sortait de son bain, mais c’était sans le faire exprès bien sur!
<< Bon Zélos, j’y vais.
- D’accord, je viendrais tout à l’heure. >>
Colette sortit de la chambre et retourna voir le reste du groupe, resté en bas.

 

 Zélos se leva de son lit et se dirigea vers la fenêtre qu’il ouvrit. L’élu de Tésséha’lla respira un grand coup l’air froid qui rentrait dans la pièce et soupira. Pourquoi était-il l’élu? Sa mère était morte et sa sœur était distante avec lui. Elle lui en voulait que ce soit lui l’élu et non elle. Mais au fond elle était gentille. Bref. Quel début de matinée bien agitée. Coco était venu le consoler…
Qu’est ce qu’elle peut être charmante cette petite élue de Sylvarant. Contrairement à la vieille mégère (c’est de Sheena qu’il parle) elle est venu me consoler. Sheena est mignonne et bien foutue mais elle repousse tout le temps mes avances alors autant laisser tomber. Colette est pas mal non plus. Mmmm… pourquoi pas essayer ?
<< Je suis génial !!! AHAHAHAHAHAH !!!!! >> << Tiens, c’est quoi ce bruit bizarre ? se demanda Raine.
- Aucune idée grande sœur.
- C’est Zélos qui rigole, déclara Sheena avec fatalité, c’est lamentable. >>

 

Colette se leva et dit qu’elle sortait se promener. Elle se couvrit et sortit. Il ne neigeait plus mais on se croyait à Flanoir. Colette fit quelques pas dans la neige quand quelque un l’attrapa par les épaules. C’était Zélos.
<< Tiens ? Qu’est-ce que tu fais ?
- Je peux venir me promener avec toi ma Coco chérie ?
- Si tu veux. >>

Ahahah, c’est trop facile, pensa Zélos.
<< On y va Zélos?
- D’acc ! >>

 


Colette et Zélos partirent donc se promener. L’élu aux cheveux rouges vit que du haut d’un grand arbre on avait un point de vue magnifique. Il prit Colette dans ses bras, sortit ses ailes translucides et vola jusqu’à une grosse branche ( https://storage.canalblog.com/62/17/110207/9947492.jpg ). Il y déposa la jeune fille et s’assit à côté d’elle.
<< Alors Colette c’est joli non ?
- Oui ! >>
Colette était en extase devant la vue du soleil qui, à présent, était bas dans le ciel. C’était magnifique.
Zélos, lui, pensait plutôt à regarder l’élue de Sylvarant. Elle était encore plus ravissante dans les derniers rayons du soleil.
<< Colette ?
- Oui ?
- Tu es très mignonne.
- Merci, répondit Colette en rougissant.
- Dis… ce soir tu ne voudrais pas venir dans ma chambre ?
- Oh regarde le bel oiseau, s’émerveilla Colette qui ne l’avait pas écouté. Oh, désolée, tu disais quelque chose.
- Oui, je te demandais si ce soir tu voulais bien… >>

 

 BONGGG.
Une branche venait de tomber sur la tête de Zélos.
<< Zélos… ça va?
- Aïeeee…
>> gémit Zélos.
Coco sorti ses ailes, prit Zélos comme elle le pu et le transporta jusqu’à l’auberge.<< Raine, Raine vite Zélos est blessé !
- Quoi? s’étonna Raine.
- Comment il a fait cet idiot, demanda Sheena.
- Une branche lui ait tombé sur la tête.
- Pfff… c’est pas vrai… il fait vraiment que des bêtises dit Shee en rigolant pendant que Raine le soignait.
- Voila, t’es soigné Zélos.
- Merci Raine, Merci beaucoup, tu es formidable.
- Oh merci, mais va te coucher avant que je ne te botte les fesses pour les âneries que tu dis.
- Mais Raine, ma beauté glaciale je n’ai rien dit de mal.
- Je ne suis pas ta beauté glaciale et tu ne me séduira pas avec tes airs de tombeur comme tu as séduit ton fan club. >>
Sur ces mots Raine le menaça avec son bâton et lui dit d’allez se reposer dans sa chambre.
<< Dites on peut manger maintenant ? demanda Colette.
- Oui, allons manger !
>> se réjouit Génis

 

 

 

La soirée se passa tranquillement jusqu’à ce que Colette déclare qu’elle montait apporter le repas à Zélos.
<< Colette tu te souviens de ce que je t’ai dit à midi ? Il ne faut pas aller voir ce Dom Juan toute seule il serai capable de te faire du mal.
- D’accord, tu viens avec moi alors.
- Hein ?! Mais j’ai pas envie de le voir… >>
Colette ne laissa pas Sheena terminer sa phrase, elle la pris par le bras, s’empara l’assiette et monta les escaliers d’un pas joyeux.
<< Zélos on peut entrer ? C’est Colette et Sheena.
- Quoi ?! D’accord >>
Les filles entrèrent. Zélos était assis sur son lit.
<< Alors ça va mieux ? demanda l’invocatrice.
- Oui. C’est pas souvent que tu te soucies de ma santé Sheena, c’est gentil.
- Ah… euh, bon j’y vais, déclara Sheena, rouge, en sortant à grand pas de la chambre.
- Qu’est-ce qu’elle a Sheena ? demanda naïvement la jeune Colette.
- Oh rien, ne t’inquiète pas. Viens plutôt par la ma puce. >>
Tout en disant ça il attirait Colette contre lui. Elle le laissa faire et ne s'inquiétait pas plus que ça. Il était content, elle allait bientôt lui appartenir. Zélos avait couché Colette sur le lit et était à présent au dessus d'elle. Le visage du jeune Dom Juan se rapprochait de plus en plus de celui de la jeune élue quand il ressentit soudainement une violente douleur à l'épaule gauche.

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3 février 2007

Enfin!

Cela fait excessivement longtemps que les MaJ n'ont pas été faites.

Tout d'abord j'annonce la venue de nouveaux dessinateurs sur le site: Ange de cristal et Silver.
Si vous aussi vous voulez nous faire partagez vos oeuvres, n'hésitez pas à nous les envoyer? C'est avec plaisir que nous les publierons.

La fanfic de Naikkoh, "Ce que nous dicte le coeur" en est déjà à son 6 ème chapitre de la deuxième partie. Une petite nouvelle venue nous fait par de son oeuvre. Venez lire la fic de Colette Brunel!

Le chapitre 2 du deuxième tome du manga est également disponible.

La catégorie Cosplay s'est ouverte.Vous pourrez y trouvez des photos de Martel, Mithos, Sheena, Colette, ... et même de Noishe!!! Si vous aussi vous avez fait un cosplay et que vous voulez nous ne le faire partager, envoyez vos photos^^

La catégorie Video s'est enrichie quant à elle de nouvelles parodies de Tales of Doodles!

... et enfin, ce blog fait un partenariat avec l'excellent site Kingdom of Tales. Nous vous invitons vivement à allez visiter ces pages. Merci au staff qui a permi qu'un tel site existe^^

27 janvier 2007

Préséa

Fille solitaire et taciturne, Préséa

Animexx

545059


Cosplay.com

64270 522437 542676

27 janvier 2007

Celsius

Esprit originel de la glace, Celsius

Animexx

866127 870266 870299 870301

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