L'aube
s'était levée sur le campement de la joyeuse troupe, Raine qui était
comme d'habitude la première levée s'était donnée un malin plaisir à
réveiller le gros dormeur de ce groupe d'une manière pas très gentille.
Elle avait grand ouvert l'ouverture de sa tente laissant passé ainsi le
soleil du matin et elle avait crié dans l'oreille de ce dernier.
Celui-ci s'était réveillé en un sursaut imminent ne savant ce qui se
passait. Une fois que tout ce petit monde fut habillé et nourri, ils
reprirent la route vers Heimdall. Leurs idées un peu plus claires et
objectives que la journée précédente. Encore un long chemin les
attendait avant le jugement final. Ils se doutaient qu'une nouvelle
aventure allait leur être confiée.
La jeune Préséa était enfin
parvenue un fin fond du temple des ténèbres pour trouver la paix
qu'elle recherchait tant. Ces armes maudites ne la laisseraient jamais
tranquille? Elle en avait vraiment assez mais quand elle réussit à
venir au cœur du temple, chargée de toutes ces satanées armes, elle
aperçut une personne qu'elle ne s'attendait pas à revoir un jour. En
effet il s'agissait de l'abominable Nébilim sous sa vraie forme.
Celui-ci semblait l'attendre, il lui fit signe de laisser les armes au
sol en montrant que son intention était différente de celle qu'elle
connaissait si bien.
-Préséa, je t'attendais. Ne te soucis pas
de ma présence. Pour une raison qui m'est inconnu mes armes t'ont
choisi pour rétablir l'équilibre d'un monde sur le point de
disparaître. Il est communément appelé Ignorias si te ne m'obéis pas
ton corps restera ainsi et tu seras à jamais harcelée par les armes
maudites, expliqua-t-il. Préséa n'en revenait pas, l'ennemi lui
proposait de rattraper le temps qui lui avait été volé. Pourquoi un
être maléfique et réputé pour être impitoyable lui donnerait une
seconde chance? Elle se ressaisit puis elle parvint à une conclusion :
Cette opportunité ne se reproduira pas avant un certain temps et elle
était prête désormais à accepter toutes les conditions demandées.
-
Vous y gagnerez quoi? Les personnes comme vous ne servent que leurs
propres intérêts vous n'êtes pas une exception, répondit-elle sèchement
en déposant au sol ce qu'il réclamait.
-Ma chère petite tu as
tellement de choses à apprendre ! Il me semble qu’une mise au point
s’impose, pff ! Déclara-t-il en s’approchant dangereusement de la
gamine surprise de stupeur voyant comment il lui parlait. Comme s’il la
connaissait depuis plus longtemps que n’importe qui d’autre. Mais
qu’est-ce qu’il cachait? Elle aurait bien voulu le savoir!
Non
loin de là, sur le même continent un homme mystérieux déambulait dans
les dizaines de rues que possédait Méltokio. Ces rues étaient pleines à
craquer de bourgeois et bourgeoises pressés de régler leurs petites
affaires sans rien demander à personne. Le monde autour de lui
l’ignorait ce qui le choqua, comment cela pouvait être possible! Enfin
quoi, il était quand même revenu à la vie et personne ne le voyait, ne
s’occupait de lui. Il ne disait rien mais il en avait plus que marre de
passer inaperçu, son ancienne vie était tout le contraire de se qu’il
vivait à présent. Impatient, il leva son petit doigt dans le but
d’inciter la foule à le regarder, mais rien ne se produisit quand
soudain une des paroles de son soi disant guide lui revint. «Tu es un
fantôme pourquoi crois tu qu’ils t’on laissés tranquille? » C’était ce
quelle avait dit à quelques détailles près pour être exacte.
-Alors
c’était donc ça! Ma sœur est passée juste à côté de moi ce soir ci et
pourtant elle ne m’a pas remarquée! Je… Je me souviens maintenant,
mais… Pourquoi Sheena me voit? C’est étrange… Songeait il croyant que
personne ne pouvait l’entendre mais une forme sortie de l’obscurité que
produisait l’ombre d’une grande bâtisse et elle lui répondit.
-L’élue
de Nebilim voit son choisi c’est tout à fait normal. Ca se voit que
vous ne savez pas les règles du jeu. Donc je reprends, aucune forme de
vie humaine ou elfique ne peut vous apercevoir.
Elle s’était exprimée en faisant des grands gestes de désespoir face au manque d’intelligence de Zélos.
-A ouais ? Alors pourquoi Lloyd et les autres m’ont vus? S’hasarda à dire Zélos.
-Pfff
vous n’êtes vraiment pas futé, je me demande ce qu’elle a aimé en vous…
Heu… Je veux dire, vous n’avez pas remarqué que leur comportement était
plus ou moins étrange? Devant aucune réponse elle continua son récit.
Tous ça n’était qu’une mise en scène pour que l’élue sacré soi
convaincu de votre retour, ils ont exactement dit ce que vous vouliez
qu’ils disent. Assez bavardé, vous avez pris une décision sur le
seigneur Nébilim? Allez vous abandonnez notre monde mettant ainsi le
votre en péril? Demanda-t-elle.
-Non, bien sur que non! j’y vais
de ce pas voir celui qui veut la faire souffrir et mourir il va
entendre parler de moi! Dites moi, vous ne lui direz rien? Elle
partirait à ma recherche si elle savait ce que j’ai en tête et je ne
veux surtout pas qu’elle mette sa vie en danger.
Sans attendre de réponses il se mit en route vers le temple des ténèbres là où se trouvait Préséa mais ça il ne le savait pas…
-Ho,
mais j’y compte bien… Qu’elle vienne mon cher neveu… Reprit elle, rien
ne devait contrecarrer ses plans surtout pas lui. Elle ne pouvait se
dire que son amie lui en voudrait mais quelqu’un de plus précieux était
en jeu…
Un
autre plan se mettait en ordre mais en attendant Lloyd et sa troupe
allaient arriver à Heimdall. A leur grande surprise les gardes les
attendaient postés devant le village, ils patientaient, Les voyageurs
se faisaient désirer depuis un bon bout de temps apparemment. Colette
et Lloyd le suivirent sans rien demander ils savaient qu’une lourde
tâche allait leur être confié mais laquelle ? Raine et Génis purent
conclure que les demis elfes n’étaient pas encore considérés comme des
êtres vivants avec des sentiments, ils durent malgré les prostrations
de Lloyd et Colette rester hors du village, décidément le monde
prendrait du temps à changer. Ils s’assirent donc sur le sol recouvert
de pâquerettes et encore froid du matin, les oiseaux de la forêt
commençaient à peine leur choral quand Génis se leva subitement. Cette
pression qu’il sentait dans son cœur n’était pas le fait d’être rejeté,
non ce devait être… Le jeune garçon se mit à courir sous l’air surpris
de sa sœur qui l’appelait en courant derrière lui pour le rattraper.
-Mais
où vas tu ? Génis ! Attends moi ! S’il te plait Génis ! Dit-elle à bout
de souffle de cette course un peu longue pour elle.
-On a pas le
temps Raine ! Préséa… Jamais je n’aurais dû la laisser seul !
Maintenant elle… Vite ! Dit il en s’arrêtant tout en pressant sa sœur.
-Qu’est ce que tu racontes ? Tu te fais des idées comment peux-tu savoir qu’elle va mal? Répliqua-t-elle.
-Je
le sais c’est tout! Vite il faut aller dans le temple des ténèbres !
Elle a besoin de moi, dépêche toi. S’empressa-t-il de dire avant de
reprendre sa lutte acharnée. Dans son esprit tout était embrouillé mais
une chose était sure quelque chose d’énorme se passait et Préséa avait
un quelconque rapport avec ça.
Sur
un autre espace une rose avait peu à peu sentie les rayons du soleil
lui caresser son beau visage endormit. Le vent faisait des allez et
retours dans la chambre. Dans ces mêmes couloirs aérés, la lumière se
transformait en jolis rayons orangés par les rideaux d’une couleur
princière. Les murs tapissés de fleures des champs laissaient pensée à
de vastes prairies. Les oiseaux continuaient leurs chorals angéliques
sans penser qu’ils dérangeaient une demoiselle qui n’avait pas aussi
bien dormis qu’elle le devait. Le grand lit rouge en baldaquin
renforçait l’espoir d’un doux rêve, d’une vie bien remplie. Les cheveux
noires de la nouvelle habitante de se palais s’étalaient sur l’édredon,
comme des centaines de plumes sur une terre lointaine. Enroulée dans
les draps de soie rouge, décorés une fois encore de pétales de fleures
voilettes. Doucement, lentement la dormeuse ouvrit ses blanches
paupières. S’étirant de bon matin, levant les bras si haut qu’elle
toucha du bout de ses doigts glacés le tissu lisse qui enrobait le lit.
Tranquillement elle prit sont courage à deux mains et se leva, elle se
dirigea vers la salle de bain tourna la poignée de la porte qui se
situait du côté droit du lit, juste à proximité un bureau étrangement
bien disposé, des innombrables feuilles blanches étaient sur ce meuble
blanc indispensable à tous nobles qui se respectaient. Sheena entra
dans la salle dite, alluma les lumières, puis elle ouvrit les robinets
du lavabo essayant de se rappeler où elle était et surtout ce qu’elle
avait fait. Un grand mystère était survenu dans l’esprit de la jeune
femme. Elle découvrit avec horreur que ses cheveux menaient une
bataille libre comme l’air. Mon Dieu, par la Déesse qu’avait elle fait?
Avec qui avait elle passée la nuit? Prise de panique elle marcha de
long en large à fin de trouver certaines réponses à ses multiples
interrogations. Retournant dans la petite pièce où elle était à son
réveille, elle s’assit sur le lit en baldaquin rouge écarlate et
remarqua le détaille insignifiant qui allait révéler les choses
importantes de sa soirée mouvementée. Sur le bureau du rouquin était
placer certes des feuilles blanche et des craillons de papier mais un
ruban rose dépassait de l’unique tiroir. Attirée par ce tissu qu’elle
passait habituellement dans ses cheveux, Sheena s’empressa d’ouvrir la
boîte de ses réponses, elle s’agenouilla donc et elle commença à trier
les dessins qu’elle découvrait peu à peu. A sa grande surprise, la
majorité des images la représentait dans sa tenue de tous les jours,
dans divers paysages et dans plusieurs contextes. Dans chaque cas des
écrits au dos des feuilles prouvaient que l’auteur n’était autre que
Zélos en personne. Dans cette révélation, la brunette saisit son ruban
et se recoiffa. Cependant un autre parchemin tomba en même temps. Il
n’était pas question de portrait mais plutôt d’une confession lisez
plutôt:
Ma
princesse, une nouvelle fois je suis obligé de m’adresser à toi
indirectement. Des choses terribles vont se passer si jamais dans notre
fuite Abysson ou Carolaine nous retrouvaient, je n’ose imaginer leur
colère et les conséquences. De plus de mon vivant j’ai toujours et tu
ne saurais le nier pensé qu’à ma propre petite personne et je t’ai dit
que je changerais. C’est donc dans se but que je te désobéis, offrant
m’a vie au maléfique Nébilim pour épargner ton existence et dans le but
de sauver l’équilibre déjà instable de notre univers. Pardonne-moi,
Sheena. Je t’aime et tu le sais, et je te demanderais de ne jamais
m’oublier.
Zélos, Wilder
La
sanction ne se fit pas attendre sous des doigts fins, une Sheena colère
et énervée, chiffonna la lettre de son ami. Il lui avait menti, et il
allait se sacrifier! Non il fallait qu’elle fasse quelque chose. Ce qui
lui provoqua une prise de conscience, elle savait dorénavant où elle
était et pourquoi elle y était. Comprenant ce que ce beau parleur
était, elle prit son élan fin prête de lui mettre une racler maison
dont il se souviendrait! Elle était vraiment en rage, la haine qu’elle
accumulait au fils des jours avait enfin vu la lumière du jour. Elle
sorti du bâtiment et vit avec surprise dans une flaque d’eau son
accoutrement, ses vêtement étaient noircis et déchirés mais elle s’en
fichait tout ce qui comptait pour l’heure était de retrouver Zélos au
temple obscure avant la catastrophe. Pour aller le plus vite possible
la jeune femme dévoila sa véritable apparence, personne n’aurait pu la
reconnaître sous cet angle ci…
Pendant
que tout ceci se tramait. Colette et Lloyd marchaient en direction de
la maison, reconstruite de l’Ancien. Ils purent en chemin admirer les
travaux en cours, tout était rénové et développé avec la fabuleuse
magie des elfes. Toute les résidences telles qu’elles soient
reluisaient de mille feus, leur couleur variaient de temps à autre
selon le vent et la température semblait il. Les habitants de ce
fabuleux village, admiraient eux aussi le merveilleux travail qu’ils
avaient produit depuis le chute de la tour du salut. Toutes les
boutiques portaient de nouveau l’insigne qui leur correspondait. Les
douces mélodies d’une des elfes attirèrent l’attention des deux
voyageurs, la femme qui faisait ces sons majestueux était entièrement
vêtue de bleu, sa modeste robe en synthétique reflétait les lueurs de
l’aube, ses cheveux mauve s’accordaient parfaitement aux paysage
mystique de Heimdall. Sa flûte traversière en argent enchantait les
plus haut responsable de se village. Mais qui était elle? Comme si les
moindres notes se transformaient en une redoutable armes qui vous
ferait oublier en un seul air le goût de la vie. Quand ces visiteurs
parvinrent dans la maison du chef, leur esprit se concentra sur le
moment présent. Le doyen du village se faisait vieux et il était obligé
de rester assit pendant que les travaux avançaient, contraint de faire
confiance aux siens. De sa voix roque il commença son récit.
-Humains,
une nouvelle tragédie se prépare. Et c’est de ce fait que nous vous
demandons de l’aide, je vous pris de m’écouter attentivement car cela
peut être confus dans vos idées. En premier lieux, notre monde est le
résulta d’un équilibre parfait entre le bien et le mal mais aussi de la
logique et de l’incohérence. Il existe au tour de nous des connexions
avec ces dimensions, s’il advenait que ces contrés produisent plus
d’énergies qu’ils en devraient ce pouvoir prendrait ce monde à jamais.
En ce moment précis les quatre éléments luttent pour prendre le
pouvoir. C’est pourquoi chaque pays a choisi son sauveur en sachant que
ses personnes vont êtres guider par un individu qui à échoué dans cette
mission auparavant.
-Attendez,
Heu, es ce que vous dites que Colette et moi avons été choisis, pour
cette quête? Demanda Lloyd confus par ces propos.
-Il
semblerait, nous, elfes avons le devoir de préserver ce qui reste du
pouvoir de la paix. Dans cette dimension, tout n’est que bonheurs, même
les crimes les plus horribles sont considérés comme une source de joie.
Et ce depuis que le souverain Nathan, Luniar a été assassiné par son
propre fils qui est devenu un prédateur de pouvoir et de vengeance. Il
a fait ceci pour recevoir son héritage plus rapidement provoquant ainsi
une surdose d’obscurité pour Niblaibinne, le monde des ténèbres. Nous
redoutons qu’il tente de devenir le maître des peines perdues également
par des fins qui nous ignorons. Continuait il usant le peut de forces
qu’il lui restait.
-Mm… Ancien, vous allez bien ? Demanda Colette réceptive aux signes de fatigue que laissait le doyen du village des elfes.
-Que
j’aille bien importe peu, l’important c’est que vous sauviez
Luminariess de la crise où il se trouve. Humain notre conversation
s’achève, allez vous oui ou non sauver ce pays ?
-Nous
ne pouvons refusez si le monde est de nouveau en danger je jure et
promet que je le sauverais au péril de ma vie ! Annonça Lloyd
enthousiaste par cette aventure périlleuse. Mais qui sera notre guide ?
-J’y
arrive jeune impatient. Pour m’assurer de votre réussite ma fille vous
accompagnera jusqu’à la porte de lumière, elle vous expliquera la suite
de votre mission. Sur ce, au revoir, notre prochaine rencontre sera
lors de votre réussite.
Le
vieil homme termina lentement sa phrase et regagna sa chambre en
s’appuyant sur toutes sortes de meuble renouvelés après l’accident.
Lloyd et Colette prirent le temps de résumer les choses. Touts ce
qu’ils venaient tendre bouleversaient ce qu’ils croyaient. Ces
histoires, l’équilibre, le bien qui serait contre tout le mal mais avec
un large sourire tout ceci les dépassaient complètement, avec un peu de
chance, la fille de l’Ancien leur donnerait plus d’informations. Après
une petite mise au point, ils sortirent dans la maison en bois. La
petite Colette emprunta l’escalier, devancée par Lloyd qui restait
passif. Il était vraiment étrange ces derniers temps, il n’était plus
impulsif comme par le passé. Depuis que son père était repartit il
n’était plus le même, jamais il ne serait douté qu’il tenait à lui
comme ça. Il avait petit à petit perdu tout espoir d’un retour probable
et le petit ange voulait tant lui dire que son père était là qu’il se
souciait de lui, qu’il veillait consciencieusement à son bien être.
Mais elle n’en avait pas le droit pas tout de suite mais ce soir… Alors
qu’elle entreprit l’avant dernière marche, une petite latte dépassait
entre les autre planches qui constituaient l’escalier, l’ange dans
toute sa grâce trébucha et glissa, ce fut sur les fesses qu’elle finit
de descendre les marches. Elle était restée là un instant et quand elle
daigna lever la tête, elle vit Lloyd à genou inquiet pour elle.
-Colette ! Tu vas bien ? S’inquiéta-t-il. Tu as mal quelque part ?
-Je vais bien, je suis désolée Lloyd. S’empressa-t-elle de répondre en souriant pour lui assurer qu’elle se sentait bien.
-Combien de fois t’ai-je dis de plus t’excuser ? Soupira-t-il.
-Des
centaines de fois Lloyd, je suis désoleé. Dit elle avec de grand yeux
bleus pleins de nouveaux espoirs, ils restèrent là à ce contempler l’un
l’autre, pour une fois depuis la réunification le jeune homme avait
oublié son père, pour l’heure seule la santé de son amie d’enfance le
préoccupait. Soudain une douce voie féminine interrompit cette
situation. Et se fut avec surprise que Lloyd en se relevant reconnu
presque immédiatement la flûtiste. Cette belle demoiselle aida Colette
à se relever pas sans un sourire, c’était avec délicatesse qu’elle la
prit par la main et la releva.
-Bonjour,
je suis votre guide. Je m’appelle Emillia et je suis la détentrice du
pouvoir lumineux. Vous devez être les héros du monde uni ? Si vous le
voulez bien vous mettre en route pour le chemin de « l’ascension ».
Allons y !
Colette, Lloyd et Emilla partirent pour l’aventure au péril de leur vie !
-Je suis sure que l’on va bien s’entendre ! S’écria-t-elle en prenant un air enjoué.
Se tournant et montrant du doigt le portique dans l’entré de village elle ajouta.
-Et c’est parti pour le sommet des monts fogjie !
-Elle me rappelle une personne… Soupira Lloyd. Ma foi ce serais bien qu’il soit là parmi nous…
-Lloyd… Avait glisser Colette ayant deviné qu’il s’agissait de leur compagnon décédé.
-Vous
parlez de Zélos Wilder n’est ce pas ! Dans ce patelin tout le monde
raconte que s’était mon frère jumeaux, bien sûr ce n’est qu’une rumeur.
Allez c’est parti pour une longue quête sur lequel ma musique servira
de clef qui libéra le monde des voleurs et des malfaiteurs qui sont de
vrais plaies ! Lança Emillia en empoignant ses deux camarades de jeu.
Ho et j’allais oublier ! Vos amis sont déjà parti en courant ils
devaient être pressés ou je ne sais quoi. Ne vous inquiétez pas pour
eux et en route !
Dans
le bureau d’Altamira, le duc Bryan s’occupait des derniers dossiers en
cour, le travail abondait et il n’allait pas se faire tout seul.
Maintenant qu’il était revenu il allait tout reprendre en main. C’était
vrai que George remplissait cette tâche avec merveille. Cependant il
avait rejoint Alicia depuis un certain moment déjà, cette perte avait
causé un grand vide dans l’entreprise et la cité balnéaire devait
tourner. C’était dans ce but que Régal comptait demander à Raine de
l’assister mais elle était occuper avec la discrimination qui
l’opprimait, il n’osait donc le lui demander. Il relisait des contrats
quand il entendit le cliquement de l’ascenseur indiquant qu’une
personne montait dans le bureau. Les escarpins d’une femme résonnaient
dans la cage de l’ascenseur elle devait sans doute venir sous ses
ordres, mais le dirigent avait tellement de travail qu’il ne se
rappelait plus l’avoir convoquée.
-Bonjour,
monsieur Régal je suis la nouvelle employer que me voulez vous ?
Demanda la nouvelle arrivante, cette demoiselle ressemblait à Hilda en
plus modeste, son visage et ses yeux bleus laissaient sans voix. Ses
cheveux lisses tombaient sur ses épaules, sa coiffure restait contre
toute attente simple. Cette même dame portait une tunique bleu marine
compléter par de magnifiques dentelles sur les manches et sur les bords
de sa jupette. Des souliers verts protégeaient ses petits pieds.
-Je
vous en pris mademoiselle, garder votre calme. Dit il pour la rassurer.
Vous êtes ici en temps que sculptrice vous n’avez pas à avoir peur.
D’après votre lettre de motivation, vous avez les qualités requises
pour faire partie de notre grande famille. Vous vouliez du travail nous
en avons pour vous, mademoiselle…
-Xhantra. Xhantra Kéler pour vous servir, avec plaisir et un sourire. S’exprima-t-elle.
-Hé,
bien Xhantra, je vous souhaite la bienvenue parmi nous, je suis certain
que vous vous plairez. Nous avons mis à votre disposition la boutique
dans l’hôtel, pas très loin de votre chambre. Ajouta-t-il c’est tout
vous pouvez retourner à votre travail, je passerais vous voir dans
l’après midi. Au revoir… Xhantra.
Quand
la jeune femme fut partie. Régal se sentait en parfaite confiance, cela
faisait longtemps qu’il ne s’était senti aussi détendu. Il avait beau
avoir des amis il ne cessait de se demander quand il pourrait redevenir
lui même. La compagnie de Préséa le rassurait mais elle n’était qu’une
amie de plus il la considérait comme sa propre sœur, après tout c’était
la sœur d’Alicia, son Alicia à qui il pensait constamment.
Toute
la journée, Zélos avait couru en direction du temple ténébreux. Plus il
avançait plus il éprouvait la terrible sensation de trahison. Depuis
qu’il était revenu on ne sait comment il avait éprouvé ce vide immense,
aucun goût ne lui survenait, les douleurs étaient maigres par rapport à
ses souvenirs. Seule Sheena avait pu le voir et lui faire du mal
véritablement il n’avait pas comprit les paroles de sa guide au début
mais maintenant tout était clair. Il fallait que sa princesse croit
qu’il était revenu comme un être vivant normal mais la réalité était
tel que personne ne le voyaient, son entourage n’était que les
réactions auquel il s’attendait juste ce qu’il fallait pour que Sheena
n’y prête pas attention au manque de réaction de ses amis. Lloyd et les
autres, si ils l’avaient vraiment vu ils auraient sans aucun doute
sautés de joie ou encore Colette aurait pleurée de bonheur ce n’est pas
tout les jours que les morts reviennent à la vie. Il était enfin arrivé
au temple, il n’avait pas changé du tout, il était resté froid, humide
et lugubre. Il descendit au plus profond c’est à dire jusqu’au sceau de
Shadow. Aucune trace de Nébilim, n’y de Abysson d’ailleurs. Il se
promenait en attendant quand il remarqua une petite encoche dans le sol
noir de la pièce. Il glissa sa main à l’intérieur et souleva se qui
semblait être une trappe. Cette trappe donna sur un escalier qui était
relié à une immense pièce entièrement peinte de violette. Seul un tapis
immense, imprimé de tache de rouge habitait la pièce. Une chose attira
l’attention du jeune homme. Sur les murs de cette chambre secrète
étaient accrochés des centaines de feuilles, images et documents en
tout genres. Toutes ces feuilles dessinaient un grand chemin reliant
plusieurs personnes. Tout commençait par Abysson, les documents
retraçaient son histoire. Le rouquin s’en fichait éperdument, il passa
donc à la suite.
-Alors, alors, voyons ce que nous avons là. Marmonnait il. Carolaine, Niblainne descendance indirecte… Seigneur du mal… Bla bla bla. Bon je m’en fiche la suite.
Zélos Wilder, tiens ça devient intéressant tout ça. Fils de Milène, détentrice élémentaire du pouvoir, qu’elle donnera à son fils le jour de sa naissance. Hein ? Le sacrifier, c’est le choisi ainsi que le nouveau roi de mal à cause d’un amour ou d’un choix.
Hé mais ça veut dire quoi ça ? N’importe quoi, non mais ils me prennent
pour quoi ? Un objet que l’on déplace quand on veut. S’énerva-t-il mais
il n’est était pas au bout de ses surprises. Bon passons. Sheena Fujibayashi. Quoi elle aussi si il prévoit de la faire souffrir je le ferais rôtir !
Sœur pure de Carolaine, elle porte en elle mes pouvoirs suprême c’est
elle la futur reine de mon village, elle doit passer l’ultime épreuve
pour sauver ce qu’elle à de plus précieux. Pour ce faire l’ange
démoniste doit se dévoiler devant son véritable amour le dégoûtant de
ce qu’elle est véritablement. Et comme cela elle prendra la tête de mon
armée et reconquérir le monde sacré abondonnant toute vie heureuse,
telle est la prophétie des invocatrices. Quoi ?! Mais il n’en n’est
pas question ! Jamais je laisserais ça arrivé ! Jamais elle ne mettra
les pieds sur Niblaibinne ! Zélos prit le temps de se calmer tout ce
remue ménage ne changera pas la situation mais il n’en resterait pas là
il avait bien l’attention d’en terminer pour de bon pourquoi Sheena
devrait subir les conséquences de la mi-résurrection de Zélos. Ce
n’était pas juste. Il remonta les escaliers et se retrouva face à face
de l’ignoble Nébilim. Cet homme il le détestait dans les moindres
détails. De quel droit faisait il tout ça ? Non il n’avait pas le droit
ni le pouvoir.
-Alors
comme ça on s’amuse à fouiner dans l’antre du démon. Tu es pathétique !
S’écria-t-il à l’insu de Zélos. Bon puisque tu es là, je vais me faire
un plaisir de te torturer. Tu n’es plus d’aucune utilité pour mon
plan ! Il fallait juste que tu viennes avec ta fiancé et toi que fais
tu ? Tu te sacrifies pour une humaine ! Ho mais non, ce n’est même pas
une humaine c’est…
-La
ferme ! Hurla dès lors le combattant. De quel droit tu fais cela et de
plus nous ne sommes pas fiancé ! Que ce que tu t’imagines, ce n’est pas
parce qu’elle m’a dit une ou deux fois qu’elle m’aimait qu’elle veut
forcément m’épouser. Vous les démons êtes si arrogants !
-Non
mais quel idiot ! Dire que c’est toi l’enfant de Milène… La tradition
de Mizuho débile ! Lorsqu’elle a détachée ses cheveux, elle t’a demandé
en mariage ! Bref ça n’a servit à rien puisque tu vas mourir.
Et
sur ce le seigneur du mal leva son bras et l’épée de Zélos disparue
dans l’obscurité, à sa stupéfaction il ne pouvait rien y faire à peine
s’en était il rendu compte qu’il fut projeté contre un arbre qui
poussait ici, il était noir c’est pour cela qu’il ne l’avait pas
remarqué avant. Immédiatement des ronces vinrent le faire prisonnier.
Il était pris au piège mais cette fois il ne regrettait rien, s’il
mourait Sheena trouverait un moyen de le détruire. Quand le malfrat
s’aperçu qu’il ne faisait rien pour ce débattre il décida de jouer un
peu avec ses sentiments.
-Dis
moi, quel effet ça fait de faire souffrir la femme que l’on aime le
plus au monde ? Lui susurra-t-il dans l’oreille. Et si je la forçais à
te tuer. On dit que les fantômes reviennent parce qu’ils ont des
remords et que si on détruis l’objet de ses remords il brûle en enfer.
J’ai envie de voir si c’est vrai. Comme il ne répondait rien, le bandit
le gifla. Mmm apparemment ça te fait rien, tu n’éprouves pas de
remords ? Tu t’es fichu d’elle n’est ce pas ? Sache mon futur souverain
que je ne permets pas que tu séduises à ta guise les femmes qui doivent
me suivre. Elle va être tellement heureuse de ta mort. Ne ressens tu
pas la peine que tu lui infliges ? Si tu n’étais pas né, ses parents
n’auraient pas été assassinés. Si Mylène ne t’avait pas protégé, cette
demi elfe ne se serait pas aperçu que des honnêtes personnes, se
baladaient avec leur fille dans ce coin. Et elle ne les aurait pas
pourchassés. Tout est de ta faute tu a tué tout ce qu’elle avait de
précieux. Alors tu ne dis rien ?
Déboussolé
par le manque de réaction de Zélos il décida de passer à l’action pour
sa faire il lui tira sa magnifique chevelure vers le bas.
-Je vais abréger tes souffrances.
-Aïe !
Mais que veux-tu à la fin. D’abord tu veux mon corps, ensuite tu veux
te débarrasser de moi. Et maintenant tu veux t’en prendre à Sheena ! Tu
n’es qu’un monstre, elle te tuera ! Tu peux en être sûr ! Cria-t-il.
-Comme
c’est bizarre je n’ai jamais prononcé ce nom là. Mais tu m’énerves
puisque tu n’es pas coopératif, je vais commencer tout de suite.
Préséa ! Mon couteau runique dépêche toi ! Notre torturé fut désemparée
pas ces mots la petite Préséa avait elle un rôle à jouer dans cette
histoire ? Mais quand il l’aperçu, il ne se demandait plus rien elle
était tout simplement possédée par un esprit. Ses yeux scintillaient
comme des saphirs ils laissaient clairement penser à cette possibilité.
Aussitôt qu’elle eut donné ce que voulait à Nébilim, elle partit dans
un immense nuage de fumée noire. Le malfrat profita de l’instant
d’inattention de Zélos pour graver à la pointe de son canif des
cercles, des images, il le vidait comme cela peu à peu de ses forces,
il le saignait profondément. Zélos voyait des flashes, de grandes
traînées blanches dans son esprit. Quand soudain plus rien. Juste des
cris dans sa tête qui lui disaient : Tu as tout perdu, t’a mère, ton
honneur, tes amis, ta tante et pour finir ton amour, ne crois tu pas
qu’il serait temps pour toi de mourir ? Le principal choisi relava sa
tête dans la lumière blanche. Il était prêt pour rejoindre la lumière.
Quand un bruit retentit violemment et que la chaleur maléfique partit.
Cette voix il l’a connaissait si bien c’était… La plus belle voix qu’il
avait entendu de sa vie de mortel.
-Zélos ! Pourquoi tu es venu je t’avait dis de rester avec moi ?! articula la femme.
-Sheena
va t’en ! Si je meure tu n’auras plus à supporter tout ça ! Il avait
raison. Je t’en pris vas t’en et te retourne pas. Lui lança-t-il.
-Non,
mais tu ne crois pas que je vais fuir et te laisser mourir ! Tu n’es
pas bien, si tu meurs je mourais aussi. Je l’ai déjà fait une fois, je
ne ferais plus cette erreur. Lui répondit elle.
-Va t’en n’essaye pas de jouer les héros. Fais ce que je te dis ! Cria-t-il éclatant pour de bon en sanglots.
-Tu
crois vraiment que je vais partir ? Mais tu te fiches de moi si je pars
d’ici ce sera avec toi ! Dit elle en courant vers lui, elle caressait
lentement ses plaies saignantes, elle passait ses doigts entre tout les
détailles des symboles, sa peau était glaciale au contacte de sa peau.
Si tu crois que je vais te laisser te faire dévorer par ce… Ce débile
mental, tu te trompes. Aussi vrai que je t’aime, je ne te laisserai
plus tout seul dans des cas comme ça. Zélos, tu es un abruti si tu
crois que je vais partir sans toi. Ajouta, la femme perdue.
-Parts ! Parts, vite ! Si tu m’aimes va t’en. Supplia son amant.
-C’est
parce que je t’aime que je suis là imbécile. Pendant que la romance
jouait son rôle et que les deux amoureux s’aidaient mutuellement, le
méchant de l’histoire riait à pleine joie. Il interrompit s’en rancune
cette atmosphère.
-Ha,
ha, ha ! Comme si vous pouviez lutter contre moi et Carolaine !! C’est
tellement drôle. Des cet instant l’appelé sortit de l’ombre tête
baissée. Tandit que Nébilim la saisissait par la taille sous les yeux
ébahies des piégés.
-Carolaine !
Tu nous a trahie, comment ai je pu te faire confiance enfin tu a dis
toi même que Sheena était ta sœur. Comment fait tu pour vivre avec ça ?
Alors c’était lui ton êtres aimé maléfique ! Avait dit Zélos à bout de
force.
-Trahie ?
Voyons Zélos tu fais exactement la même chose que moi. C’est à cause de
Sheena si j’ai abandonné mon peuple il m’a forcé à choisir entre elle
et Abysson ! J’ai choisi ma famille. Et tu sais quoi j’ai perdu
Abysson, mes parents et de tout ça le pire c’est que tu sois mêlé à
tout ce cirque à cause de Mylène et de moi! Grogna-t-elle.
-Tu as trop parlé Carolaine, tais toi. Imposa Nébilim.
-Oui
seigneur, légendaire. Fit-t-elle en se soumettant. Elle voulait se
battre, elle voulait lutter contre lui mais les sentences seraient bien
trop lourdes pour elle, et Abysson serait perdu à tout jamais.
-Non,
mais, c’est à toi de la fermer ! Railla Sheena. Tu n’as pas le droit de
vie ou de mort. Ca t’amuse peut-être de faire souffrir les autre mais
pas moi. Enfin c’est quoi ton problème. T’a fiancée t’a lâché c’est ça.
Ou alors…
-Arrêt,
ça Sheena tu vas le mettre en colère. Et ce n’est pas mauvais
conseille ! Intervient sa sœur. Mais rien ni faisait, mais Zélos fut
surprit par cette attitude.
-Tu
crois que je vais t’écouter ? Non mais tu me sous estimes, mais occupe
toi de tes affaires et pas aux miennes ! Je n’ai aucune idée de qui tu
es mais la prochaine fois que vous le touchez tous les deux vous le
regretterez toute votre vie ! Pendant que le mal en personne
boulonnait, Sheena continuait ses suppositions.
-Ho
non je suis désolé. Nan ce n’est pas ça du tout t’a femme t’a trompé
avec un autre homme et un jour pouf, elle n’était plus la ! Tu croyais
que j’avais tout oublié que je ne m’en souvenais pas bah c’est perdu !
J’ai tout vu tout assisté et je suis heureuse qu’elle t’ai abondonné
sans ça notre ligné aurais été complètement néfaste !. Elle ne cessait
de répéter ses quelques phrases elle s’était placée juste devant le
torturé et elle le lui avait donner un petit couteau typique de Mizuho
sans que l’ennemis s’en aperçoive, l’intelligente femme l’avait caché
dans sa manche et l’avait donné à Zélos tout en parlant. C’était une
jolie stratégie.
-Et
pour finir le tout elle a donnée naissance à une fille. Nébilim
n’appréciait guère ses remarques désobligeantes. Ce qui l’énervait
encore plus c’est qu’elle avait raison !
-Tu va te taire petite peste tu crois que toi et l’autre vous étiez un couple parfait ! Laisse moi rire ! S’exclama-t-il.
-Et…
Etiez ?! Cria de suite Sheena. Le maléfique afficha un large sourire de
satisfaction et leva sa main vers le jeune couple, un éclair jailli de
ses mains. La puissance de ce coup aurait tué n’importe quel Homme. Le
rayon violet arrivait à toute allure sur Sheena. Elle savait qu’elle
n’y survivrait pas. Son heure approchait et elle restait statique. Il y
avait tant de choses qu’elle aurait aimé vivre. Elle aurait voulu
devenir la grande chef de Mizuho, elle aurait voulu revoir Kuchinnawa
revenir dans son village, elle aurait dû dire à son grand père qui elle
était. Et surtout elle aurait voulu se marier, se marier avec le seul
homme qu’elle est jamais aimé et puis elle aurait voulu avoir des
enfants, oui plein d’enfants elle les aimaient si fort, les voir avec
leur père, passer des bons moments avec tout sa famille, organiser des
anniversaires, les voir grandir, et maintenant tout ces projets
d’avenir allaient être anéantis en un instant, en un éclair un seul axé
de colère et tout c’était envoler. Elle ferma lentement les yeux attend
la minute où elle mourait. Mais une chaleur commune la força à rouvrir
les yeux. Ce fut une chevelure rouge vif qu’elle distingua avant tout.
Zélos venait de se placer devant elle la sauvant du choc mortel. Sheena
écarquilla grand les yeux. Non ce n’était pas possible pas lui pas pour
elle non !
-Sheena,
je t’avais dit de fuir, tu n’en n’as fait qu’à ta tête mais je t’aime
comme ça tu sais. Lui dit il en tombant dans ses bras, il était couvert
de sang, cette fois il la sentait la douleur. Alors que sa belle mis un
pied à terre et commençait l’allonger sur le sol, Zélos souriait il
réunit ses toutes dernières forces qui lui restait et ajouta. Prend
soin de toi ma princesse ne soit pas triste c’est la deuxième fois que
je meure ce n’est plus douloureux… Je t’… Ai…m…e. Et la flamme qui
brûlait en lui s’éteignit.
-Non
Zélos je t’interdis de me dire un truc pareil ! Tu ne vas pas mourir !
Pas pour moi, je t’en pris ouvre les yeux ! Disait elle entre ses
multiples larmes abondantes qui coulaient le long de ses joues. Tu n’as
pas fini de vivre ! Non reste avec moi ! On a rien fait encore, je veux
que nous nous mariions, Zélos répond moi, je t’en prie. Disait elle
sous ses mains froides et tremblantes de peur. Pas encore, non, ne
meure pas… Je t’en pris C’était l’histoire d’un couple qui s’aimait
infiniment mais qui ne se l’était dis que trop tard. Mais es la fin ?
Tout est fini ? Ca c’est encore à voir...
<< précédent