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Tales of Symphonia for ever

16 octobre 2009

Yuan - par Marina Ka-fai

yuan_001

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16 octobre 2009

[OS]: Cadeau d'anniversaire - par Marina Ka-fai

BONJOUR TOUT LE MONDE ! ^^
Oui j’ai la pêche (et des pommes et des poires et des scoubidou-bidous XD).

Me revoici avec mes histoires à la guimauve dont j’ai le secret ^^

Le couple c’est…..du MINA c'est-à-dire du Mithos YggdrasillxPronyma * toute fière *

Risque de OOC majeur que je vais essayer de contenir, pas de tomates s’il vous plait, la dernière fois ça a rendu Kratos et Lloyd malade.

Résumé : C’est l’anniversaire de Pronyma et personne, je DIS bien personne, ne s’en soucie. Sauf un blond qui se dit : « Merde, il y a quelque chose aujourd’hui mais quoi ? »Comme quoi, blond rime avec con XD * non oubliez ça ^^*

Enjoy ^^

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Cadeau d’anniversaire


14 février, jour de la Saint Valentin, vingt-huitième anniversaire de Pronyma.

Oui, c’était son anniversaire mais elle s’en fichait, personne ne lui souhaitait. Kvar ? Il lui envoyait des cartes de mort.
Kratos ? Plus sympa déjà, ce jour-là, il lui adressait un sourire discret qui signifiait dans un langage Kratosien développé pour les connaissances : « Joyeux anniversaire ».Puis il y avait Yggdrasill, de son vrai nom Mithos. Un peu comme Kratos en fait mais pour Pronyma c’était énorme. Il n’en avait pas l’air Mithos mais c’était un timide.
Seulement, ce jour-là rien, rien de rien. Il avait dû oublier. Après tout, elle était juste une employée.

Revenons sur cette fâcheuse aventure, voulez-vous ?

14 février, Saint Valentin, 8h00 a .m à Welgaia.

Mithos venait tout juste d’arriver à Welgaia, la tête encore dans le ….brouillard, restons polis.
Tout allait bien, les anges étaient toujours aussi dénués de sentiments mais Mithos avait l’impression que quelque chose de spécial avait lieu aujourd’hui.

-Merde, j’ai l’impression qu’un truc m’échappe…Il se passe un truc aujourd’hui mais quoi ?

Il vit Kvar avec une carte de mort à la main.

-Toujours aussi con ce mec, qu’est-ce qui m’a pris de l’engager ce nul ? Je sais, je vais demander à Kratos pourquoi, il sait toujours tout, lui.

Il le chercha et le trouva, pensif sur les hauteurs de la ville.

-Kratos !
-Seigneur Yggdrasill.
-Laisse tomber les formalités, je viens te parler en tant que Mithos pas Yggdrasill. Dis, comment ça se fait que j’ai engagé un con comme Kvar ?
-T’étais bourré ce jour-là, c’était le jour de mon anniversaire, tu te rappelles ?
-Anniversaire….MERDE ! C’est l’anniversaire de Pronyma et j’ai oublié ! Quel con !
-Yuan serait heureux de te l’entendre dire.
-Lui, je l’enquiquine. Faut que je trouve un cadeau…
-Va sur Tésséh’alla, achète une belle bague et demande-la en mariage.

Mithos fut aussi rouge qu’une tomate et Kratos mort de rire.

- Ecoute Mithos, ça crève les yeux que tu l’aimes, c’est la seule désian à qui tu témoignes autant d’affection.

Kratos marquait un point, Mithos faisait plus attention à Pronyma qu’aux autres. Elle était sympathique, elle était d’une loyauté sans failles, elle travaillait efficacement, elle n’embêtait jamais son monde.
Et puis il fallait dire aussi qu’elle était jolie, Pronyma. Mithos s’était toujours senti bien et à l’aise avec
elle. Quand elle souriait, il sentait son corps et son cœur se réchauffer. C’était un sentiment qu’il n’avait jamais ressenti avant. Et si Kratos avait raison ? Et si il aimait réellement Pronyma ? Jamais il ne s’était soucié des autres cardinaux ou anges, à part Yuan et Kratos, alors pourquoi elle en particulier ?

- T’as raison Kratos, je vais descendre sur Terre essayer de lui trouver un beau cadeau.

Il prit le téléporteur le menant à la terre ferme et entama sa croisade pour un beau cadeau.


14 février, Saint Valentin, 10h00 a.m Tésséh’alla.

-C’est bien beau, mais je peux lui offrir quoi ?

Le blond se remémora les paroles de Kratos avant de piquer un fard digne des personnes nobles du XVIII siècle qui en mettait à outrance. La demander en mariage…Déjà qu’il n’était pas sûr de ce qu’il ressentait.
Mithos fouilla toutes les villes de Tésséh’alla en vain. Il n’arrivait pas à trouver un cadeau digne de la jeune demi-elfe. Il essaya sa chance à Sylvarant, même résultat. Ce fut un Mithos dépité qui rentra dans la soirée à Welgaia.

14 février, Saint Valentin, 20h00 Welgaia.

Pronyma vit Mithos dépité. C’était rare qu’il soit si abattu. Elle se risqua timidement à s’enquir de son tracas :

-Seigneur Yggdrasill, vous vous sentez-mal ?
-Non tout va bien.
-Pardonnez-moi d’insister mais vous avez l’air si abattu !

Il la regarda, elle était si belle ! N’y tenant plus, il la prit contre lui et l’embrassa. Surprise, Pronyma se laissa ensuite aller. Et ce fut un Mithos aux joues pourpres qui lui souhaita :

-Joyeux anniversaire Pronyma.

Il s’éloigna et fut obligé de reconnaître que Kratos avait raison, il aimait Pronyma.
Quand à Pronyma, qui l’aimait depuis le premier jour, ce fut le plus beau cadeau d’anniversaire qu’elle eut de sa vie.

Fin

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Je le sens mal, je le sens très mal….Oui le OOC est de rigueur pardon TT
Reviews ou pas reviews ?

16 octobre 2009

Contes parodiques de ToS - Chapitre 8: La princesse et la petite exspère - par Marina Ka-fai

Hello mes amis !

Me revoici pour un nouveau conte ! Toujours sur Word, pardon pour la qualité.

Euh Forcystus, tu fais la gueule ?

Forcystus : ….

Lloyd : Il t’en veut encore pour la mort de Kate dans Peau d’âne.

Ben il va être content car mon couple cette fois-ci c’est ForcystusxKate

Forcytus : T’es sérieuse ?!

Pour me faire pardonner ! ^^

Le conte est La Princesse et le petit pois mais ça va devenir La Princesse et la petite exsphère

Voici le staff :

Le prince : Forcystus

La princesse : Kate

Le roi : Yuan Ka-Fai

La reine : Martel Yggdrasill

Le conte est assez court mais il est mimi ^^

Enjoy.

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La princesse et la petite exsphère

Il était une fois le prince Forcystus d’Isélia qui voulait épouser une princesse, mais une vraie princesse.

* Coupure *

Pronyma : Il est exigent !

Forcytus : Tu peux parler toi, t’as des vues sur le Chef !

Pronyma toute rouge : C’est pas vrai !

Forcystus : Si c’est vrai !

Pronyma : Non !

Yggdrasill : Arrêtez votre débat hautement philosophique, ça devient dur de suivre l’histoire !

Kratos : On en est qu’au début.

Yggdrasill : Ah bon merde !

* Reprise *

Il fit le tour de la terre pour en trouver une mais il y avait toujours quelque chose qui clochait ; Des princesses, il n'en manquait pas, mais étaient-elles de vraies princesses ? C'était difficile à apprécier, toujours une chose ou l'autre ne lui semblait pas parfaite. Il rentra chez lui tout triste, il aurait tant voulu avoir une véritable princesse.

* Coupure *

Colette : C’est vrai qu’il est triste de ne pas avoir trouvé de princesse ? TT

Anna : Il va la trouver sa princesse !

Colette : C’est vrai ?

Lloyd : Normalement ouais ^^

*Reprise *

Un soir, par un temps affreux, éclairs et tonnerre, cascade de pluie que c'en était effrayant, on frappa à la porte de la ville et le roi Yuan lui-même alla ouvrir.

C'était une princesse qui était là dehors. Mais grands dieux ! De quoi avait-elle l'air dans cette pluie, par ce temps ! L'eau coulait de ses cheveux et de ses vêtements, entrait par la pointe de ses chaussures et ressortait par le talon ... et elle prétendait être une véritable princesse, fille du Pontife de Tésséha’lla !

- Nous allons bien voir ça, pensait la reine Martel, mais elle ne dit rien.

Elle alla dans la chambre à coucher, retira la literie et mit une petite exsphère au fond du lit ; elle prit ensuite vingt matelas qu'elle empila sur le petit pois et, par-dessus, elle mit encore vingt édredons en plumes d'eider. C'est là-dessus que la princesse Kate, car tel était son nom, devrait coucher cette nuit-là.

Au matin, on lui demanda comment elle avait dormi.

- Affreusement mal, répondit-elle

Je n'ai presque pas fermé l'oeil de la nuit. Dieu sait ce qu'il y avait dans ce lit. J'étais couchée sur quelque chose de si dur que j'en ai des bleus et des noirs sur tout le corps ! C'est terrible !

Alors, ils reconnurent que c'était une vraie princesse puisque, à travers les vingt matelas et les vingt édredons en plume d'eider, elle avait senti la petite exsphère. Une peau aussi sensible ne pouvait être que celle d'une authentique princesse.

Forcystus la prit donc pour femme, sûr maintenant d'avoir une vraie princesse et la petite exsphère fut exposée dans le cabinet des trésors d'art, où on peut encore le voir si personne ne l'a emporté.

Et ceci est une vraie histoire.

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Oui c’est un conte très court !

Colette : VIVE LES MARIES !

Kate : Merci ^^

Alors bien ou pas bien ?

Reviews ?

16 octobre 2009

[OS/song fic]: Fan - par Marina Ka-fai

Pardonnez moi car cette song fic est un essai dans le monde de TOS. Il s'agit des pensées de Lloyd à propos de tout et rien mais la plupart sont destinées à son père Kratos.

Les paroles viennent de la chanson Être fan de Pascal Obispo.

Enjoy.

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Être fan

J'ai vécu sous des posters
A me croire le seul à connaître
Tout de vous

J'ai longtemps cru que je savais tout de mes amis. je me trompais.

Je ne savais pas que Zélos détestait son rôle d'élu du mana. J'ignorais que Génis souffrait en silence d'être demi-elfe,comme les Désians. Moi qui le croyais Elfe au sang pur,moi qui prétends être son ami,je n'ai rien vu.

Je n'ai pas vu non plus la lutte intérieure de Colette qui se savait condamnée et moi,comme un con je lui parlais de l'après régénération. Je suis un imbécile,vraiment....Heureusement Colette n'est pas morte,je crois que je ne l'aurai pas supporté.

J'ai longtemps crû que Kratos me considérait comme un gamin,qu'il se prenait de haut. Comment aurais-je pu savoir qu'il est celui à qui je dois en partie le fait d'être né?Plus aveugle que moi,c'est dur à trouver.

J'en ai refait des concerts
En rêvant de voir apparaître
Marie-Lou

Parfois,durant notre voyage,je rêvais éveillé de notre futur à tous après notre périple. Le professeur aurait sans doute continuer d'enseigner à Isélia, Génisserait sûrement allé dans cette école à Palmacosta, Zélos aurait continuer de draguer, Sheena serait retournée à Mizuho,Régal et Préséa seraient retournés à Ozette, Colette serait peut-être rentrée chez les Brunel....

Moi je serai rentré chez mon père,celui que j'ai toujours appelé Papa depuis qu'il m'élève.

Kratos,lui,serait reparti en vadrouille....

J'inventais des lettres à France
En solitaire, en silence

Silence et solitude,voilà les deux mots qui te correspondent le mieux Kratos. Toujours à l'écart,distant,en retrait. On aurait dit que tu voulais te couper du monde,surtout de moi.

Maintenant je comprends pourquoi.

Si je n'ai pas su l'écrire

Je voulais simplement te dire
Que si, si j'existe ,j'existe
C'est d'être fan c'est d'être fan
Si j'existe
Ma vie, c'est d'être fan
C'est d'être fan
Sans répit, jour et nuit
Mais qui peut dire je t'aime donc je suis

Ah je ne l'aurais jamais dit devant toi,mais j'étais et je suis toujours ton fan.

Oui,tu as un fan club qui compte deux membres: ton fils et Maman,que tu as aimé,j'en suis sûr. Je suis sûr aussi que tu l'as rendue heureuse.

Toute ma vie,je t'admirerai,je le sais.

J'en ai connu des hôtels
En attendant un signe, un geste
De ta part

Tu te rappelles quand nous nous sommes retrouvés à Triet?Ce soir là,j'avais essayé de te faire la conversation à propos de Noïshe,lui qui ne laisse personne d'inconnu l'approcher alors que toi,tu pouvais le faire sans problèmes. Comment aurais-je pu savoir que cela était dû au fait que Noïshe,c'est toi qui l'as sauvé?

Après ce soir là,j'espérais toujours que toi et moi allions discuter un peu,même de choses insignifiantes. Je me sentais comma attiré et comment aurais-je pû ne pas l'être?Tu as l'air si parfait,tu es fort,on peut aisément t'envier.

Inconsciemment j'ai fait de toi mon mentor,on s'est souvent entrainé ensemble à l'épée. Qui sait,je me suis peut-être sentit attiré par toi car au fond de mon cœur j'avais reconnu mon père,inconsciement?

J'en ai suivi des galères

Pris des trains, fait des kilomètres
Pour te voir

Quand je repense à tout les kilomètres que j'ai parcouru entre Isélia et Triet pour retrouver Colette,je me dis souvent que je devais être sacrément déterminé. Je ne le regrette pas. Je l'aime, ma Colette,j'aurais fait et je ferai n'importe quoi pour elle,pour la voir ne serait-ce que quelques secondes....

Mettre un nom sur un visage
Derrière une vitre, un grillage
Quelque chose à retenir
Faire comprendre avant de t'enfuir

Avant de partir pour notre aventure,e je voulais en savoir plus sur mes parents mais surtout mettre un nom et un visage sur celui à qui je dois le fait d'être de ce monde. Maintenant que je sais que c'est toi,je ne veux qu'une chose: ne repars pas sur ta planète désertique Kratos,s'il te plait. Même si mon père adoptif m'a donné tout ce dont un être humain a besoin,j'ai aussi besoin d'être avec mon père biologique. Ne me quitte pas,s'il te plait,je...je voudrais rattraper un peu le temps que nous avons perdus.

Qui peut dire qu'il existe ?
Et le dire pour la vie

Les anges sont-ils vraiment immortels?dans ce cas je te plains,mon pauvre Kratos,tu vas devoir vivre avec tes souffrances intérieures pour toujours.

S'il te plait,n'oublie jamais que tu as un fils qui t'aime.....Papa......

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Et voilà!

Alors reviews ou pas reviews?

16 octobre 2009

[OS/song fic]: Mon millésime - par Marina Ka-fai

Je vous ai manqué? Je suis inspiré en ce moment alors voici le petit frère de Être fan: Millésime de Pascal Obispo.

Kratos réfléchit à sa vie avec Anna et la naissance de son fils. N'est-ce pas cela le bonheur?

Je ganga pas d'argent ni de flouz avec mes fics,seulement quelques reviews si j'en mérite. XD

Enjoy

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Mon millésime

Sur les coteaux en pentes

Les vallons amoureux
Un rayon de soleil
Est passé sur nous deux
J'attendais de ce ciel
Qu'il me fasse juste un signe
Et je vois mon château
Sortir du cœur des vignes

Qui aurait pût croire qu'après 4000 ans d'existence on puisse tomber amoureux?

Pas moi en tout cas.

J'ignorais tout de l'amour même si Yuan me parlait souvent de Martel,sa belle demi-elfe qu'il aimait plus que tout. Bien sûr je l'écoutais mais à vrai dire,parfois je n'arrivais pas à le comprendre.

Et pourtant,tout ce qu'il me disait que je trouvais incompréhensible devint clair le jour où je me suis rendu compte de mes sentiments pour Anna. Des sentiments réciproques. Je l'aimais,je voulais plus que tout être à ses côtés,je l'ai épousé. Nous étions heureux et un événement est venu compléter ce bonheur: la naissance de notre enfant, ta naissance Lloyd.

Tu es mon millésime
Ma plus belle année
Pour ce bonheur en prime
Que tu m'a donné
Je suis à jamais ta terre
C'est ça être père

Être père, cela me faisait peur au début, je ne savais pas comment m'y prendre, j'avais peur de te faire du mal. Et toi,tu tendais tes bras vers moi avec un sourire adorable fixé sur ton visage de bambin. Alors j'ai surmonté ma peur, parce que je t'aime. Avoir un enfant,une famille,c'est sans doute ce qui a pu m'arriver de mieux dans ma vie. Tu es ma plus belle réussite Lloyd.

Après autant d'amour
La saison des vendanges
On récolte le fruit
Le meilleur des mélanges
(oh oh)
La bouche est ronde et pleine
Et le nez si discret
Quel prénom allait-on bien pouvoir te donner?

Lors de ta naissance, je n'arrivais pas à croire ce qu'il se passait. Au fil du temps, j'ai réalisé l'évidence, j'étais père .Un titre que je ne mérite sans doute pas et pourtant....

Nous avions longtemps hésité à propos de ton nom. Ta mère en voulait un original,plein de noblesse. Nous avons cherché puis ce nom nous est apparu; Lloyd.

Je ne sais pas de quoi
Notre histoire sera faite
Mais je me sens porté
Un jour est une fête
Quelques notes légères
Les regards qui caressent
Et je gagne en amour comme en gagne en noblesse

Aujourd'hui tu as grandi,tu as dix-sept ans. Anna est morte, morte de mes mains à sa demande, pour te protéger,pour me protéger et pour la soulager. Je ne le digère toujours pas. Toi, tu as été élevé avec amour par Dirk Irving, tu l'aimes et tu portes fièrement son patronyme. Comment pourrais-je m'immiscer dans ton bonheur? Je ne peux pas, il s'agit de ta vie. Alors je t'observe. Tu lui ressembles. Les mêmes yeux et la même couleur de cheveux. C'est bête à dire mais ce voyage pour la régénération de Sylvarant me permet de te connaître. Je pourrais bien tout te révéler, ton père adoptif l'a fait en partie mais je ne veux pas m'incruster dans ton existence. Cela me coûte, j'aimerais t'entendre m'appeler encore une fois « Papa » comme tu le faisais autrefois. Mais tu m'as oublié, nous avons été séparés quand tu avais trois ans, tu étais trop jeune pour te souvenir de moi. Tu es ma fierté Lloyd, j'aurais aimé être comme toi.

Tu m'as fait devenir meilleur à un point inimaginable.

Je t'aime Lloyd.....mon fils.

C'est ça être père...
C'est ça...
C'est ça être Père...

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Bon voilà c'est fini

Un avis please et Marina sera contente ^^

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16 octobre 2009

[OS/song fic]: All i wanted - par Marina Ka-fai

Hey me revolià avec cette fois-ci un one shot song fic sur un couple que j'aime: Lloyd et Colette ^^
POV Lloyd,l'action se déroule après que Colette a « perdu son âme »
Les persos de TOS ne sont pas à moi et tant mieux d'ailleurs ^^'
La chanson est All I ever wanted de Basshunter
enjoy
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All I ever wanted
All I ever wanted
Was to see you smiling
I know that I love you
Oh baby why don't you see?
Tout ce que j'ai toujours voulu
C'était de te voir sourire
Je sais que je t'aime
Oh mon bébé pourquoi ne le vois-tu pas ?
Pourquoi?Pourquoi?!Pourquoi un malheur pareil t'es t-il arrivé Colette?!Pourquoi avoir accepté?Pour sauver Sylvarant?Pour tous nous sauver?Pour me sauver?
Quel imbécile j'ai été!Aveugle en plus!Aveugle alors que je vois....
J'aurais dû empêcher tout cela!
C'est peut-être égoïste de ma part mais je préfère voir notre monde en déclin plutôt que de te voir dans cet état. On dirait une simple poupée vide,vivante sans l'être vraiment...
J'aurais dû t'en empêcher ou te raisonner mais ta décision était prise,tu voulais nous sauver...J'aurais dû.....au nom de l'amour que je te porte,cet amour impossible dans un sens malgré le fait que j'espérais que tu le remarquerais un jour....
All I ever wanted
Was to see you smiling
All I ever wanted
Was to make you mine
I know that I love you
Oh baby why don't you see
That all I ever wanted
Was you and me
Tout ce que j'ai toujours voulu
C'était de te voir sourire
Tout ce que j'ai toujours voulu
C'était que tu sois mienne
Je sais que je t'aime
Oh mon bébé pourquoi ne le vois-tu pas ?
Tout ce que j'ai toujours voulu
C'était toi et moi
Moi,si j'étais venu t'aider dans ta quête,c'était pour te soulager,te voir sourire,ce sourire qui me réchauffe tant le cœur,ce n'était pas pour te perdre!J'ai l'impression de subir mille morts!Peut-être que si je t'avais montré mes sentiments plus tôt,tu n'en serais pas là,moi tout ce que je voulais c'était être avec toi pour toujours et à jamais jusqu'à la fin des temps. Te suivre pour te perdre ce n'était pas ce que je voulais.
A quoi bon regretter maintenant?Je ne suis qu'un imbécile trop timide pour te dire ce que je ressens et il est trop tard...
I'm so alone
Here on my own
And I'm waiting for you to come
I want to be a part of you
Think of all the things we could do
Je suis si seul Replié sur moi-même
Et j'attends que tu reviennes
Je veux être une partie de toi
Pensant à toutes les choses que nous pourrions faire
Mais il est hors de question que je t'abandonne à ton sort!je ferai tout pour que ton âme revienne! Et à ce moment là,je t'avouerai tout ma belle Colette,en priant pour que cela soit ré voudrais tant que cela le soit,j'ai honte de le dire mais je voudrais tant être plus qu'un ami dans ta vie....
And every day
You're in my head
I want you to have you in my bed
You are the one
You're in my eyes all that I always wanted in my life
Et chaque jour Tu es dans ma tête
Je veux t'avoir dans mon lit
Tu es l'unique
Tu es dans mes yeux
Tout ce que j'ai toujours voulu dans ma vie
Tu me hantes Colette,il ne se passe pas un instant sans que je pense à toi. Je me sens rougir mais je te l'avoue parfois,il m'arrive de penser (et oui je pense) que toi et moi faisons certaines choses.....disons....un peu....J'arrive même pas à finir ma phrase tiens,tant cela me gêne. Colette....tu es la seule dans mon coeur, je veux te retrouver telle que je t'ai connue alors s'il te plaît attends moi,je te ramènerai,je le jure! Je t'aime....
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Voili voilou c'est fini ^^ reviews?

16 octobre 2009

[OS]: Preuve d'amitié - par Marina Ka-fai

Hello les gens! Me voici de retour avec un petit one-shot!

Disclamer: L'univers de Tales of Symphonia appartient à Namco, je ne gagne que des reviews avec mes écrits ^^ Comme quoi je suis pas exigeante XD

Couple: Il n'y en a pas vraiment même si on risque de flirter avec le Zélloyd

Résumé: C'est obligé....je suis nulle pour résumer...En bref, Zélos va prouver à Lloyd la sincérité de son amitié, lui qui le considère comme un frère.

Allez enjoy!

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Petite preuve d'amitié

L'automne faisait doucement place aux froidures de l'hiver sur le monde de Tésséh'alla. Les dernières feuilles rougeoyaient avant de tomber, le soleil dardait de ses derniers rayons.

Les oiseaux commençaient à migrer afin de passer l'hiver au chaud. La température commençait à baisser et les premiers rhumes commençaient à fleurir.

Cela n'empêchait pas un groupe de huit personnes de voyager. Le doyen devait avoisiner les trente ans alors que le plus jeune devait en avoir douze. Mélange hétéroclite de races, d'origines sociales et d'âges.

Le petit clan était à l'entrée de la forêt de Gaorrachia et ce n'était pas la baisse de température qui allait empêcher le grand Zélos Wilder de s'amuser un peu!

-Allez Lloyd viens !Je suis sûr que ça va être drôle!

-Zélos, c'est un coup à attraper froid! Lui répondit un garçon vêtu de rouge

-Le grand Zélos Wilder ne craint pas les rhumes! Allez viens! Je t'assure que l'eau est bonne!

Lloyd soupira et se laissa tenter. Après tout, ce n'était pas une mauvaise idée. Quelques minutes plus tard, vous pouviez voir les deux jeunes hommes s'amuser comme des enfants dans l'eau de la rivière. Lloyd ne regretta pas de s'être laisser entraîné par Zélos, il s'était bien amusé. Quelques instants de rires et d'amusement dans une quête où le désespoir et la tristesse trouvaient facilement place n'étaient pas un crime.

Le lendemain de ce divertissement, la température baissa d'un coup et le vent violent n'arrangeait rien au froid qui régnait. Lloyd se sentait fiévreux mais il ne s'en inquiéta pas, il y avait des choses plus urgentes et plus graves que son petit affaiblissement. Mais son corps le rappela à l'ordre, on ne joue jamais impunément avec sa santé. Ce fut devant ses amis qu'il

eut un malaise, le noir l'attirant dans les abîmes de l'inconscience.

Le groupe se hâta d'aller à Ozette ,un village à la sortie de la forêt. Préséa, l'une des membres du groupe y habitait. Il fut convenu qu'ils y resteraient jusqu'au rétablissement de Lloyd. Raine, la guérisseuse du groupe, l'examina et diagnostiqua un coup de froid virulent, dont la chose la plus préoccupante était la fièvre élevée.

-Mais comment a t-il pu tomber à ce point malade? Demanda Sheena

- C'est de ma faute. Dit Zélos

Tous le regardèrent médusés.

- Explique toi. Suggéra avec douceur Colette

- Hier, avec Lloyd ,on s'est baignés dans la rivière. Au début, il ne voulait pas et je lui ai un peu forcé la main.

- Se baigner alors que l'hiver approche?! Mais t'es timbré! T'as vraiment rien dans le crâne! Et si jamais l'état de Lloyd s'aggrave, tu feras quoi, monsieur l'imbécile d'Elu?! Cria Sheena

-Pas la peine de me hurler dessus, je m'en veux suffisamment comme ça! Lloyd est un ami qui m'est cher, tout autant qu'à toi! Répliqua Zélos

-Vraiment?! Si c'était le cas, tu n'aurais jamais dû le forcer à se baigner! Un ami, tu parles d'un ami!

-Ça suffit vous deux! Trancha le doyen du groupe, Régal.

-Oui! Peu importe qui est coupable de quoi, le plus important maintenant est de soigner Lloyd. Ajouta Raine

Le groupe alla jusqu'à Flanoir avec les ptéroplans, Sheena connaissait un bon médecin là-bas. Zélos se porta volontaire pour veiller sur Lloyd jusqu'à leur retour. La respiration de son ami était sifflante et sa fièvre n'arrangeait rien à son inconfort. Zélos posa un linge humide sur son front et rajusta sa couverture. Il observa Lloyd, les larmes lui montèrent aux yeux. A cause de son immaturité, son ami était malade. Il risquait de le perdre, lui, qui au fond de son cœur était un peu un petit frère.

-Pardon Lloyd, je suis vraiment désolé, j'aurais dû t'écouter au lieu de protester, pardonne-moi...

La nuit était déjà bien avancée et Zélos commençait à avoir sommeil. Mais hors de question de dormir alors que Lloyd souffrait. Le pauvre tremblait comme une feuille morte et à part alimenter le feu, notre rouquin ne savait que faire pour soulager un tant soit peu le malade.

Il s'approcha de Lloyd afin de vérifier son état, il ouvrit un peu les yeux.

-Lloyd! Comment tu te sens vieux? S'enquit l'Elu aux remords

-J'ai froid....

-A ce point?

Lloyd hocha doucement la tête en signe d'acquiescement. Soudain Zélos eut une idée. Il se glissa dans le lit de Lloyd et le serra contre lui. Il serait sa bouillotte.

-Dis Lloyd ,tu m'en veux?

-Absolument pas, pourquoi tu penses ça? T'y es pour rien, je t' de rester à me veiller.

-De rien, c'est fait pour ça les amis non?

-Oui, t'as raison...

Lloyd sombra dans les bras de Morphée.

-Dors bien Lloyd. Murmura Zélos

Le rouquin ne tarda pas à le suivre dans le sommeil et c'est au petit matin que le groupe, avec les médicaments donnés par le médecin de Flanoir, découvrit le tableau touchant des deux garçons endormis côte à côte.

Sheena, en son for intérieur regretta d'avoir douté de la sincérité de l'amitié de Zélos envers Lloyd.

Quelques jours plus tard, Lloyd était parfaitement remis et tous repartirent en route.

The End

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Alors ça vous a plût?

Guimauve peut-être non? Reviews or not?

16 octobre 2009

[OS]: Je l'aimais et pourtant - par Marina Ka-fai

Hello les gens!
Bon là je me lance dans quelque chose de périlleux: un YggdrasillxPronyma!
Un couple que l'on voit pas souvent!
Disclamer: Malheureusement Pronyma n'est pas à moi TT
Couple: PronymaxYggdrasill
Résumé: Peu après sa défaite face à Lloyd le jour de la mort de Pronyma, Mithos, dans son cristal du Cruxis, réfléchit et se rend compte de la grosse connerie qu'il a faite.
Enjoy
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Je l'aimais et pourtant
Il avait perdu. Perdu face au fils de Kratos, ce traître. Le grand Mithos Yggdrasill, chef du Cruxis et des Désians, était désormais juste une âme coincée dans son cristal. Pitoyable, vraiment pitoyable.
Si Pronyma avait été là, elle l'aurait aidé et ramené à Derris Kharlan. Pour la peine, elle aurait eu l'autorisation d'y habiter avec lui. Mais Pronyma n'était plus, elle avait rejoint les étoiles. Il était bien placé pour le savoir car c'est lui qui l'avait tué.
Pourtant elle lui avait était fidèle, si fidèle. Elle tuait pour lui, elle l'avait protégé, elle l'aidait et elle l'aimait. Il n'était pas aveugle, il l'avait remarqué.
C'était lui qui l'avait sorti de la misère dans laquelle elle vivait. Née à Flanoir, ses parents furent tués par un incendie. Elle avait alors quinze ans. On l'expulsa de la ville, condamnée à vivre dans les plaines enneigées. Son regard devint haineux dès qu'elle voyait un humain ou un elfe. Mithos l'avait repéré lors d'une virée afin de s'assurer de la limitation du développement de la magie-technologie. La première chose qu'il remarqua, c'était ses cheveux: verts comme Martel. Plus foncés certes mais comme Martel.
-Dis moi quel est ton rêve le plus cher? Lui avait-il demandé lorsqu'il l'aborda
- Un monde pour les gens entre deux races comme moi.
- Alors suis-moi et deviens un membre du Cruxis.
Il lui tendit la main, sans sourire, mais Pronyma avait ressenti à son contact une franchise et une sincérité fascinante.
Elle avait débuté en tant que désiane. Elle était ce qu'on pouvait appeler « une employée modèle », à tel point qu'il la promut au rang de Cardinale désiane. Là encore, elle fut parfaite. Alors il lui confia la direction des Cardinaux désians, au grand dam de Kvar et Rodyle.
A chaque promotion qu'il lui accordait, elle rayonnait, elle redoublait d'ardeur pour ne pas le décevoir. Sa loyauté était sans faille. Elle n'hésitait pas à se salir les mains pour son « sauveur ».
Son premier échec fut aux Monts Fooji, quand ce fichu bâtard né de l'union de Kratos et du projet Angelus A012 la battit afin de protéger Colette, celle qui devait devenir le corps de sa sœur. Il ne put lui en vouloir longtemps, elle semblait si triste de ne pas avoir pu l'aider.
Pronyma avait toujours était efficace et loyale, un échec pouvait arriver à tous.
Vint le jour où le groupe de l'Elue s'échappa de Welgaia. Génis lui avait lancé une attaque magique, Pronyma l'attaqua en retour afin de protéger son maître. Mithos protégea Génis en raison de l'amitié qu'il avait pour lui. Là non plus il ne put lui en vouloir. Elle voulait le protéger, encore une preuve de sa loyauté. Puis vint le jour où Martel aurait dû revenir. Là aussi, dans le but de gagner du temps afin que Dame Martel puisse ressusciter, elle combattit une seconde fois le bâtard de fils de Kratos. Il était encore plus fort qu'aux Monts Fooji, elle perdit. Blessée, elle se tourna alors vers lui en lui quémandant pour la toute première fois de l'aide. Elle l'appela par son prénom et là, pris de colère il la tua.
Pourtant, Mithos se rendit compte de sa cruauté, elle qui l'avait servi fidèlement pendant treize ans, de jour comme de nuit, présente chaque jour.
Plus jamais il ne reverrait son sourire quand il la félicitait. Plus jamais il ne la verrait rayonner comme elle le faisait quand il lui donnait un rang ou une responsabilité plus grande. Son cœur se serra et s'il avait pu pleurer, il l'aurait sans doute fait. Elle était morte, il l'avait tué.
Quelle bêtise! Il était sans doute tombée amoureux de cette demi-elfe dès qu'il l'avait rencontrée, sinon, pourquoi se sentait-il si bien quand il la voyait sourire, radieuse. Pourquoi avait-il tout fait pour la rendre heureuse au possible avec ses promotions? Cette chaleur quand elle était auprès de lui dans la même pièce.
Il l'avait tué. Il l'aimait et il l'avait tué. En la tuant, il s'était rendu compte de ce qu'il éprouvait pour elle.
- Ne t'inquiète pas Pronyma. Je vais retourner chez moi avec ma sœur, là je reprendrai possession de mon corps. Je combattrai Lloyd et il me tuera. Je vais te retrouver, il va m'aider à me suicider. Puisses-tu me pardonner un jour.....pardonne moi, je t'aime. Il n'y a des amours qui ne sont unis que dans la mort, je vais te retrouver bientôt.
Lloyd tua en effet Mithos et détruisit son cristal du Cruxis. Les mondes furent réunifiés et l'arbre de vie ramené à la vie avec sa sœur, gardienne de cette arbre.
-Je l'aimais et pourtant je l'ai tuée. Martel est revenue à la vie, je peux partir en paix.
Son âme atteignit les Cieux. Pronyma l'attendait, radieuse et souriante, sans une once de rancune envers lui. Il n'y a des amours qui ne sont unis que dans la mort mais ce sont les plus beaux car ils vivent pour l'éternité dans les nuages.
-Comme promis, Pronyma, je t'ai rejoins.
Elle lui sourit et, leurs deux âmes en paix, ils purent trouver le repos éternel.
FIN
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J'espère ne pas avoir été trop guimauve ou OOC avec Mithos. Pour le passé de Pronyma j'ai inventé.
Reviews or not?

16 octobre 2009

Contes parodiques de ToS - Chapitre 7: Peau d'âne - par Marina Ka-fai

Hello les amis!

Me revoici avec une nouvelle parodie: celle de peau d'âne!

Lloyd: C'est quoi Peau d'âne?

Kratos: Un homme perd son épouse qui lui a fait promettre d'épouser une femme que si elle était mieux qu'elle et la seule qui puisse convenir est la propre fille de cet homme.

Lloyd: beurk de l'inceste!

Notre couple aujourd'hui sera le géséa c'est à dire: GénisxPréséa!

Génis: C'est vrai?!

Préséa: Vu sa tête, le pourcentage de probabilité que se soit une blague est très faible, voire nulle.

Allez le staff:

Le roi de Sylvarant: Forcystus ( Forcystus: Je vais devoir faire le gars qui va se taper une gamine?! OO)

Sa femme: Mademoiselle Kate

Leur fille: Préséa Combatir

La fée marraine: Raine Sage

La fermière: Colette Brunel

Le roi de Tésséha'lla: Mithos Yggdrasill sous sa forme adulte

Sa femme: Pronyma ( Mithos: ENCORE?! Bon y'a pire je vais pas me plaindre)

Leur fils: Génis Sage

Enjoy

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Peau d'Ane

Il était une fois un roi de Sylvarant si grand, si aimé de ses peuples, si respecté de tous ses voisins et de ses alliés, qu'on pouvait dire qu'il était le plus heureux de tous les monarques. Ce bienheureux se nommait Forcystus.

Son bonheur était encore confirmé par le choix qu'il avait fait d'une princesse aussi belle que vertueuse ; et ces heureux époux vivaient dans une union parfaite. Kate et Forcystsus, deux noms qui se complètent bien. De leur mariage était née une fille, douée de tant de grâce et de charmes, qu'ils ne regrettaient pas de n'avoir pas une plus ample lignée. Cette merveilleuse princesse répondait au doux nom de Préséa.

La magnificence, le goût et l'abondance régnaient dans son palais ; les ministres étaient sages et habiles ; les courtisans, vertueux et attachés ; les domestiques, fidèles et laborieux ; les écuries, vastes et remplies des plus beaux chevaux du monde, couverts de riches caparaçons : mais ce qui étonnait les étrangers qui venaient admirer ces belles écuries, c'est qu'au lieu le plus apparent un maître d'âne étalait de longues et grandes oreilles.

Ce n'était pas par fantaisie, mais avec raison, que le roi lui avait donné une place particulière et distinguée. Les vertus de ce rare animal méritaient cette distinction, puisque la nature l'avait formé si extraordinaire, que sa litière, au lieu d'être malpropre, était couverte, tous les matins, avec profusion, de beaux écus au soleil, et de louis d'or de toute espèce, qu'on allait recueillir à son réveil.

Or, comme les vicissitudes de la vie s'étendent aussi bien sur les rois que sur les sujets, et que toujours les biens sont mêlés de quelques maux, le ciel permit que la reine fût tout à coup attaquée d'une âpre maladie, pour laquelle, malgré la science et l'habileté des médecins, on ne put trouver aucun secours. La désolation fut générale.

Le roi, sensible et amoureux, malgré le proverbe fameux qui dit que le mariage est le tombeau de l'amour, s'affligeait sans modération, faisait des vœux ardents à tous les temples de son royaume, offrait sa vie pour celle d'une épouse si chère, mais les dieux et les fées étaient invoqués en vain. La reine, sentant sa dernière heure approcher, dit à son époux qui fondait en larmes:
- Trouvez bon, avant que je meure, que j'exige une chose de vous : C'est que s'il vous prenait envie de vous remarier...

A ces mots, le roi fit des cris pitoyables, prit les mains de sa femme, les baigna de pleurs, et, l'assurant qu'il était superflu de lui parler d'un second mariage :

- Non, non, dit-il enfin, ma chère reine, parlez moi plutôt de vous suivre.

-L'État, reprit la reine avec une fermeté qui augmentait les regrets de ce prince,

l'État doit exiger des successeurs, et, comme je ne vous ai donné qu'une fille, vous pressait d'avoir des fils qui vous ressemblent : mais je vous demande instamment, par tout l'amour que vous avez eu pour moi, de ne céder à l'empressement de vos peuples que lorsque vous aurez trouvé une princesse plus belle et mieux faite que moi ; j'en veux votre serment, et alors je mourrai contente.

On présume que la reine, qui ne manquait pas d'amour-propre, avait exigé ce serment, ne croyant pas qu'il fût au monde personne qui pût l'égaler, pensant bien que c'était s'assurer que le roi ne se remarierait jamais. Enfin elle mourut. Jamais mari ne fit tant de vacarme : pleurer, sangloter jour et nuit, menus droits du veuvage, furent son unique occupation.

* Coupure *

Forcystus: Tu me donnes une épouse sublime pour me la tuer ensuite?! Viens ici que je t'égorge!

Yuan: Je l'ai déjà dit à Mithos, celui qui fait du mal à une de mes fans aura affaire à moi!

Mithos: C'est sûre que comme t'en a pas beaucoup du coup, tu la protèges!

Yuan: QUOI?!

Kratos: VOS GUEULES!

Anna: On ne peut plus se bécoter en paix ici!

Lloyd: Euh je crois que je vais faire un tour moi...

Kate: Et puis pour finir, je suis morte fictivement, c'est pour du faux ^^

*Reprise*

Les grandes douleurs ne durent pas. D'ailleurs, les grands de l'État s'assemblèrent, et vinrent en corps prier le roi de se remarier. Cette première proposition lui parut dure, et lui fit répandre de nouvelles larmes. Il allégua le serment qu'il avait fait à la reine, défiant tous ses conseillers de pouvoir trouver une princesse plus belle et mieux faite que feu sa femme, pensant que cela était impossible.

Mais le conseil traita de babiole une telle promesse et dit qu'il importait peu de la beauté, pourvu qu'une reine fût vertueuse ; que l'État demandait des princes pour son repos et sa tranquillité ; qu'à la vérité, l'Infante avait toutes les qualités requises pour faire une grande reine, mais qu'il fallait lui choisir un époux ; et qu'alors ou cet étranger l'emmènerait chez lui, ou que, s'il régnait avec elle, ses enfants ne seraient plus réputés du même sang ; et que, n'y ayant point de prince de son nom, les peuples voisins pourraient lui susciter des guerres qui entraîneraient la ruine du royaume. Le roi, frappé de ces considérations, promit qu'il songerait à les contenter.

Effectivement, il chercha, parmi les princesses à marier, qui serait celle qui pourrait lui convenir. Chaque jour on lui apportait des portraits charmants, mais aucun n'avait les grâces de la feue reine : ainsi il ne se déterminait point.

Malheureusement il s'avisa de trouver que l'Infante surpassait encore de beaucoup la reine sa mère en esprit et en agréments. Sa jeunesse, l'agréable fraîcheur de ce beau teint enflammèrent le roi d'un ton si violent, qu'il ne put le cacher à l'Infante, et il lui dit qu'il avait résolu de l'épouser, puisqu'elle seule pouvait le dégager de son serment.

La jeune princesse, remplie de vertu et de pudeur, pensa s'évanouir à cette horrible proposition. Elle se jeta aux pieds du roi son père, et le conjura, avec toute la force qu'elle pût trouver dans son esprit, de ne la pas contraindre à commettre un tel crime.

Le roi, qui s'était mis en tête ce bizarre projet, avait consulté un vieux druide pour mettre la conscience de la princesse en repos. Ce druide, moins religieux qu'ambitieux, sacrifia, à l'honneur d'être confident d'un grand roi, l'intérêt et l'innocence et de la vertu, et s'insinua avec tant d'adresse dans l'esprit du roi, lui adoucit tellement le crime qu'il allait commettre, qu'il lui persuada même que c'était une œuvre pie que d'épouser sa fille. Ce prince, flatté par les discours de ce scélérat, l'embrassa et revint d'avec lui plus entêté que jamais dans son projet : il fit donc ordonner à l'Infante de se préparer à lui obéir.

La jeune princesse, outrée d'une vive douleur, n'imagina rien d'autre chose que d'aller trouver la Fée des Lilas, Raine Sage sa marraine. Pour cet effet, elle partit la même nuit dans un joli cabriolet attelé d'un gros mouton qui savait tous les chemins. Elle y arriva heureusement. La fée, qui aimait l'Infante, lui dit qu'elle savait tout ce qu'elle venait lui dire, mais qu'elle n'eût aucun souci, rien ne pouvant lui nuire si elle exécutait fidèlement ce qu'elle allait lui prescrire.

- Car, ma chère enfant, lui dit-elle, ce serait une grande faute que d'épouser votre père, mais, sans le contredire, vous pouvez l'éviter: dites lui que, pour remplir une fantaisie que vous avez, il faut qu'il vous donne une robe de la couleur du temps ; jamais, avec tout son amour et son pouvoir, il ne pourra y parvenir.

La princesse remercia bien sa marraine ; et dès le lendemain matin, elle dit au roi son père ce que la fée lui avait conseillé, et protesta qu'on ne tirerait d'elle aucun aveu qu'elle n'eût une robe couleur du temps. Le roi, ravi de l'espérance qu'elle lui donnait, assembla les plus fameux ouvriers, et leur commanda cette robe, sous la consigne que, s'ils ne pouvaient réussir, il les ferait tous pendre.

Il n'eut pas le chagrin d'en venir à cette extrémité, dès le second jour ils apportèrent la robe si désirée. D'empyrée n'est pas d'un plus beau bleu lorsqu'il est ceint de nuages d'or, que cette belle robe lorsqu'elle fut étalée. L'Infante en fut toute contrastée et ne savait comment se tirer d'embarras.

Le roi pressait la conclusion. Il fallut recourir encore à la marraine, qui, étonnée de ce que son secret n'avait pas réussi', lui dit d'essayer d'en demander une de la couleur de la lune. Le roi, qui ne pouvait lui rien refuser, envoya chercher les plus habiles ouvriers, et leur commanda si expressément une robe couleur de la lune, qu'entre ordonner et apporter il n'y eut pas vingt-quatre heures...

L'Infante, plus charmée de cette superbe robe que des soins du roi son père, s'affligea immodérément lorsqu'elle fut avec ses femmes et sa nourrice. La Fée des Lilas, qui savait tout, vint au secours de l'affligée princesse, et lui dit :

- Ou je me trompe fort, ou je crois que, si vous demandez une robe couleur, du soleil, ou nous viendrons à bout de dégoûter le roi votre père, car jamais on ne pourra parvenir à faire une pareille robe, ou nous gagnerons au moins du temps.

L'Infante en convint, demanda la robe et l'amoureux roi donna, sans regret, tous les diamants et les rubis de sa couronne pour aider à ce superbe ouvrage, avec l'ordre de ne rien épargner pour rendre cette robe égale au soleil.

Aussi, dès qu'elle parût, tous ceux qui la virent déployée furent obligés de fermer les yeux, tant ils furent éblouis. C'est de ce temps que datent les lunettes vertes et les verres noirs. Que devient l'Infante à cette vue ? Jamais on n'avait rien vu de si beau et de si artistement ouvré. Elle était confondue ; et sous prétexte d'avoir mal aux yeux, elle se retira dans sa chambre où la fée l'attendait, plus honteuse qu'on ne peut dire. Ce fut bien pis : car, en voyant la robe du soleil, elle devint rouge de colère.

- Oh ! pour le coup, ma fille, dit-elle à l'Infante, nous allons mettre l'indigne amour de votre père à une terrible épreuve. Je le crois bien entêté de ce mariage qu'il croit si prochain, mais je pense qu'il sera un peu étourdi de la demande que je vous conseille de lui faire : C'est la peau de cet âne qu'il aime si passionnément, et qui fournit à toutes ses dépenses avec tant de profusion ; allez, et ne manquez pas de lui dire que vous désirez cette peau.

L'Infante, ravie de trouver encore un moyen d'éluder un mariage qu'elle détestait, et qui pensait en même temps que son père ne pourrait jamais se résoudre à sacrifier son âne, vint le trouver et lui exposa son désir pour la peau de ce bel animal.

Quoique le roi fût étonné de cette fantaisie, il ne balança pas à la satisfaire. Le pauvre âne fut sacrifié, et la peau galamment apportée à l'Infante, qui, ne voyant plus aucun moyen d'éluder son malheur, s'allait désespérer, lorsque sa marraine accourut.

- Que faites vous, ma fille ? dit-elle, voyant la princesse déchirant ses cheveux et meurtrissant ses belles joues ;

voici le moment le plus heureux de votre vie. Enveloppez vous de cette peau, sortez de ce palais, et allez tant que la terre pourra vous porter: lorsqu'on sacrifie tout à la vertu, les dieux savent en récompenser. Allez, j'aurai soin que votre toilette vous suive partout ; en quelque lieu que vous vous arrêtiez, votre cassette, où seront vos habits et vos bijoux, suivra vos pas sous terre ; et voici ma baguette que je vous donne : en frappant la terre, quand vous aurez besoin de cette cassette, elle paraîtra à vos yeux ; mais hâtez vous de partir, et ne tardez pas.

L'Infante embrassa mille fois sa marraine, la pria de ne pas l'abandonner, s'affubla de cette vilaine peau, après s'être barbouillée de suie de cheminée, et sortit de ce riche palais sans être reconnue de personne.

L'absence de l'Infante causa une grande rumeur. Le roi, au désespoir, qui avait fait préparer une fête magnifique, était inconsolable. Il fit partir plus de cent gendarmes et plus de mille mousquetaires pour aller à la recherche de sa fille ; mais la fée, qui la protégeait, la rendait invisible aux plus habiles recherches : ainsi il fallut bien s'en consoler.

Pendant ce temps, l'Infante cheminait. Elle alla bien loin, encore plus loin, et cherchait partout une place ; mais quoique par charité on lui donnât à manger, on la trouvait si crasseuse que personne n'en voulait.

Cependant, elle entra dans une belle ville, à la porte de laquelle était une métairie, dont la fermière avait besoin d'un souillon pour laver les torchons, nettoyer les dindons et l'auge des cochons. Cette femme, voyant cette voyageuse si malpropre, lui proposa d'entrer chez elle ; ce que l'Infante accepta de grand cœur, tant elle était lasse d'avoir tant marché. Colette Brunel était réputée dans le village pour sa charité.

On la mit dans un coin reculé de la cuisine, où elle fut, les premiers jours, en butte aux plaisanteries grossières de la valetaille, tant sa peau d'âne la rendait sale et dégoûtante. Enfin, on s'y accoutuma ; d'ailleurs elle était si soigneuse de remplir ses devoirs, que la fermière la prit sous sa protection. Elle conduisait les moutons, les faisait parquer au temps où il le fallait ; elle menait les dindons paître avec une telle intelligence, qu'il semblait qu'elle n'eût jamais fait autre chose: aussi tout fructifiait sous ses belles mains.

Un jour qu'assise près d'une claire fontaine, où elle déplorait souvent sa triste condition, elle s'avisa de s'y mirer, l'effroyable peau d'âne, qui faisait sa coiffure et son habillement, l'épouvanta.

Honteuse de cet ajustement, elle se décrassa le visage et les mains, qui devinrent plus blanches que l'ivoire, et son beau teint reprit sa fraîcheur naturelle. La joie de se trouver si belle lui donna envie de se baigner, ce qu'elle exécuta ; mais il lui fallut remettre son indigne peau pour retourner à la métairie.

Heureusement, le lendemain était un jour de fête ; ainsi elle eut le loisir de tirer sa cassette, d'arranger sa toilette, de poudrer ses beaux cheveux, et de mettre sa belle robe couleur du temps. Sa chambre était si petite, que la queue de cette belle robe ne pouvait pas s'étendre. La belle princesse se mira et s'admira elle-même avec raison, si bien qu'elle résolut, pour se désennuyer, de mettre tour à tour ses belles robes, les fêtes et les dimanches ; ce qu'elle exécuta ponctuellement.

Elle mêlait des fleurs et des diamants dans ses beaux cheveux, avec un art admirable et souvent elle soupirait de n'avoir pour témoins de sa beauté que ses moutons et ses dindons, qui l'aimaient autant avec son horrible peau d'âne, dont on lui avait donné le nom dans cette ferme.

Un jour de fête, que Peau d'Ane avait mis la robe couleur du soleil, le fils du roi de Tésséha'lla, à qui cette ferme appartenait, vint y descendre pour se reposer, en revenant de la chasse. Ce prince était jeune, beau et admirablement bien fait, l'amour de son père et de la reine sa mère, adoré des peuples. Oui Génis avait tout d'un futur grand souverain.

On offrit à ce jeune prince une collation champêtre, qu'il accepta ; puis il se mit à parcourir les basses-cours et tous les recoins.

En courant ainsi de lieu en lieu, il entra dans une sombre allée, au bout de laquelle il vit une porte fermée. La curiosité lui fit mettre l'œil à la serrure ; mais que devint il en apercevant la princesse si belle et si richement vêtue, qu'à son air noble et modeste, il la prit pour une divinité. L'impétuosité du sentiment qu'il éprouva dans ce moment l'aurait porté à enfoncer la porte, sans le respect que lui inspira cette ravissante personne.

Il sortit avec peine de cette allée sombre et obscure, mais ce fut pour s'informer qui était la personne qui demeurait dans cette petite chambre. On lui répondit que c'était une souillon, qu'on nommait Peau d'Ane à cause de la peau dont elle s'habillait, et qu'elle était si sale et si crasseuse, que personne ne la regardait ni lui parlait et qu'on ne l'avait prise que par pitié, pour garder les moutons et les dindons.

Le prince, peu satisfait de cet éclaircissement, vit bien que ces gens grossiers n'en savaient pas davantage, et qu'il était inutile de les questionner.

Il revint au palais du roi son père, Mithos Yggdrasill plus amoureux qu'on ne peut dire, ayant continuellement devant les yeux la belle image de cette divinité qu'il avait vue par le trou de la serrure.

* Coupure *

Zélos: Depuis quand Génis mate les filles par la serrure? C'est mon boulot ça!

Génis: J'ai honte! Pardon Préséa!

Préséa: Tu sais il n'y avait rien à voir alors ne t'excuses pas.

* Reprise *

Il se repentit de n'avoir pas heurté à la porte et se promit bien de n'y pas manquer une autre fois. Mais l'agitation de son sang, causée par l'ardeur de son amour, lui donna, dans la même nuit, une fièvre si terrible, que bientôt il fut réduit à l'extrémité.

La reine Pronyma, sa mère, qui n'avait que lui d'enfant, se désespérait de ce que tous les remèdes étaient inutiles. Elle promettait en vain les plus grandes récompenses aux médecins ; ils y employèrent tout leur art, mais rien ne guérissait le prince.

Enfin, ils devinèrent qu'un mortel chagrin causait tout ce ravage ; ils en avertirent la reine, qui, toute pleine de tendresse pour son fils, vint le conjurer de dire la cause de son mal et que, quand il s'agirait de lui céder la couronne, le roi son père descendrait de son trône sans regret, pour l'y faire monter ; que s'il désirait quelque princesse, quand même on serait en guerre avec le roi son père, et qu'on eût de justes sujets pour s'en plaindre, on sacrifierait tout pour obtenir ce qu'il désirait ; mais qu'elle le conjurait de ne pas se laisser mourir, puisque de sa vie dépendait la leur.

Pronyma n'acheva pas ce touchant discours sans mouiller le visage du prince d'un torrent de larmes.

- Madame ma chère mère, lui dit enfin génis avec une voix très faible,

je ne suis pas assez dénaturé pour désirer la couronne de mon père ; plaise au ciel qu'il vive de longues années, et qu'il veuille bien que je sois longtemps le plus fidèle et le plus respectueux de ses sujets. Quant aux princesses que vous m'offrez, je n'ai point encore pensé à me marier et vous pensez bien que, soumis comme je le suis à vos volontés, je vous obéirai toujours, quoi qu'il m'en coûte.

- Ah, mon fils, reprit la reine, rien ne me coûtera pour te sauver la vie, mais, mon cher fils, sauve la mienne et celle du roi ton père en me déclarant ce que tu désires et sois bien assuré qu'il te sera accordé.

- Eh bien, madame, dit-il, puisqu'il faut vous déclarer ma pensée, je vais vous obéir ; je me ferais un crime de mettre en danger deux êtres qui me sont si chers.
Oui, ma mère, je désire que Peau d'Ane me fasse un gâteau, et que, dès qu'il sera fait, on me l'apporte.

La reine, étonnée de ce nom bizarre, demanda qui était cette Peau d'Ane.

- C'est, Madame, reprit un de ses officiers qui par hasard avait vu cette fille

c'est la plus vilaine bête après le loup ; une peau noire, une crasseuse qui loge dans votre métairie et qui garde vos dindons.

- N'importe, dit elle

Mon fils, au retour de la chasse, a peut-être mangé de sa pâtisserie ; c'est une fantaisie de malade ; en un mot, je veux que Peau d'Ane (puisque Peau d'Ane, il y a) lui fasse promptement un gâteau.

On courut à la métairie, et l'on fit venir Peau d'Ane, pour lui ordonner de faire de son mieux un gâteau pour le prince.

Quelques auteurs ont assuré que Peau d'Ane alias Préséa, au moment que ce prince avait mis l'œil à la serrure, les siens l'avaient aperçu ; et puis que, regardant par sa petite fenêtre, elle avait vu ce prince si jeune, si beau et si bien fait, que l'idée lui en était restée, et que souvent ce souvenir lui avait coûté quelques soupirs.

Quoi qu'il en soit, Préséa l'ayant vu, ou en ayant beaucoup entendu parler avec éloge, ravie de pouvoir trouver un moyen d'être connue, s'enferma dans sa chambre, jeta sa vilaine peau, se décrassa le visage et les mains, se coiffa de ses cheveux, mit un beau corset d'argent brillant, un jupon pareil, et se mit à faire le gâteau tant désiré : elle prit de la plus pure farine, des œufs et du beurre bien frais.

En travaillant, soit de dessein on. autrement, une bague qu'elle avait au doigt tomba dans la pâte, s'y mêla ; et dès que le gâteau fut cuit, s'affublant de son horrible peau, elle donna le gâteau à l'officier, à qui elle demanda des nouvelles du prince ; mais cet homme, ne daignant pas lui répondre, courut chez le prince lui apporter ce gâteau.

Génis le prit avidement des mains de cet homme, et le mangea avec une telle vivacité, que les médecins, qui étaient présents, ne manquèrent pas de dire que cette fureur n'était pas un bon signe : effectivement, le prince pensa s'étrangler par la bague qu'il trouva dans un morceau du gâteau ; mais il la tira adroitement de sa bouche et son ardeur à dévorer ce gâteau se ralentit, en examinant cette fine émeraude, montée sur un jonc d'or dont le cercle était si étroit, qu'il jugea ne pouvoir servir qu'au plus joli doigt du monde.

Il baisa mille fois cette bague, la mit sous son chevet et l'en tirait à tout moment quand il croyait n'être vu de personne. Le tourment qu'il se donna pour imaginer comment il pourrait voir celle à qui cette bague pouvait aller et n'osant croire, s'il demandait Peau d'Ane, qui avait fait ce gâteau qu'il avait demandé, qu'on lui accordât de la faire venir, n'osant non plus croire ce qu'il avait vu par le trou de la serrure, de crainte qu'on se moquât de lui et qu'on le prît pour un visionnaire, toutes ces idées le tourmentant à la fois, la fièvre le reprit fortement et les médecins, ne sachant plus que faire, déclarèrent à la reine que le prince était malade d'amour.

La reine accourut chez son fils, avec le roi, qui se désolait

-Mon fils, mon cher fils, s'écria le monarque affligé, nomme-nous celle que tu veux ; nous jurons que nous te la donnerons, fût elle la plus vile des esclaves.

La reine, en l'embrassant, lui confirma le serment du roi.

Le prince, attendri par les larmes et les caresses des auteurs de ses jours, leur dit :

- Mon père et ma mère, je n'ai point dessein de faire une alliance qui vous déplaise et pour preuve de cette vérité, dit-il en tirant l'émeraude de dessous son chevet, c'est que j'épouserai la personne à qui cette bague ira, telle qu'elle soit ; et il n'y a pas apparence que celle qui aura ce joli doigt soit une rustaude ou une paysanne.

Le roi et la reine prirent la bague, l'examinèrent curieusement et jugèrent, ainsi que le prince, que cette bague ne pouvait aller qu'à quelque fille de bonne maison.
Alors, le roi, ayant embrassé son fils en le conjurant de guérir, sortit, fit sonner les tambours, les fifres et les trompettes par toute la ville et crier par ses hérauts que l'on n'avait qu'à venir au palais essayer une bague et que celle à qui elle irait juste, épouserait l'héritier du trône.

Les princesses d'abord arrivèrent, puis les duchesses, les marquises et les baronnes; mais elles eurent beau toutes s'amenuiser les doigts, aucune ne put mettre la bague. Il en fallut venir aux grisettes, qui toutes jolies qu'elles étaient, avaient toutes les doigts trop gros. Le prince, qui se portait mieux, faisait lui-même l'essai.

Enfin, on en vint aux filles de chambre ; elles ne réussirent pas mieux. Il n'y avait plus personne qui n'eût essayé cette bague sans succès, lorsque le prince demanda les cuisinières, les marmitonnes, les gardeuses de moutons : on amena tout cela ; mais leurs gros doigts rouges et courts ne purent seulement aller par delà de l'ongle.

- A-t-on fait venir cette Peau d'Ane, qui m'a fait un gâteau ces jours derniers ? dit le prince.

Chacun se prit à rire, et lui dit que non, tant elle était sale et crasseuse.

- Qu'on l'aille chercher sur l'heure, dit le roi ; il ne sera pas dit que j'ai excepté quelqu'un.

On courut, en riant et se moquant, chercher la dindonnière.

L'Infante, qui avait entendu les tambours et les cris des hérauts d'armes, s'était bien doutée que sa bague faisait ce tintamarre : elle aimait le prince et, comme le véritable amour est craintif et n'a point de vanité, elle était dans la crainte continuelle que quelque danse n'eût le doigt aussi menu que le sien.

Elle eut donc une grande joie quand on vint la chercher et qu'on heurta à sa porte. Depuis qu'elle avait su qu'on cherchait un doigt propre à mettre sa bague, je ne sais quel espoir l'avait portée à se coiffer plus soigneusement, et à mettre son beau corsage d'argent, avec le jupon plein de falbalas de dentelle d'argent, semés d'émeraudes.

Sitôt qu'elle entendît qu'on heurtait à la porte et qu'on l'appelait pour aller chez le prince, elle remit promptement sa peau d'Ane, ouvrit sa porte ; et ces gens, en se moquant d'elle, lui dirent que le roi la demandait pour lui faire épouser son fils, puis avec de longs éclats de rire, ils la menèrent chez le prince, qui, lui-même, étonné de l'accoutrement de cette fille, n'osa croire que ce fût elle qu'il avait vue si pompeuse et si belle. Triste et confondu de s'être si lourdement trompé :

- Est-ce vous, lui dit-il, qui logez au fond de cette allée obscure, dans la troisième basse-cour de la métairie ?

- Oui, seigneur, répondit elle.

- Montrez moi votre main, dit-il en tremblant et poussant un profond soupir...

Dame, qui fut bien surpris ? Ce furent le roi et la reine, ainsi que tous les chambellans et les grands de la cour, lorsque de dessous cette peau noire et crasseuse sortit une petite main délicate, blanche et couleur de rose, où la bague s'ajusta sans peine au plus joli petit doigt du monde et par un petit mouvement que l'Infante se donna, la peau tomba, et elle parut d'une beauté si ravissante, que le prince, tout faible qu'il était, se mit à ses genoux et les serra avec une ardeur qui la fit rougir ; mais, on ne s'en aperçut presque pas, parce que le roi et la reine vinrent l'embrasser de toute leur force et lui demander si elle voulait bien épouser leur fils.

La princesse, confuse de tant de caresses et de l'amour que lui marquait ce beau jeune prince, allait cependant les en remercier, lorsque le plafond s'ouvrit et que la Fée des Lilas, descendant dans un char fait de branches et de fleurs de son nom, conta, avec une grâce infinie, l'histoire de l'Infante.

Le roi et la reine, charmés de voir que Peau d'Ane était une grande princesse, redoublèrent leurs caresses, mais le prince fut encore plus sensible à la vertu de la princesse et son amour s'accrût par cette connaissance.

L'impatience du prince, pour épouser la princesse, fut telle, qu'à peine donnat-il le temps de faire les préparatifs convenables pour cet auguste mariage. Le roi et la reine, qui étaient affolés de leur belle-fille, lui faisaient mille caresses et la tenaient incessamment dans leurs bras ; elle avait déclaré qu'elle ne pouvait épouser le prince sans le consentement du roi son père : aussi fusil le premier à qui on envoya une invitation, sans lui dire quelle était l'épousée ; la Fée des Lilas Raine, qui présidait à tout, comme de raison, l'avait exigé, à cause des conséquences.

Il vint des rois de tous les pays : les uns en chaise à porteurs, d'autres en cabriolet, de plus éloignés, montés sur des éléphants, sur des tigres, sur des aigles, mais le plus magnifique et le plus puissant fut le père de l'Infante, qui heureusement avait oublié son amour impossible et avait épousé une reine veuve, fort belle, dont il n'avait point eu d'enfant. L'Infante courut au-devant de lui ; il la reconnut aussitôt, et l'embrassa avec une grande tendresse, avant qu'elle eût le temps de se jeter à ses genoux.

Mithos et Pronyma lui présentèrent leur fils, qu'il combla d'amitiés. Les noces se firent avec toute la pompe imaginable. Les jeunes époux, peu sensibles à ces magnificences, ne virent et ne regardèrent qu'eux.

Le roi, père du prince, fit couronner son fils ce même jour, et, lui baisant la main, le plaça sur son trône. Malgré la résistance de ce fils si bien né, il lui fallut obéir.

Les fêtes de cet illustre mariage durèrent près de trois mois ; mais l'amour des deux époux durerait encore, tant ils s'aimaient, s'ils n'étaient pas morts cent ans après.






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Alors qu'en pensez vous?

Reviews?

Forcystus: MARINA!

Anna: C'est pas bientôt fini ce boucan!

Kratos: Les jeunes de nos jours....

Mithos: Dîtes plutôt qu'on gêne alors que vous vous apprêtez à concevoir un frère ou une sœur à Lloyd....

Le couple rougit

Kratos: Bon on va conclure. Les lecteurs votre avis s'il vous plaît. Au revoir * file retourner auprès de Anna *

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16 octobre 2009

Contes parodiques de ToS - Chapitre 6: Les fées - par Marina Ka-fai

Hello les amis!

Me voici avec une jolie histoire de Charles Perrault: les fées

Lloyd: C'est quoi le couple ce coup-ci?

PronymaxMithos sous sa forme de chef du Cruxis

Mithos: QUOI?!

Pronyma: *aux anges*

Allez voilà le staff:

La gentille jeune fille: Pronyma ( Mithos : c'est juste parce que tu l'aimes bien )

Sa sœur ainée: Raine Sage ( désolée raine je compte sur toi )

Leur mère: Sheena Fujibayashi

La fée: Kratos

Kratos: Quoi?!

Je déconne ^^ Ne me lance pas un Jugement s'il te plait ^^'

La fée: Anna Aurion

Le prince: Mithos Yggdrasill

Le père mort: Kvar juste pour le fait de le voir mort ( sauf que le descriptif du père est ironique)

Kratos: Tu veux que j'en fasse un cadavre TRES réaliste? ^^

Vas-y je peux pas le saquer mais mollo, on en a besoin.

Enjoy

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Les Fées

Il était une fois une veuve qui se nommait Sheena Fujibayashi, elle avait deux filles; l'aînée, Raine, lui ressemblait si fort et d'humeur et de visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, Pronyma, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la Cuisine et travailler sans cesse. Il fallait entre autres chose que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l'eau à une grande demi-lieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche.

Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire.

- Oui, ma bonne mère, dit cette belle fille.

Et rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l'eau au plus bel endroit de la fontaine, et la lui présenta, soutenant toujours la cruche afin qu'elle bût plus aisément.

La bonne femme, ayant bu, lui donne pour don, qu'à chaque parole qu'elle dirait, il lui sortira de la bouche ou une Fleur, ou une Pierre précieuse. Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard de la fontaine.

-Je vous demande pardon, ma mère,d'avoir tardé si longtemps dit cette pauvre fille

Et en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux Roses, deux Perles, et deux gros Diamants.

-Que vois-je là! dit sa mère toute étonnée; je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants; d'où vient cela, ma fille?

(ce fut là la première fois qu'elle l'appela sa fille).

La pauvre enfant lui raconta naïvement tout ce qui lui était arrivé, non sans jeter une infinité de Diamants.

-Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille; tenez, Raine voyez ce qui sort de la bouche de votre sœur quand elle parle, ne seriez-vous pas bien aise d'avoir le même don? Vous n'avez qu'à aller puiser de l'eau à la fontaine, et quand une pauvre femme vous demandera à boire, lui en donner bien honnêtement.

– Il me ferait beau voir, répondit la brutale, aller à la fontaine.

– Je veux que vous y alliez, reprit la mère, et tout à l'heure.

Elle y alla, mais toujours en grondant. Elle prit le plus beau Flacon d'argent qui fût dans le logis.

Elle ne fut pas plus tôt arrivée à la fontaine qu'elle vit sortir du bois une Dame magnifiquement vêtue qui vint lui demander à boire: c'était la même Fée qui avait apparu à sa sœur, mais qui avait pris l'air et les habits d'une Princesse, pour voir jusqu'où irait la malhonnêteté de cette fille.

-Est-ce que je suis ici venue, lui dit cette brutale orgueilleuse, pour vous donner à boire? Justement j'ai apporté un Flacon d'argent tout exprès pour donner à boire à Madame!

J'en suis d'avis, buvez à même si vous voulez .

-Vous n'êtes guère honnête, reprit la Fée, sans se mettre en colère;

Hé bien! puisque vous êtes si peu obligeante, je vous donne pour don qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un serpent ou un crapaud.

D'abord que sa mère l'aperçut, elle lui cria:

- Hé bien, ma fille!

– Hé bien, ma mère! lui répondit la brutale, en jetant deux vipères, et deux crapauds.

– Ô ciel! s'écria la mère, que vois-je là? C'est sa sœur qui en est cause, elle me le paiera!

Et aussitôt elle courut pour la battre.

La pauvre enfant s'enfuit, et alla se sauver dans la Forêt prochaine. Le fils du Roi, Mithos Yggdrasill, qui revenait de la chasse la rencontra et la voyant si belle, lui demanda ce qu'elle faisait là toute seule et ce qu'elle avait à pleurer.

-Hélas! Monsieur, c'est ma mère qui m'a chassée du logis.

Mithos , qui vit sortir de sa bouche cinq ou six Perles, et autant de Diamants, la pria de lui dire d'où cela lui venait. Elle lui conta toute son aventure. Mithos en devint amoureux, et considérant qu'un tel don valait mieux que tout ce qu'on pouvait donner en mariage à un autre, l'emmena au Palais du Roi son père, où il l'épousa.

*Coupure *

Yuan: On est sûr que c'est pas pour la thune qu'il l'épouse?

Mithos: Non

Yuan: J'ai du mal à te croîre

Mithos: je m'en fous

Bon je peux reprendre?

* Reprise *

Pour sa sœur, elle se fit tant haïr, que sa propre mère la chassa de chez elle; et la malheureuse, après avoir bien couru sans trouver personne qui voulût la recevoir, alla mourir au coin d'un bois.

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Alors?

Pronyma: Je recommence quand vous voulez!

Mithos: Mouais, comparé à mes autres rôles, celui là est l'un des meilleurs

Yuan: Enfin casé le beau-frère il était temps!

Martel: Pronyma, Mithos, à quand le neveu ou la nièce?

Les concernés rougissent

Alors cher lecteur( ou lectrice ^^) reviews?

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