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Tales of Symphonia for ever
16 octobre 2009

Contes parodiques de ToS - Chapitre 7: Peau d'âne - par Marina Ka-fai

Hello les amis!

Me revoici avec une nouvelle parodie: celle de peau d'âne!

Lloyd: C'est quoi Peau d'âne?

Kratos: Un homme perd son épouse qui lui a fait promettre d'épouser une femme que si elle était mieux qu'elle et la seule qui puisse convenir est la propre fille de cet homme.

Lloyd: beurk de l'inceste!

Notre couple aujourd'hui sera le géséa c'est à dire: GénisxPréséa!

Génis: C'est vrai?!

Préséa: Vu sa tête, le pourcentage de probabilité que se soit une blague est très faible, voire nulle.

Allez le staff:

Le roi de Sylvarant: Forcystus ( Forcystus: Je vais devoir faire le gars qui va se taper une gamine?! OO)

Sa femme: Mademoiselle Kate

Leur fille: Préséa Combatir

La fée marraine: Raine Sage

La fermière: Colette Brunel

Le roi de Tésséha'lla: Mithos Yggdrasill sous sa forme adulte

Sa femme: Pronyma ( Mithos: ENCORE?! Bon y'a pire je vais pas me plaindre)

Leur fils: Génis Sage

Enjoy

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Peau d'Ane

Il était une fois un roi de Sylvarant si grand, si aimé de ses peuples, si respecté de tous ses voisins et de ses alliés, qu'on pouvait dire qu'il était le plus heureux de tous les monarques. Ce bienheureux se nommait Forcystus.

Son bonheur était encore confirmé par le choix qu'il avait fait d'une princesse aussi belle que vertueuse ; et ces heureux époux vivaient dans une union parfaite. Kate et Forcystsus, deux noms qui se complètent bien. De leur mariage était née une fille, douée de tant de grâce et de charmes, qu'ils ne regrettaient pas de n'avoir pas une plus ample lignée. Cette merveilleuse princesse répondait au doux nom de Préséa.

La magnificence, le goût et l'abondance régnaient dans son palais ; les ministres étaient sages et habiles ; les courtisans, vertueux et attachés ; les domestiques, fidèles et laborieux ; les écuries, vastes et remplies des plus beaux chevaux du monde, couverts de riches caparaçons : mais ce qui étonnait les étrangers qui venaient admirer ces belles écuries, c'est qu'au lieu le plus apparent un maître d'âne étalait de longues et grandes oreilles.

Ce n'était pas par fantaisie, mais avec raison, que le roi lui avait donné une place particulière et distinguée. Les vertus de ce rare animal méritaient cette distinction, puisque la nature l'avait formé si extraordinaire, que sa litière, au lieu d'être malpropre, était couverte, tous les matins, avec profusion, de beaux écus au soleil, et de louis d'or de toute espèce, qu'on allait recueillir à son réveil.

Or, comme les vicissitudes de la vie s'étendent aussi bien sur les rois que sur les sujets, et que toujours les biens sont mêlés de quelques maux, le ciel permit que la reine fût tout à coup attaquée d'une âpre maladie, pour laquelle, malgré la science et l'habileté des médecins, on ne put trouver aucun secours. La désolation fut générale.

Le roi, sensible et amoureux, malgré le proverbe fameux qui dit que le mariage est le tombeau de l'amour, s'affligeait sans modération, faisait des vœux ardents à tous les temples de son royaume, offrait sa vie pour celle d'une épouse si chère, mais les dieux et les fées étaient invoqués en vain. La reine, sentant sa dernière heure approcher, dit à son époux qui fondait en larmes:
- Trouvez bon, avant que je meure, que j'exige une chose de vous : C'est que s'il vous prenait envie de vous remarier...

A ces mots, le roi fit des cris pitoyables, prit les mains de sa femme, les baigna de pleurs, et, l'assurant qu'il était superflu de lui parler d'un second mariage :

- Non, non, dit-il enfin, ma chère reine, parlez moi plutôt de vous suivre.

-L'État, reprit la reine avec une fermeté qui augmentait les regrets de ce prince,

l'État doit exiger des successeurs, et, comme je ne vous ai donné qu'une fille, vous pressait d'avoir des fils qui vous ressemblent : mais je vous demande instamment, par tout l'amour que vous avez eu pour moi, de ne céder à l'empressement de vos peuples que lorsque vous aurez trouvé une princesse plus belle et mieux faite que moi ; j'en veux votre serment, et alors je mourrai contente.

On présume que la reine, qui ne manquait pas d'amour-propre, avait exigé ce serment, ne croyant pas qu'il fût au monde personne qui pût l'égaler, pensant bien que c'était s'assurer que le roi ne se remarierait jamais. Enfin elle mourut. Jamais mari ne fit tant de vacarme : pleurer, sangloter jour et nuit, menus droits du veuvage, furent son unique occupation.

* Coupure *

Forcystus: Tu me donnes une épouse sublime pour me la tuer ensuite?! Viens ici que je t'égorge!

Yuan: Je l'ai déjà dit à Mithos, celui qui fait du mal à une de mes fans aura affaire à moi!

Mithos: C'est sûre que comme t'en a pas beaucoup du coup, tu la protèges!

Yuan: QUOI?!

Kratos: VOS GUEULES!

Anna: On ne peut plus se bécoter en paix ici!

Lloyd: Euh je crois que je vais faire un tour moi...

Kate: Et puis pour finir, je suis morte fictivement, c'est pour du faux ^^

*Reprise*

Les grandes douleurs ne durent pas. D'ailleurs, les grands de l'État s'assemblèrent, et vinrent en corps prier le roi de se remarier. Cette première proposition lui parut dure, et lui fit répandre de nouvelles larmes. Il allégua le serment qu'il avait fait à la reine, défiant tous ses conseillers de pouvoir trouver une princesse plus belle et mieux faite que feu sa femme, pensant que cela était impossible.

Mais le conseil traita de babiole une telle promesse et dit qu'il importait peu de la beauté, pourvu qu'une reine fût vertueuse ; que l'État demandait des princes pour son repos et sa tranquillité ; qu'à la vérité, l'Infante avait toutes les qualités requises pour faire une grande reine, mais qu'il fallait lui choisir un époux ; et qu'alors ou cet étranger l'emmènerait chez lui, ou que, s'il régnait avec elle, ses enfants ne seraient plus réputés du même sang ; et que, n'y ayant point de prince de son nom, les peuples voisins pourraient lui susciter des guerres qui entraîneraient la ruine du royaume. Le roi, frappé de ces considérations, promit qu'il songerait à les contenter.

Effectivement, il chercha, parmi les princesses à marier, qui serait celle qui pourrait lui convenir. Chaque jour on lui apportait des portraits charmants, mais aucun n'avait les grâces de la feue reine : ainsi il ne se déterminait point.

Malheureusement il s'avisa de trouver que l'Infante surpassait encore de beaucoup la reine sa mère en esprit et en agréments. Sa jeunesse, l'agréable fraîcheur de ce beau teint enflammèrent le roi d'un ton si violent, qu'il ne put le cacher à l'Infante, et il lui dit qu'il avait résolu de l'épouser, puisqu'elle seule pouvait le dégager de son serment.

La jeune princesse, remplie de vertu et de pudeur, pensa s'évanouir à cette horrible proposition. Elle se jeta aux pieds du roi son père, et le conjura, avec toute la force qu'elle pût trouver dans son esprit, de ne la pas contraindre à commettre un tel crime.

Le roi, qui s'était mis en tête ce bizarre projet, avait consulté un vieux druide pour mettre la conscience de la princesse en repos. Ce druide, moins religieux qu'ambitieux, sacrifia, à l'honneur d'être confident d'un grand roi, l'intérêt et l'innocence et de la vertu, et s'insinua avec tant d'adresse dans l'esprit du roi, lui adoucit tellement le crime qu'il allait commettre, qu'il lui persuada même que c'était une œuvre pie que d'épouser sa fille. Ce prince, flatté par les discours de ce scélérat, l'embrassa et revint d'avec lui plus entêté que jamais dans son projet : il fit donc ordonner à l'Infante de se préparer à lui obéir.

La jeune princesse, outrée d'une vive douleur, n'imagina rien d'autre chose que d'aller trouver la Fée des Lilas, Raine Sage sa marraine. Pour cet effet, elle partit la même nuit dans un joli cabriolet attelé d'un gros mouton qui savait tous les chemins. Elle y arriva heureusement. La fée, qui aimait l'Infante, lui dit qu'elle savait tout ce qu'elle venait lui dire, mais qu'elle n'eût aucun souci, rien ne pouvant lui nuire si elle exécutait fidèlement ce qu'elle allait lui prescrire.

- Car, ma chère enfant, lui dit-elle, ce serait une grande faute que d'épouser votre père, mais, sans le contredire, vous pouvez l'éviter: dites lui que, pour remplir une fantaisie que vous avez, il faut qu'il vous donne une robe de la couleur du temps ; jamais, avec tout son amour et son pouvoir, il ne pourra y parvenir.

La princesse remercia bien sa marraine ; et dès le lendemain matin, elle dit au roi son père ce que la fée lui avait conseillé, et protesta qu'on ne tirerait d'elle aucun aveu qu'elle n'eût une robe couleur du temps. Le roi, ravi de l'espérance qu'elle lui donnait, assembla les plus fameux ouvriers, et leur commanda cette robe, sous la consigne que, s'ils ne pouvaient réussir, il les ferait tous pendre.

Il n'eut pas le chagrin d'en venir à cette extrémité, dès le second jour ils apportèrent la robe si désirée. D'empyrée n'est pas d'un plus beau bleu lorsqu'il est ceint de nuages d'or, que cette belle robe lorsqu'elle fut étalée. L'Infante en fut toute contrastée et ne savait comment se tirer d'embarras.

Le roi pressait la conclusion. Il fallut recourir encore à la marraine, qui, étonnée de ce que son secret n'avait pas réussi', lui dit d'essayer d'en demander une de la couleur de la lune. Le roi, qui ne pouvait lui rien refuser, envoya chercher les plus habiles ouvriers, et leur commanda si expressément une robe couleur de la lune, qu'entre ordonner et apporter il n'y eut pas vingt-quatre heures...

L'Infante, plus charmée de cette superbe robe que des soins du roi son père, s'affligea immodérément lorsqu'elle fut avec ses femmes et sa nourrice. La Fée des Lilas, qui savait tout, vint au secours de l'affligée princesse, et lui dit :

- Ou je me trompe fort, ou je crois que, si vous demandez une robe couleur, du soleil, ou nous viendrons à bout de dégoûter le roi votre père, car jamais on ne pourra parvenir à faire une pareille robe, ou nous gagnerons au moins du temps.

L'Infante en convint, demanda la robe et l'amoureux roi donna, sans regret, tous les diamants et les rubis de sa couronne pour aider à ce superbe ouvrage, avec l'ordre de ne rien épargner pour rendre cette robe égale au soleil.

Aussi, dès qu'elle parût, tous ceux qui la virent déployée furent obligés de fermer les yeux, tant ils furent éblouis. C'est de ce temps que datent les lunettes vertes et les verres noirs. Que devient l'Infante à cette vue ? Jamais on n'avait rien vu de si beau et de si artistement ouvré. Elle était confondue ; et sous prétexte d'avoir mal aux yeux, elle se retira dans sa chambre où la fée l'attendait, plus honteuse qu'on ne peut dire. Ce fut bien pis : car, en voyant la robe du soleil, elle devint rouge de colère.

- Oh ! pour le coup, ma fille, dit-elle à l'Infante, nous allons mettre l'indigne amour de votre père à une terrible épreuve. Je le crois bien entêté de ce mariage qu'il croit si prochain, mais je pense qu'il sera un peu étourdi de la demande que je vous conseille de lui faire : C'est la peau de cet âne qu'il aime si passionnément, et qui fournit à toutes ses dépenses avec tant de profusion ; allez, et ne manquez pas de lui dire que vous désirez cette peau.

L'Infante, ravie de trouver encore un moyen d'éluder un mariage qu'elle détestait, et qui pensait en même temps que son père ne pourrait jamais se résoudre à sacrifier son âne, vint le trouver et lui exposa son désir pour la peau de ce bel animal.

Quoique le roi fût étonné de cette fantaisie, il ne balança pas à la satisfaire. Le pauvre âne fut sacrifié, et la peau galamment apportée à l'Infante, qui, ne voyant plus aucun moyen d'éluder son malheur, s'allait désespérer, lorsque sa marraine accourut.

- Que faites vous, ma fille ? dit-elle, voyant la princesse déchirant ses cheveux et meurtrissant ses belles joues ;

voici le moment le plus heureux de votre vie. Enveloppez vous de cette peau, sortez de ce palais, et allez tant que la terre pourra vous porter: lorsqu'on sacrifie tout à la vertu, les dieux savent en récompenser. Allez, j'aurai soin que votre toilette vous suive partout ; en quelque lieu que vous vous arrêtiez, votre cassette, où seront vos habits et vos bijoux, suivra vos pas sous terre ; et voici ma baguette que je vous donne : en frappant la terre, quand vous aurez besoin de cette cassette, elle paraîtra à vos yeux ; mais hâtez vous de partir, et ne tardez pas.

L'Infante embrassa mille fois sa marraine, la pria de ne pas l'abandonner, s'affubla de cette vilaine peau, après s'être barbouillée de suie de cheminée, et sortit de ce riche palais sans être reconnue de personne.

L'absence de l'Infante causa une grande rumeur. Le roi, au désespoir, qui avait fait préparer une fête magnifique, était inconsolable. Il fit partir plus de cent gendarmes et plus de mille mousquetaires pour aller à la recherche de sa fille ; mais la fée, qui la protégeait, la rendait invisible aux plus habiles recherches : ainsi il fallut bien s'en consoler.

Pendant ce temps, l'Infante cheminait. Elle alla bien loin, encore plus loin, et cherchait partout une place ; mais quoique par charité on lui donnât à manger, on la trouvait si crasseuse que personne n'en voulait.

Cependant, elle entra dans une belle ville, à la porte de laquelle était une métairie, dont la fermière avait besoin d'un souillon pour laver les torchons, nettoyer les dindons et l'auge des cochons. Cette femme, voyant cette voyageuse si malpropre, lui proposa d'entrer chez elle ; ce que l'Infante accepta de grand cœur, tant elle était lasse d'avoir tant marché. Colette Brunel était réputée dans le village pour sa charité.

On la mit dans un coin reculé de la cuisine, où elle fut, les premiers jours, en butte aux plaisanteries grossières de la valetaille, tant sa peau d'âne la rendait sale et dégoûtante. Enfin, on s'y accoutuma ; d'ailleurs elle était si soigneuse de remplir ses devoirs, que la fermière la prit sous sa protection. Elle conduisait les moutons, les faisait parquer au temps où il le fallait ; elle menait les dindons paître avec une telle intelligence, qu'il semblait qu'elle n'eût jamais fait autre chose: aussi tout fructifiait sous ses belles mains.

Un jour qu'assise près d'une claire fontaine, où elle déplorait souvent sa triste condition, elle s'avisa de s'y mirer, l'effroyable peau d'âne, qui faisait sa coiffure et son habillement, l'épouvanta.

Honteuse de cet ajustement, elle se décrassa le visage et les mains, qui devinrent plus blanches que l'ivoire, et son beau teint reprit sa fraîcheur naturelle. La joie de se trouver si belle lui donna envie de se baigner, ce qu'elle exécuta ; mais il lui fallut remettre son indigne peau pour retourner à la métairie.

Heureusement, le lendemain était un jour de fête ; ainsi elle eut le loisir de tirer sa cassette, d'arranger sa toilette, de poudrer ses beaux cheveux, et de mettre sa belle robe couleur du temps. Sa chambre était si petite, que la queue de cette belle robe ne pouvait pas s'étendre. La belle princesse se mira et s'admira elle-même avec raison, si bien qu'elle résolut, pour se désennuyer, de mettre tour à tour ses belles robes, les fêtes et les dimanches ; ce qu'elle exécuta ponctuellement.

Elle mêlait des fleurs et des diamants dans ses beaux cheveux, avec un art admirable et souvent elle soupirait de n'avoir pour témoins de sa beauté que ses moutons et ses dindons, qui l'aimaient autant avec son horrible peau d'âne, dont on lui avait donné le nom dans cette ferme.

Un jour de fête, que Peau d'Ane avait mis la robe couleur du soleil, le fils du roi de Tésséha'lla, à qui cette ferme appartenait, vint y descendre pour se reposer, en revenant de la chasse. Ce prince était jeune, beau et admirablement bien fait, l'amour de son père et de la reine sa mère, adoré des peuples. Oui Génis avait tout d'un futur grand souverain.

On offrit à ce jeune prince une collation champêtre, qu'il accepta ; puis il se mit à parcourir les basses-cours et tous les recoins.

En courant ainsi de lieu en lieu, il entra dans une sombre allée, au bout de laquelle il vit une porte fermée. La curiosité lui fit mettre l'œil à la serrure ; mais que devint il en apercevant la princesse si belle et si richement vêtue, qu'à son air noble et modeste, il la prit pour une divinité. L'impétuosité du sentiment qu'il éprouva dans ce moment l'aurait porté à enfoncer la porte, sans le respect que lui inspira cette ravissante personne.

Il sortit avec peine de cette allée sombre et obscure, mais ce fut pour s'informer qui était la personne qui demeurait dans cette petite chambre. On lui répondit que c'était une souillon, qu'on nommait Peau d'Ane à cause de la peau dont elle s'habillait, et qu'elle était si sale et si crasseuse, que personne ne la regardait ni lui parlait et qu'on ne l'avait prise que par pitié, pour garder les moutons et les dindons.

Le prince, peu satisfait de cet éclaircissement, vit bien que ces gens grossiers n'en savaient pas davantage, et qu'il était inutile de les questionner.

Il revint au palais du roi son père, Mithos Yggdrasill plus amoureux qu'on ne peut dire, ayant continuellement devant les yeux la belle image de cette divinité qu'il avait vue par le trou de la serrure.

* Coupure *

Zélos: Depuis quand Génis mate les filles par la serrure? C'est mon boulot ça!

Génis: J'ai honte! Pardon Préséa!

Préséa: Tu sais il n'y avait rien à voir alors ne t'excuses pas.

* Reprise *

Il se repentit de n'avoir pas heurté à la porte et se promit bien de n'y pas manquer une autre fois. Mais l'agitation de son sang, causée par l'ardeur de son amour, lui donna, dans la même nuit, une fièvre si terrible, que bientôt il fut réduit à l'extrémité.

La reine Pronyma, sa mère, qui n'avait que lui d'enfant, se désespérait de ce que tous les remèdes étaient inutiles. Elle promettait en vain les plus grandes récompenses aux médecins ; ils y employèrent tout leur art, mais rien ne guérissait le prince.

Enfin, ils devinèrent qu'un mortel chagrin causait tout ce ravage ; ils en avertirent la reine, qui, toute pleine de tendresse pour son fils, vint le conjurer de dire la cause de son mal et que, quand il s'agirait de lui céder la couronne, le roi son père descendrait de son trône sans regret, pour l'y faire monter ; que s'il désirait quelque princesse, quand même on serait en guerre avec le roi son père, et qu'on eût de justes sujets pour s'en plaindre, on sacrifierait tout pour obtenir ce qu'il désirait ; mais qu'elle le conjurait de ne pas se laisser mourir, puisque de sa vie dépendait la leur.

Pronyma n'acheva pas ce touchant discours sans mouiller le visage du prince d'un torrent de larmes.

- Madame ma chère mère, lui dit enfin génis avec une voix très faible,

je ne suis pas assez dénaturé pour désirer la couronne de mon père ; plaise au ciel qu'il vive de longues années, et qu'il veuille bien que je sois longtemps le plus fidèle et le plus respectueux de ses sujets. Quant aux princesses que vous m'offrez, je n'ai point encore pensé à me marier et vous pensez bien que, soumis comme je le suis à vos volontés, je vous obéirai toujours, quoi qu'il m'en coûte.

- Ah, mon fils, reprit la reine, rien ne me coûtera pour te sauver la vie, mais, mon cher fils, sauve la mienne et celle du roi ton père en me déclarant ce que tu désires et sois bien assuré qu'il te sera accordé.

- Eh bien, madame, dit-il, puisqu'il faut vous déclarer ma pensée, je vais vous obéir ; je me ferais un crime de mettre en danger deux êtres qui me sont si chers.
Oui, ma mère, je désire que Peau d'Ane me fasse un gâteau, et que, dès qu'il sera fait, on me l'apporte.

La reine, étonnée de ce nom bizarre, demanda qui était cette Peau d'Ane.

- C'est, Madame, reprit un de ses officiers qui par hasard avait vu cette fille

c'est la plus vilaine bête après le loup ; une peau noire, une crasseuse qui loge dans votre métairie et qui garde vos dindons.

- N'importe, dit elle

Mon fils, au retour de la chasse, a peut-être mangé de sa pâtisserie ; c'est une fantaisie de malade ; en un mot, je veux que Peau d'Ane (puisque Peau d'Ane, il y a) lui fasse promptement un gâteau.

On courut à la métairie, et l'on fit venir Peau d'Ane, pour lui ordonner de faire de son mieux un gâteau pour le prince.

Quelques auteurs ont assuré que Peau d'Ane alias Préséa, au moment que ce prince avait mis l'œil à la serrure, les siens l'avaient aperçu ; et puis que, regardant par sa petite fenêtre, elle avait vu ce prince si jeune, si beau et si bien fait, que l'idée lui en était restée, et que souvent ce souvenir lui avait coûté quelques soupirs.

Quoi qu'il en soit, Préséa l'ayant vu, ou en ayant beaucoup entendu parler avec éloge, ravie de pouvoir trouver un moyen d'être connue, s'enferma dans sa chambre, jeta sa vilaine peau, se décrassa le visage et les mains, se coiffa de ses cheveux, mit un beau corset d'argent brillant, un jupon pareil, et se mit à faire le gâteau tant désiré : elle prit de la plus pure farine, des œufs et du beurre bien frais.

En travaillant, soit de dessein on. autrement, une bague qu'elle avait au doigt tomba dans la pâte, s'y mêla ; et dès que le gâteau fut cuit, s'affublant de son horrible peau, elle donna le gâteau à l'officier, à qui elle demanda des nouvelles du prince ; mais cet homme, ne daignant pas lui répondre, courut chez le prince lui apporter ce gâteau.

Génis le prit avidement des mains de cet homme, et le mangea avec une telle vivacité, que les médecins, qui étaient présents, ne manquèrent pas de dire que cette fureur n'était pas un bon signe : effectivement, le prince pensa s'étrangler par la bague qu'il trouva dans un morceau du gâteau ; mais il la tira adroitement de sa bouche et son ardeur à dévorer ce gâteau se ralentit, en examinant cette fine émeraude, montée sur un jonc d'or dont le cercle était si étroit, qu'il jugea ne pouvoir servir qu'au plus joli doigt du monde.

Il baisa mille fois cette bague, la mit sous son chevet et l'en tirait à tout moment quand il croyait n'être vu de personne. Le tourment qu'il se donna pour imaginer comment il pourrait voir celle à qui cette bague pouvait aller et n'osant croire, s'il demandait Peau d'Ane, qui avait fait ce gâteau qu'il avait demandé, qu'on lui accordât de la faire venir, n'osant non plus croire ce qu'il avait vu par le trou de la serrure, de crainte qu'on se moquât de lui et qu'on le prît pour un visionnaire, toutes ces idées le tourmentant à la fois, la fièvre le reprit fortement et les médecins, ne sachant plus que faire, déclarèrent à la reine que le prince était malade d'amour.

La reine accourut chez son fils, avec le roi, qui se désolait

-Mon fils, mon cher fils, s'écria le monarque affligé, nomme-nous celle que tu veux ; nous jurons que nous te la donnerons, fût elle la plus vile des esclaves.

La reine, en l'embrassant, lui confirma le serment du roi.

Le prince, attendri par les larmes et les caresses des auteurs de ses jours, leur dit :

- Mon père et ma mère, je n'ai point dessein de faire une alliance qui vous déplaise et pour preuve de cette vérité, dit-il en tirant l'émeraude de dessous son chevet, c'est que j'épouserai la personne à qui cette bague ira, telle qu'elle soit ; et il n'y a pas apparence que celle qui aura ce joli doigt soit une rustaude ou une paysanne.

Le roi et la reine prirent la bague, l'examinèrent curieusement et jugèrent, ainsi que le prince, que cette bague ne pouvait aller qu'à quelque fille de bonne maison.
Alors, le roi, ayant embrassé son fils en le conjurant de guérir, sortit, fit sonner les tambours, les fifres et les trompettes par toute la ville et crier par ses hérauts que l'on n'avait qu'à venir au palais essayer une bague et que celle à qui elle irait juste, épouserait l'héritier du trône.

Les princesses d'abord arrivèrent, puis les duchesses, les marquises et les baronnes; mais elles eurent beau toutes s'amenuiser les doigts, aucune ne put mettre la bague. Il en fallut venir aux grisettes, qui toutes jolies qu'elles étaient, avaient toutes les doigts trop gros. Le prince, qui se portait mieux, faisait lui-même l'essai.

Enfin, on en vint aux filles de chambre ; elles ne réussirent pas mieux. Il n'y avait plus personne qui n'eût essayé cette bague sans succès, lorsque le prince demanda les cuisinières, les marmitonnes, les gardeuses de moutons : on amena tout cela ; mais leurs gros doigts rouges et courts ne purent seulement aller par delà de l'ongle.

- A-t-on fait venir cette Peau d'Ane, qui m'a fait un gâteau ces jours derniers ? dit le prince.

Chacun se prit à rire, et lui dit que non, tant elle était sale et crasseuse.

- Qu'on l'aille chercher sur l'heure, dit le roi ; il ne sera pas dit que j'ai excepté quelqu'un.

On courut, en riant et se moquant, chercher la dindonnière.

L'Infante, qui avait entendu les tambours et les cris des hérauts d'armes, s'était bien doutée que sa bague faisait ce tintamarre : elle aimait le prince et, comme le véritable amour est craintif et n'a point de vanité, elle était dans la crainte continuelle que quelque danse n'eût le doigt aussi menu que le sien.

Elle eut donc une grande joie quand on vint la chercher et qu'on heurta à sa porte. Depuis qu'elle avait su qu'on cherchait un doigt propre à mettre sa bague, je ne sais quel espoir l'avait portée à se coiffer plus soigneusement, et à mettre son beau corsage d'argent, avec le jupon plein de falbalas de dentelle d'argent, semés d'émeraudes.

Sitôt qu'elle entendît qu'on heurtait à la porte et qu'on l'appelait pour aller chez le prince, elle remit promptement sa peau d'Ane, ouvrit sa porte ; et ces gens, en se moquant d'elle, lui dirent que le roi la demandait pour lui faire épouser son fils, puis avec de longs éclats de rire, ils la menèrent chez le prince, qui, lui-même, étonné de l'accoutrement de cette fille, n'osa croire que ce fût elle qu'il avait vue si pompeuse et si belle. Triste et confondu de s'être si lourdement trompé :

- Est-ce vous, lui dit-il, qui logez au fond de cette allée obscure, dans la troisième basse-cour de la métairie ?

- Oui, seigneur, répondit elle.

- Montrez moi votre main, dit-il en tremblant et poussant un profond soupir...

Dame, qui fut bien surpris ? Ce furent le roi et la reine, ainsi que tous les chambellans et les grands de la cour, lorsque de dessous cette peau noire et crasseuse sortit une petite main délicate, blanche et couleur de rose, où la bague s'ajusta sans peine au plus joli petit doigt du monde et par un petit mouvement que l'Infante se donna, la peau tomba, et elle parut d'une beauté si ravissante, que le prince, tout faible qu'il était, se mit à ses genoux et les serra avec une ardeur qui la fit rougir ; mais, on ne s'en aperçut presque pas, parce que le roi et la reine vinrent l'embrasser de toute leur force et lui demander si elle voulait bien épouser leur fils.

La princesse, confuse de tant de caresses et de l'amour que lui marquait ce beau jeune prince, allait cependant les en remercier, lorsque le plafond s'ouvrit et que la Fée des Lilas, descendant dans un char fait de branches et de fleurs de son nom, conta, avec une grâce infinie, l'histoire de l'Infante.

Le roi et la reine, charmés de voir que Peau d'Ane était une grande princesse, redoublèrent leurs caresses, mais le prince fut encore plus sensible à la vertu de la princesse et son amour s'accrût par cette connaissance.

L'impatience du prince, pour épouser la princesse, fut telle, qu'à peine donnat-il le temps de faire les préparatifs convenables pour cet auguste mariage. Le roi et la reine, qui étaient affolés de leur belle-fille, lui faisaient mille caresses et la tenaient incessamment dans leurs bras ; elle avait déclaré qu'elle ne pouvait épouser le prince sans le consentement du roi son père : aussi fusil le premier à qui on envoya une invitation, sans lui dire quelle était l'épousée ; la Fée des Lilas Raine, qui présidait à tout, comme de raison, l'avait exigé, à cause des conséquences.

Il vint des rois de tous les pays : les uns en chaise à porteurs, d'autres en cabriolet, de plus éloignés, montés sur des éléphants, sur des tigres, sur des aigles, mais le plus magnifique et le plus puissant fut le père de l'Infante, qui heureusement avait oublié son amour impossible et avait épousé une reine veuve, fort belle, dont il n'avait point eu d'enfant. L'Infante courut au-devant de lui ; il la reconnut aussitôt, et l'embrassa avec une grande tendresse, avant qu'elle eût le temps de se jeter à ses genoux.

Mithos et Pronyma lui présentèrent leur fils, qu'il combla d'amitiés. Les noces se firent avec toute la pompe imaginable. Les jeunes époux, peu sensibles à ces magnificences, ne virent et ne regardèrent qu'eux.

Le roi, père du prince, fit couronner son fils ce même jour, et, lui baisant la main, le plaça sur son trône. Malgré la résistance de ce fils si bien né, il lui fallut obéir.

Les fêtes de cet illustre mariage durèrent près de trois mois ; mais l'amour des deux époux durerait encore, tant ils s'aimaient, s'ils n'étaient pas morts cent ans après.






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Alors qu'en pensez vous?

Reviews?

Forcystus: MARINA!

Anna: C'est pas bientôt fini ce boucan!

Kratos: Les jeunes de nos jours....

Mithos: Dîtes plutôt qu'on gêne alors que vous vous apprêtez à concevoir un frère ou une sœur à Lloyd....

Le couple rougit

Kratos: Bon on va conclure. Les lecteurs votre avis s'il vous plaît. Au revoir * file retourner auprès de Anna *

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16 octobre 2009

Contes parodiques de ToS - Chapitre 6: Les fées - par Marina Ka-fai

Hello les amis!

Me voici avec une jolie histoire de Charles Perrault: les fées

Lloyd: C'est quoi le couple ce coup-ci?

PronymaxMithos sous sa forme de chef du Cruxis

Mithos: QUOI?!

Pronyma: *aux anges*

Allez voilà le staff:

La gentille jeune fille: Pronyma ( Mithos : c'est juste parce que tu l'aimes bien )

Sa sœur ainée: Raine Sage ( désolée raine je compte sur toi )

Leur mère: Sheena Fujibayashi

La fée: Kratos

Kratos: Quoi?!

Je déconne ^^ Ne me lance pas un Jugement s'il te plait ^^'

La fée: Anna Aurion

Le prince: Mithos Yggdrasill

Le père mort: Kvar juste pour le fait de le voir mort ( sauf que le descriptif du père est ironique)

Kratos: Tu veux que j'en fasse un cadavre TRES réaliste? ^^

Vas-y je peux pas le saquer mais mollo, on en a besoin.

Enjoy

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Les Fées

Il était une fois une veuve qui se nommait Sheena Fujibayashi, elle avait deux filles; l'aînée, Raine, lui ressemblait si fort et d'humeur et de visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, Pronyma, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la Cuisine et travailler sans cesse. Il fallait entre autres chose que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l'eau à une grande demi-lieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche.

Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire.

- Oui, ma bonne mère, dit cette belle fille.

Et rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l'eau au plus bel endroit de la fontaine, et la lui présenta, soutenant toujours la cruche afin qu'elle bût plus aisément.

La bonne femme, ayant bu, lui donne pour don, qu'à chaque parole qu'elle dirait, il lui sortira de la bouche ou une Fleur, ou une Pierre précieuse. Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard de la fontaine.

-Je vous demande pardon, ma mère,d'avoir tardé si longtemps dit cette pauvre fille

Et en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux Roses, deux Perles, et deux gros Diamants.

-Que vois-je là! dit sa mère toute étonnée; je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants; d'où vient cela, ma fille?

(ce fut là la première fois qu'elle l'appela sa fille).

La pauvre enfant lui raconta naïvement tout ce qui lui était arrivé, non sans jeter une infinité de Diamants.

-Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille; tenez, Raine voyez ce qui sort de la bouche de votre sœur quand elle parle, ne seriez-vous pas bien aise d'avoir le même don? Vous n'avez qu'à aller puiser de l'eau à la fontaine, et quand une pauvre femme vous demandera à boire, lui en donner bien honnêtement.

– Il me ferait beau voir, répondit la brutale, aller à la fontaine.

– Je veux que vous y alliez, reprit la mère, et tout à l'heure.

Elle y alla, mais toujours en grondant. Elle prit le plus beau Flacon d'argent qui fût dans le logis.

Elle ne fut pas plus tôt arrivée à la fontaine qu'elle vit sortir du bois une Dame magnifiquement vêtue qui vint lui demander à boire: c'était la même Fée qui avait apparu à sa sœur, mais qui avait pris l'air et les habits d'une Princesse, pour voir jusqu'où irait la malhonnêteté de cette fille.

-Est-ce que je suis ici venue, lui dit cette brutale orgueilleuse, pour vous donner à boire? Justement j'ai apporté un Flacon d'argent tout exprès pour donner à boire à Madame!

J'en suis d'avis, buvez à même si vous voulez .

-Vous n'êtes guère honnête, reprit la Fée, sans se mettre en colère;

Hé bien! puisque vous êtes si peu obligeante, je vous donne pour don qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un serpent ou un crapaud.

D'abord que sa mère l'aperçut, elle lui cria:

- Hé bien, ma fille!

– Hé bien, ma mère! lui répondit la brutale, en jetant deux vipères, et deux crapauds.

– Ô ciel! s'écria la mère, que vois-je là? C'est sa sœur qui en est cause, elle me le paiera!

Et aussitôt elle courut pour la battre.

La pauvre enfant s'enfuit, et alla se sauver dans la Forêt prochaine. Le fils du Roi, Mithos Yggdrasill, qui revenait de la chasse la rencontra et la voyant si belle, lui demanda ce qu'elle faisait là toute seule et ce qu'elle avait à pleurer.

-Hélas! Monsieur, c'est ma mère qui m'a chassée du logis.

Mithos , qui vit sortir de sa bouche cinq ou six Perles, et autant de Diamants, la pria de lui dire d'où cela lui venait. Elle lui conta toute son aventure. Mithos en devint amoureux, et considérant qu'un tel don valait mieux que tout ce qu'on pouvait donner en mariage à un autre, l'emmena au Palais du Roi son père, où il l'épousa.

*Coupure *

Yuan: On est sûr que c'est pas pour la thune qu'il l'épouse?

Mithos: Non

Yuan: J'ai du mal à te croîre

Mithos: je m'en fous

Bon je peux reprendre?

* Reprise *

Pour sa sœur, elle se fit tant haïr, que sa propre mère la chassa de chez elle; et la malheureuse, après avoir bien couru sans trouver personne qui voulût la recevoir, alla mourir au coin d'un bois.

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Alors?

Pronyma: Je recommence quand vous voulez!

Mithos: Mouais, comparé à mes autres rôles, celui là est l'un des meilleurs

Yuan: Enfin casé le beau-frère il était temps!

Martel: Pronyma, Mithos, à quand le neveu ou la nièce?

Les concernés rougissent

Alors cher lecteur( ou lectrice ^^) reviews?

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16 octobre 2009

Contes parodiques de ToS - Chapitre 5: La petite sirène version homme - par Marina Ka-fai

Oyé oyé!

Rassemblement pour le conte La petite sirène!

Le couple sera encore une fois un LloydxColette.

*Sur votre droite vous voyez les deux amoureux ravis *

Par contre, je préviens tout de suite, Kratos, dedans Anna est morte....

Fictivement!

Kratos: Tant que c'est fictif!

Et Mithos, mon cœur, dedans, j'avais prévu de faire jouer la sorcière ais ce sera un sorcier d'accord?

Mithos: Merci

Voici le staff des persos principaux:

Ariel: Lloyd Irving-Aurion

Le roi Triton: Kratos Aurion

Sa femme défunte: Anna Aurion

La princesse sauvée des eaux: Colette Brunel

Le sorcier des mers: Mithos Yggdrasill

Allez go! Pour Dragonna en espérant que ça te plaise.

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La petite sirène version homme

Sous les eaux de Sylva'halla se trouvait le royaume de Derris-Kharlan.

* Coupure *

Quoi déjà?!

Botta: Derris-Kharlan c'est pas vraiment là.

Je sais....

Botta: C'est alors pire!

* Reprise*

Il faisait bon vivre à Derris-Kharlan. Il faut dire que le roi était très bon et son peuple l'adorait. Le roi Kratos avait toujours fait passer son peuple avant lui. Sa femme lui avait offert un fils qui ne lui donnait que des joies. Mais Anna était morte....

Le prince Lloyd était un grand rêveur et souhaitait ardemment voir la surface terrestre.

-Mon fils, comme le veut la loi, il te faut attendre d'avoir dix-sept ans.

Lloyd était si impatient qu'il demandait à tous ceux qu'il connaissait comment c'était là haut.

Le meilleur ami de son père, Yuan, lui dit qu'il avait vu, là haut, une femme blonde défoncer à mains nues des rochers...

* Coupure *

Anna: euh on n'est pas dans Naruto là...

Oups ^^

* Reprise *

Non sérieusement, Yuan avait vu des enfants jouer sur une plage. Rien d'extraordinaire. Sheena avait vu des ninjas et Zélos, des filles...

Et victoire! Le jour de ses dix-sept ans, Lloyd alla à la surface.

Le ciel était gris, un bateau d'où on entendait de la musique voguait. Intrigué, il se rapprocha.

Sur ce bastion, on fêtait les seize ans de la princesse Colette. Seulement, un orage éclata et la princesse passa par dessus bord!

Lloyd plongea pour aller la repêcher et la déposa sur une plage près d'un château.

Qu'elle est belle! Pensa Lloyd

Il se mit à fredonner un air très joli. Et oui, notre Lloyd international chante très bien!

La princesse s'éveilla et Lloyd repartit avant qu'elle ne puisse le voir.

A son retour, il raconta à son père son aventure.

Le temps passa mais Lloyd déprimait. Il repensait à la belle jeune fille.

Bien décidé à la retrouver, il alla voir le sorcier Mithos, le seul qui pouvait l'aider.

- Ne dis rien , jeune homme, je sais ce que tu veux. Prends cette potion et bois là. Ta queue

de poisson se transformera en jambes pour un mois . En échange, je veux ta voix.

Lloyd accepta, ayant un peu mal au cœur de quitter son père.

Il but la potion, la transformation s'opéra. Mais elle l'affaiblit et il eut juste le temps d'aller à la surface où il perdit connaissance.

La princesse Colette se promenait sur la plage là où quelques temps auparavant elle s'était échouée. Elle était sûre d'avoir été sauvé par un ondin. Il n'y avait que sur la plage qu'elle se sentait bien. La jeune blondinette vit au loin Lloyd inconscient. Elle se précipita auprès de lui, il s'éveilla peu après.

-Quelle frayeur j'ai eu en vous voyant ainsi! Vous sentez vous mieux?

Lloyd voulut répondre et se rendit compte qu'il avait perdu sa voix.

-Vous ne pouvez parler? Hé bien écrivez vos réponses sur ma main. Qui êtes vous?

Lloyd inscrivit son nom. Colette lui demanda d'où il venait, il répondit qu'il ne pouvait répondre.

-Si vous n'avez nulle part où aller jeune homme, venez donc vivre au château.

Lloyd en fut ravi.

Qu'il se sentait bien auprès de Colette! Il en était sûr, il l'aimait. Mais un jour, il devrait la quitter et il redoutait ce moment.

Le mois passa et il fallut quitter Colette. Il s'était passé bien des choses depuis. Les deux jeunes gens s'étaient avoués leur amour, une révolution avait éclaté, Colette avait tout perdu et là ils étaient sur un bateau afin d'aller ailleurs.

Le sorcier Mithos apparut:

- Lloyd, le mois est écoulé. Tu te dois de retourner dans ton royaume sous-marin. Ta voix est revenue.

-Oui, il le faut. Colette, je dois partir et je crains que ce ne soit définitif.

Mithos ajouta:

- Surtout que ton père est tombé malade peu après ton départ...

-QUOI?!

Colette lui dit:

-Va Lloyd, ton peuple ainsi que ton père t'attendent.

Ils pleurèrent un peu, ils ne voulaient pas que Mithos se foute d'eux. Mais au contraire, il fut touché par cet amour.

- Je peux faire ceci, Lloyd, si tu veux rester sur Terre, je peux te transformer en humain à jamais.

-Mais mon père.....

- Je vais venir avec toi Lloyd. Il ne me reste rien sur Terre. Dit Colette

-Alors je transforme la jolie Colette en sirène.

Aussitôt dit,aussi tôt fait.

Les deux tourteraux plongèrent vers Derris-Kharlan et se rendirent au chevet du roi Kratos, qui se remit vite dès qu'il sût son fils vivant.

Lloyd et Colette se marièrent et eurent beaucoup d'enfants

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Alors?

Mithos: c'est obligé que je sois gentil?

Tu voulais être une fille?

Pas de réponses

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16 octobre 2009

Contes parodiques de ToS - Chapitre 4: Rainedrillon - par Marina Ka-fai

Rassemblement général!

Mes acteurs chéris d'amours bénévoles, venez tous!

Notre nouveau conte sera Cendrillon!

Avec comme couple majeur: RainexRégal!

Raine: C'est vrai?!

Oui Raine c'est vrai! Et nous avons une nouvelle ressuscitée après Martel et Anna: Mylène Wilder!

Zélos: MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN!

Mylène: Zélos, c'est toi?

Zélos: Ben ouais....

Qui ne connais pas l'histoire de Cendrillon?

*sur votre droite vous avez Mithos qui lève la main *

C'est pas grave Mithos, de toute façon, t'es pas dans le staff de ce conte ^^

En parlant du staff, le voilà!

Cendrillon: Raine Sage

Les parents de Cendrillon: Yuan Ka-Fai et Martel Yggdrasill

La belle mère marâtre: Mylène Wilder

Le roi et la reine: Forcystus et Kate (la fille du Pontife pur ceux qui connaissent pas)

Javotte: Zélos déguisé * vous pouvez voir Mithos ravi de ce choix *

Anastasie: Tabatha (l'androïde ressemblant à Martel)

La marraine bonne fée: Pronyma ^^

Lloyd: euh Pronyma en bonne fée?!

Pronyma: Quoi? J'ai pas le profil?

Mais si, t'es parfaite ma grande!

Mithos: C'est surtout ta Désian préférée!

Mais toi aussi je t'aime, d'ailleurs qui aime bien châtie bien, d'où tes rôles féminins auparavant ^^

Kate: Merci de me donner un rôle!

De rien ma puce! Bon je vais m'arranger pour que tu parles un peu parce que dans l'original, on en parle pas trop des souverains ^^

Et toi Forcystus, content?

Forcystus: M'en fous

Bon allez,commençons ^^

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Rainedrillon

Il était une fois un couple de demi-elfes, le plus beau qu'il fut donné de voir. Ils étaient les heureux parents d'une petite fille nommée Raine. Seulement, sa mère, Martel, mourut de maladie alors que la petite avait deux ans.

*Coupure *

Mithos: Marina, je vais te tuer! T'as tué Martel!

Yuan: J'irai pas jusque là mais oui, t'as tué Martel!

Martel: Mais je suis morte dans la fic, pas en vrai!

Merci Martel!

Bon on reprend?

* Reprise *

Yuan en fut fort affecté...En fait il était fou de douleur d'avoir perdu son amour. Il se consacra alors à sa fille. Et après, il se remaria à une humaine afin que sa fille ait quand même l'amour d'une mère. Elle se nommait Mylène et était l'heureuse mère de deux filles:

Zélos et Tabatha.

Zélos était un peu lolita,un peu pimbêche aussi et d'apparence fort masculine.

Tabatha était plus jolie que sa sœur mais aussi plus méchante.

Mais devant Yuan, elles ravalaient leurs défauts et le pauvre n'y vit que du feu.

D'ailleurs, le pauvre rejoignit sa femme au paradis alors que Raine avait six ans, la laissant seule avec sa belle-famille.

* Coupure *

Martel: C'était obligé de tuer Yuan?

Mais c'est fictif Martel ^^

Mithos: Dommage que ce ne soit pas en vrai

Martel: MITHOS!

Yuan: No coment. Au moins je suis réuni à Martel, en ça je suis heureux.

Ha merci Yuan, enfin un heureux!

*Reprise *

Très vite, Raine se fit brimer par sa belle-famille et se vit reléguer au rang de servante. Toujours couverte de cendres, elle fut surnommée Rainedrillon.

Faisons une belle ellipse, Raine a désormais vingt-trois ans.

Au château du roi Forcystus, on s'activait fort. Un bal était organisé pour le prince Régal. Le pauvre avait perdu, il y a trois ans, sa fiancée Alicia. Sa mère, Kate lui avait tenu ce langage:

-Mon fils, je comprends la douleur qui vous anime mais il vous faut la surmonter.

-Mais Mère, prendre épouse signifierait trahir la mémoire d'Alicia.

-Et ne pas en prendre serait trahir vos devoirs en tant que prince héritier. Rien ne vous empêche de continuer à vivre avec le souvenir d'Alicia en étant heureux. Nous allons organiser un bal où vous côtoierez les jeunes femmes du royaume.

-Bien Mère.

Chez les Wilder, c'était l'effervescence! Zélos et Tabatha se préparaient pour essayer de devenir l'Elue du cœur du prince. Raine voulait tant aller à ce bal! Aussi elle alla voir sa belle-mère.

-Mère...voilà...je...me serait-il possible d'aller également au bal du Roi?

-Bien sûr ma chère petite. Zélos et Tabatha ont du tissu à aller acheter pour que tu puisses leur en faire des robes. Elles en prendront pour toi.

Raine n'avait jamais été aussi heureuse! Mais Mylène elle-même ignorait la cruauté de ses filles. Elles revinrent avec du tissu mais pour elles. Une robe pour Zélos, une robe pour Tabatha mais pas de robe pour Raine! Et bien évidement, les filles dirent à leur mère que Raine avait changé d'avis.

Raine était anéantie! Le soir du bal, elle pleurait à chaudes larmes quand soudain, une fée apparut!

-Qui êtes-vous?

-Je suis Pronyma, ta marraine bonne fée! Ma pauvre enfant! Tu voudrais aller au bal n'est-ce pas?

-Oui mais je n'ai ni robe, ni rien!

-Si il ne s'agit que de cela...

Raine se retrouva vêtue d'une sublime robe! Dehors, il y avait un carrosse avec un équipage.

-Va mon enfant, mais sois rentrée avant minuit. A minuit, tout cela disparaîtra!

Raine alla donc au bal. Régal la vit et eut un coup de foudre! Il dansa avec elle, éclipsant toutes les prétendantes!

Seulement, les douze coups de minuit retentirent et Raine partit en vitesse, laissant derrière elle un chausson de verre.

Régal se mit en quête de la belle jeune femme. Chez les Wilder, Raine fut enfermée dans sa chambre car Zélos avait découvert qui elle était vraiment. Régal vint chez eux pour faire essayer la pantoufle aux deux filles.

Pronyma réapparut et ouvrit la porte à Raine qui put essayer la pantoufle qui lui allait parfaitement.

Régal la prit pour épouse et les Wilder pouvaient aller se faire voir ^^

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Alors c'était bien?

Raine: OUI!

Régal: oui

Mithos et Yuan: Non car t'as tué Martel!

Pour une fis qu'ils sont d'accord ^^

Martel: Non car t'as tué Yuan!

Reviews?

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1 octobre 2009

Contes parodiques de ToS - Chapitre 3: Anna et les deux nains - par Marina Ka-fai

Coucou! Eh mes acteurs bénévoles, ramenez-vous!

Mithos: Quoi?

Rassure toi tu ne joueras pas une fille.

Mithos: Oh merci merci merci!

Aujourd'hui notre conte sera Blanche Neige!Et en couple principal: KratosxAnna!

Kratos: C'est vrai?!

Ben..Oui! J'ai même ressuscité Anna pour l'occasion! Et elle repartira avec Lloyd et toi!

Kratos et Lloyd: Elle est où?Elle est où?

Anna: Je suis là! Lloyd comme tu as grandi mon fils! Et toi Kratos, tu es toujours aussi beau!

Bon on va vous laisser vous retrouver hein!

Voici le staff:

Bon là au lieu de sept nains, on en aura que deux: Dirk Irving et Altessa

Blanche Neige: Anna Aurion

Le prince charmant: Kratos Aurion

Le beau-père marâtre: Kvar

Les parents de Anna: Raine et Régal

Le chasseur: Zélos Wilder

Vous êtes tous prêts?

Allez enjoy!

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Anna et les deux nains

Il était une fois, dans le pays de Sylvarant, un roi dans son cercueil, laissant femme et fille en deuil. La reine Raine voulant que sa fille Anna ait une figure paternelle se remaria à un seigneur Désian: Kvar. Seulement elle mourut peu de temps après et Kvar traita la princesse avec dureté. Elle se retrouva au rang de servante. Les années passèrent et Anna devint une magnifique jeune femme. Elle avait de magnifiques cheveux châtains et des beaux yeux noisettes, un teint de porcelaine blanc comme la neige, une grâce indéniable et indicible, une voix enchanteresse. Elle possédait une exsphère héritée de sa mère sur sa main gauche, non-sertie. Elle ignorait que cela était dangereux pour la santé mais elle n'en avait cure. Sa vie téait si dure qu'elle souhaitait en finir jusqu'au jour où elle vit un magnifique jeune homme au loin, attiré par sa voix. Elle chantait en travaillant et il se mit à chanter avec elle .Elle obtenu son nom: Kratos Aurion, prince de Tésséh'alla. Anna tomba sous le charme de cet homme si beau, si charmant, si gentil, si fort, si....

*Coupure *

Raine: Hey c'est pas juste! Tu me tues mon Régal pour me remarier à une tapette comme Kvar!

Mais c'est pour les besoins de la fic ^^

Kratos: Moi je suis très content de faire cette fic

Raine: Normal tu as ta chérie avec toi!

Calme toi, j'avais prévu de remplacer Régal par Rémiel normalement et j'ai cassé Kvar dans une parodie de Pérusse déjà.

Anna: Bien fait!

Kvar: Qu'est-ce qu'elle dit, l'être humaine inférieure?

Kratos: Kvar?

Kvar: Oui?

Kratos: TA GUEULE! ET SI TU TOUCHES A UN SEUL CHEVEU DE ANNA,JE TE CREVE!

Anna: Oh Kratos, tu es si gentil ^^

Kratos: *rougissements *

*Reprise *

Reprenons.

Kvar, de sa fenêtre, avait tout vu. A vrai dire, cela lui plaisait. Si ce Kratos aimait cette fille, il l'épouserait et l'emmènerait. Ça lui ferait des vacances à Kvar.

Il alla voir son miroir magique et demanda:

-Miroir mon beau miroir, Anna aime t-elle cet homme?

-Assurément mon roi.

-Miroir mon beau miroir, qui est le plus cruel ici bas?

-Vous mon roi!

-Miroir mon beau miroir, qui possède la plus belle exsphère du pays?Moi?

-Votre exsphère est très belle, oh mon roi, mais celle d'Anna est mille fois plus belle que la votre.

-QUOI?! Zélos au pied!

Le chasseur entra.

-Oui mon roi?

-Emmène Anna dans la forêt, tue-la et ramène moi son exsphère dans cet écrin de velours.

Et il s'exécuta. Mais arrivé dans la forêt il ne put la tuer. Il prit alors son vieux cristal du Cruxis et l'amena à Kvar qui fut satisfait.

Anna, quand à elle, déambulait dans la forêt et tomba sur une petite maison très sale. Elle décida de la nettoyer en attendant les propriétaires mais elle était si fatiguée qu'elle s'endormit.

Les proprios revinrent. Il s'agissait de deux nains: Dirk et Altessa.

Ils trouvèrent Anna et attendirent qu'elle se réveillât. Ils lui proposèrent le gîte en échange d'être la maîtresse de maison, elle accepta. Dirk en fut si heureux qui lui fabriqua un serti-clé

pour son exsphère désormais inoffensive. Anna vécut donc au rythme métro, boulot,dodo. Elle était heureuse mais le souvenir de Kratos la hantait. Pour se changer les idées, elle fit une tarte aux prunes. Un vieil homme, qui n'était autre que Kvar déguisé, vint la voir.

-Ma mignonne,que fais-tu donc?

-Une tarte aux prunes pour Dirk et Altessa.

-Comme c'est gentil mais entre nous, les hommes préfèrent les pommes. Si tu veux, je peux t'en donner. Veux tu en goûter une?

-Eh bien oui.

Anna croqua la pomme empoisonnée à pleine dents et tomba inconsciente. A leur retour, Dirk et Altessa la trouvèrent. La croyant morte, ils luis fabriquèrent un beau cercueil en verre pour pouvoir admirer sa beauté.

Quelques jours plus tard, Kratos passait par cette maison.

-Holà de la maisonnette! Il y a t-il quelqu'un?

Les deux nains sortirent.

-Bonjour Messieurs! Je suis à la recherche de la princesse Anna.

Dirk lui dit:

-Ah mon bon Monsieur, si vous voulez la voir suivez-moi.

Il le mena à la dépouille d'Anna. Kratos en eut le cœur brisé.

-Permettez moi, en guise d'adieu, de l'embrasser pour la première et dernière fois.

Altessa leva la vitre de verre et Kratos déposa un baiser sur les lèvres de son aimée.

Un morceau de pomme tomba de la bouche de la soi-disant défunte qui s'éveilla aussitôt, dans les bras de Kratos.

-Mon prince?! Vous ici?! Mais que?

-Je vous en prie, ne dîtes rien et suivez moi à Tésséh'alla. Je veux vous sauver de ce monde dangereux.

-Mais Dirk et Altessa?

-S'ils le veulent, ils peuvent venir.

Et les nains les suivirent. Les amoureux se marièrent et eurent un magnifique petit garçon: Lloyd.

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

Et voilà!

Anna: C'était chouette

Kratos: Je confirme!

Lloyd: Tu vas rester avec nous, maman?

Anna: Evidemment. Le paradis est un enfer sans vous ^^

Kratos: Attendez moi juste un instant * pars zigouiller Kvar pour être plus sûr *

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1 octobre 2009

Contes parodiques de ToS - Chapitre 2: La belle au bois dormant - par Marina Ka-fai

Oyé oyé braves et fidèles compagnons!

Nous allons aujourd'hui vous interpréter un nouveau conte!

Mithos: Qui te dit qu'on est d'accord?

Lloyd: Tu lui en veux toujours pour le déguisement?

Mithos: Oui

Ce sera un YuanxMartel!

Mithos: Quoi?!

Yuan: Ah chouette! ^^

Martel: je plussoie! * ça veut dire qu'elle est d'accord *

Mithos: Il est hors de question que je laisse ma sœur à ce gars!

Dommage Mithos, je te réservais le bon rôle figure-toi et...tu l'auras!

Le conte de la Belle au bois dormant *et les persos de TOS * n'est pas à moi soit dit-en passant

Voici le staff:

La princesse: Martel Yggdrasill

Le prince: Yuan Ka-Fai

Les trois fées: Préséa Combatir, Raine Sage et Colette Brunel

La méchante fée: Sélès Wilder

La fée salvatrice: Mithos Yggdrasill

Le roi: Zélos Wilder

La reine: Sheena Fujibayashi

L'homme qui raconte la légende: Régal Bryant

Mithos: je joue encore une fille?

Mais tu sauves ta sœur de la mort Mithos!

Et puis pour Sheena et Zélos, bon ils sont bons comédiens alors ça ira ^^

enjoy

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Martel au bois dormant

Il était une fois, dans le royaume merveilleux de Tésséh'alla un roi et une reine qui se languissaient de ne pas avoir d'enfant. Leur bonté auprès du peuple attirèrent sur eux la bénédiction des fées qui firent en sorte qu'ils puissent avoir un bout de chou à eux.

Neuf mois plus tard, la reine Sheena et le roi Zélos furent les parents d'une charmante petite fille qu'ils appelèrent Martel.

Afin de fêter sa naissance, ils organisèrent une grande fête et invitèrent trois fées pour devenir les marraines de la petite princesse.

La première fée se pencha sur son berceau et souhaita:

-Je te fais don d'une santé de fer et d'une beauté sans égale ainsi que d'une poupée bûcheron

La deuxième la bénit ainsi:

-Je te fais don de l'intelligence et de la connaissance et d'un beau livre sur toutes les ruines de ton royaume

La troisième allait faire son vœu quand une nouvelle fée débarqua. La fée Sélès, furieuse que l'on ne l'ait pas invitée.

-Ainsi on m'oublie! Et pourtant moi aussi j'ai un cadeau pour la petite Martel! Le jour de ses seize ans, elle se piquera le doigt sur un rouet et elle en mourra!

Sélès disparut en laissant une assemblée désemparée.

*coupure*

Mithos: C'est obligé la robe et les talons aiguilles?

Auteur: Oui

Zélos: Oh quelle belle demoiselle!

Mithos: Casse toi pauvre débile!

Auteur: Mithos, grouille, t'as la séance maquillage!

Sur votre droite vous avez les groupies de Zélos armées de trousses à maquillage.

Auteur: Rassure-toi Mithos, t'auras une augmentation!

Mithos: J'ai pas de salaire!

Martel: Allez petit frère, pour le bien du théâtre et pour ceux qui t'admirent ^^

une minute de silence pour le calvaire de Mithos

*reprise*

La fée Mithos qui avait tout entendu fit alors ce vœu:

-Je te fais don de la vie. Tu te piqueras le doigt à seize ans mais tu ne mourras pas, tu seras endormie ainsi que tout le royaume jusqu'à ce qu'un prince amoureux de toi vienne et t'embrasse d'un amour pur et sincère.

La fée Colette finit la séance de cadeau ainsi:

-Je te fais don de la vertu et de la dévotion. Et aussi tiens, un doudou en forme de marteau. Bon c'est pas tout ça mais j'ai rencart avec Lloyd! Salut la compagnie!

Après cette fête, le roi fit brûler tout les rouets du royaume. Mais il oublia celui d'exposition du grenier, ça c'est con.

Seize ans passèrent. Martel était devenue une magnifique jeune fille, belle, vertueuse, intelligente, drôle et....enfin bref, elle était parfaite quoi qu'un peu naïve.

L'un de ses hobbies étaient de déambuler dans le château, dans les lieux où jamais on ne pourrait croiser une princesse. Elle décida de visiter le grenier. Elle y croisa une vieille dame qui n'était autre que Sélès, déguisée , qui voulait faire en sorte que sa prophétie se réalise.

Martel n'avait jamais vu de rouet et encore moi quelqu'un filer de la laine aussi elle s'instruisit auprès de la fée.

-Oh mais? Qu'est-ce donc que ceci?

-c'est un rouet ma petite, cela sert à filer de la laine. Veux-tu essayer?

-Oh oui!

Martel essaya, s'en sortait bien mais se piqua le doigt avant de tomber raide.

-AHA! Ça y est! S'exclama Sélès

Mais, elle n'est pas morte! Satané fée salvatrice, Mithos je te hais! Tu dormiras Martel mais j'empêcherai ton réveil!

Sélès lança un sort et des épines entourèrent le château endormi. Tout ceux qui s'en sont approché sont morts.

Quelques temps plus tard, un prince du royaume de Sylvarant voyageait à Tésséh'alla.

Il se nommait Yuan Ka-Fai. Sa beauté et son courage faisaient craquer toutes les jeunes femmes de la Cour.

Mais ils ne les aimaient pas et s'était mis en tête de trouver celle qui l'aimerait pour ce qu'il était et non pour ce qu'il représentait.

Il vit au loin le château du roi Zélos et intrigué, il demanda des précisions à son serviteur, Régal Bryant.

-Il s'agit du château du roi Zélos Wilder. Sa fille Martel avait été maudite à sa naissance, condamnée à mourir à seize ans. Mais on dit qu'elle fut sauvée grâce à la fée Mithos qui a fait en sorte qu'elle dorme jusqu'à ce qu'un homme qui l'aimerait d'un amour sincère la réveille. Mais la fée Sélès,qui l'a maudite, tue ceux qui veulent la sauver.

Régal montra à son maître un portrait de la jeune princesse. Yuan ne put s'empêcher d'admirer cette beauté parfaite.

-Régal, c'est décidé! Je vais réveiller Martel!

-Quoi?! Cupidon arrête de tirer te flèches!

- Tu m'as entendu! Je veux réveiller Martel!

Ils galopèrent jusqu'au château où Sélès attendait.

-Qui es-tu beau jeune homme anonyme?

-Je suis le prince de Sylvarant, Yuan Ka-Fai. Je suis ici pour réveiller Martel!

-Je ne laisserai personne la réveiller!

Sélès invoqua des dragons qui attaquèrent le prince. Mais Yuan les trancha en deux minutes top chrono!

Puis il tenta d'argumenter avec Sélès mais celle-ci ne voulait rien entendre et menaça de brûler le château. Elle n'en n'eut pas le temps, elle fut empalée par Yuan pour Crime à l'humanité, tuer une jeune fille aussi belle, même en insinuation était un pêché selon lui.

Le prince pénétra dans le château endormi, monta jusque dans la chambre de Martel. Elle était encore plus belle en vrai. Et timidement, il effleura ses lèvres. La belle s'éveilla. Gêné, Yuna recula.

-Je...je suis....

-Je sais qui vous êtes. dit Martel

Dans mon sommeil, j'ai vu tout ce qu'il se passait au dehors. Je vous remercie pour tout.

La vie reprit à Tésséh'alla et quelques mois plus tard, le monde de Sylvah'alla vit le jour grâce au mariage de nos deux amoureux: Yuan et Martel

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Alors c'était comment cher lecteur? ^^

Et mes acteurs ils en ont pensé quoi?

Yuan: C'était sympa.

Martel: Je confirme!

Mithos: J'en ai marre de jouer des filles!

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1 octobre 2009

Contes parodiques de ToS - Chapitre 1: Le petit chaperon rouge - par Marina Ka-fai

Hello les gens!

Me revoici avec un conte remixé avec TOS. Surtout, pensez très fort à Monsieur Hamel,mon prof d'anglais, c'est lui qui m'a inspiré cela ^^.

Pour le staff alors nous avons:

Le petite chaperon rouge: Lloyd

Les parents ( normalement y'a que la mère mais bon): Kratos et Dirk ( père de sang et père de cœur)

Le grand méchant loup: Mithos sous sa forme de chef du Cruxis

Le bûcheron: Préséa

La grand-mère: Marble

et d'autres seconds rôles bien sûr.

Ni le conte, ni les personnages de TOS ne m'appartiennent.

Allez enjoy.

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Le petit chaperon rouge

Il était une fois, dans le monde de Sylva'halla, un jeune garçon à l'innocence et la gentillesse incomparables. Rien d'étonnant à cela quand on savait que son père était un ange.

Ce charmant adolescent était vêtu de rouge, ce qui lui valait le surnom de « Petit Chaperon Rouge », bien qu'il ne fut pas petit de taille. Et pourquoi Chaperon? Lloyd jouait les coursiers pour Dirk, un nain forgeron chez qui il logeait avec son père Kratos. Il adorait aller à Isélia, un charmant petit village et.....

*coupure *

Lloyd: Hey! Pourquoi c'est moi qui joue ce rôle?

L'auteur: Bien parce que....

Colette: Tu es le seul à porter du rouge.

Lloyd: Zélos aurait pu faire l'affaire non?

L'auteur: Non car le petite chaperon rouge a des vêtements rouges et non pas les cheveux rouges. Et arrête de te plaindre, sinon ce sera régime tomate pendant une semaine!

*reprise *

Je disais donc....

Un beau jour d'été, Dirk confia une commission à Lloyd, qui fut très content. Il faut dire qu'il y avait une jolie petite blonde à Isélia qui l'aimait bien et qu'il aimait beaucoup. Aller à Isélia signifiait la voir ne serait-ce que quelques minutes, quel bonheur pour un adolescent énamouré d'une ancienne élue....

Enfin bref, voici ce que Dirk lui demanda:

-Lloyd, j'aurais besoin que tu portes ce serti-clé à une vieille dame d'Isélia. Elle s'appelle Marble.

-D'accord!

-Surtout sois prudent dans la forêt. Rajouta Kratos

-Promis!

Pour ce rendre à Isélia, il fallait passer par la dangereuse forêt d'Isélia, remplie de blobs, de guêpes, de lapins et de ......bon bref!

Lloyd prit le serti-clé et s'en alla. Il faisait beau, la nature était belle.

Sur le chemin, il croisa un homme. Étant bien éduqué, il lui dit bonjour et lui demanda s'il s'était égaré.

-Pas du tout! Je me promenais juste jeune....comment t'appelles-tu jeune homme?

-Lloyd, Lloyd Irving-Aurion.

-Et que fais-tu dans la forêt seul, jeune Lloyd?

-J'apporte un sert-clé à une vieille dame qui s'appelle Marble. Elle vit à Isélia.

-Que de bons sentiments! C'est rare de voir des jeunes aussi charitables de nos jours. Je dois te quitter ici, bon voyage cher Lloyd.

-merci Monsieur....euh j'ai pas saisi votre nom.

-C'est normal je ne te l'ai pas donné. Je suis Mithos Yggdrasill.

Mithos le quitta ainsi et Lloyd poursuivit son chemin. De son côté, Mithos jubilait!

Il allait enfin pouvoir faire payer à Kratos sa trahison. Il avait trahi le Cruxis pour vivre avec son fils et il ne le supportait pas! Alors pour ce venger, il allait se débarrasser de Lloyd.

Passant par un raccourci, il arriva jusque chez Marble qu'il enferma dans sa cave, baillonée et là il.....

*coupure *

Mithos: Non! Je ne me déguiserai pas en vieille!

L'auteur: S'il te plaît Yggdrasill! Pour tes fans!

Mithos: Et mon honneur alors dans l'histoire?

Yuan: Il y a longtemps que t'en a plus.

Mithos: Qu'est-ce qu'il dit le bleuet?

Yuan: Qu'il est temps que tu consultes un ORL! J'ai dit que t'avais plus d'honneur depuis longtemps blondinet de beau-frère!

Mithos: ne m'appelle jamais comme ça!

L'auteur: Bon ça suffit là! Non mais oh! La honte....

Lloyd: Moi je me suis fait une raison alors.....

*reprise *

Je reprends!

Mithos, après avoir neutralisé Marble, se déguisa en la vieille dame et se planqua sous la couverture, attendant sa proie.

Lloyd, lui, ne se doutait de rien. Arrivé à Isélia, il demanda à Colette où vivait Marble puis lui offrit un joli bouquet de marguerite qu'il avait cueilli exprès pour elle, le galant homme!

Devant la maisonnette, il frappa:

-Marble, c'est le petite chaperon rouge, Lloyd! Je vous apporte un serti-clé pour votre exsphère.

-Tire la bobinette et la chevillette chèrera.

Lloyd entra et vit une forme dans le lit. Il en déduisit que Marble devait être un peu malade alors elle s'était couchée. Mais il y avait quelques détails qui le chiffonait.

-Euh Marble, que vous êtes grande!

-C'est pour mieux profiter de la chaleur du soleil mon enfant.

-Et vos cheveux sont devenus si blonds!

-C'est pour paraître plus jeune et draguer le maire mon enfant.

-Et comme vous....

- Oh et puis merde!

Mithos se leva d'un bond et tenta d'embrocher Lloyd avec son arme. Surpris, le jeune homme ne put s'empêcher de crier.

Une jeune bûcheronne avait tout entendu et décida d'aller aider la pauvre victime innocente.

Elle se nommait Préséa Combatir et elle était la plus jeune bûcheronne du village.

Elle assomma après un rude combat Mithos, qui fut remis aux autorités, et libéra Marble qui eut son beau serti-clé en minerai inhibiteur top classe.

Pour finir, Lloyd se fit consoler de son agression par la gentille Colette.

Moralité: Lloyd, si tu veux des câlins et des bisous de Colette, fais-toi plus souvent aggresser!

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Enfin fini!

Alors c'était comment?

Mithos: Marina je vais te tuer!

Yuan: Tue l'une de mes fans et je t'envoie auprès de Martel, paix à son âme!

Mithos: euh.....vas-y!

Lloyd: Pourquoi j'ai l'air d'une chochotte là-dedans?

Kratos: Et moi d'un père poule?

Colette: Moi je suis contente ^^

Lloyd: Moi aussi, le bon côté dans cette histoire, c'est que je suis avec Colette ^^

Bon, je vois que tout va bien alors!Et toi Préséa?

Préséa: C'était une bonne expérience. Chance de la renouveler: 100%

Merci^^

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1 octobre 2009

Parodie de ToS - Chapitre 11: Consulter un psychologue de couple - par Marina Ka-fai

Hello les gens !

Me revoici avec une parodie basée sur le sketch Consulter un psychologue de couple de François Pérusse. Mon open office étant mort ce texte est fait sur Word, pardon pour la mauvaise qualité.

Staff :

L’homme : Forcystus

La femme : Kate

Le psy : Zélos

Oui c’est un ForcystusxKate ( la fille du Pontife ^^ )

Enjoy

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Consulter un psychologue de couple

Forcystus : Et tu crois que ça va être efficace pour nous ça ?

Kate : T’as une autre solution ?

Forcystus : Et dis tu crois que ça va être notre tour bientôt parce qu’tu commence déjà a m’énerver.

Kate : C’est ça ta gueule…

*Un couple sort de la salle.*

Yggdrasill : Alors voilà comment tu me défends ?!

Pronyma : Salop !

Yggdrasill : Ouais ça me fait de la peine !

Pronyma : Ha va chier !

*Le psychologue les appelle.*

Zélos : Monsieur et Madame Hikari , s’il vous plaît .

Kate : Oui on arrive.

Forcystus : Ouais on arrive Docteur.

*Ils entrent.*

Zélos : Ah, comment allez-vous ?

Forcystus et Kate : Ouais

Zélos: Haha prenez siège.

Kate: Merci.

Zélos : Alors qu’est-ce qui ne va pas ?

Forcystus et Kate : Ben c’est lui/elle….

Zélos : Tututu on ne rejette pas la faute sur l’autre personne.

Forcystus et Kate: C’est lui/elle qui rejette la faute sur moi.

Zélos : Tutututu.

Forcystus : Et dit donc z’êtes sur que vous êtes un vrai psychologue ?

Zélos : Regardez sur le mur.

Zélos : Alors comme ça on se fait la gueule ?

Forcystus : Tout à fait.

Zélos : Bon alors en quoi vous sentez vous insatisfait ?

Forcystus : Ben il arrête pas de/

Zélos : Tututu je ne parle pas de lui je parle de vous.

Forcystus : Ouais mais…

Zélos : Vous devez répondre en ‘’je’’.

Forcystus : Bon alors…

Zélos : Parlez en ‘’je’’ !

Forcystus : Bon alors elle arrête pas de…..

Zélos : En ‘’je’’ !

Forcystus * s’énerve * : Je il arrête pas je de me faire chier je !!

Zélos : Et Madame Hikari?

Kate : Ben…

Zélos : N’oubliez pas le ‘’je’’…

Kate : Je qu’il aille se faire foutre.

Zélos : Vous n’êtes pas d’accord l’un et l’autre ?

Forcystus et Kate : Non…

Zélos : Depuis combien de temps êtes-vous ensemble ?

Kate : 8 ans.

Zélos : Et depuis combien ça va mal ?

Kate : 6 mois.

Forcystus : 3ans.

Zélos : Vous vous êtes déjà séparés ?

Forcystus : 2 fois.

Kate: 18 fois.

Zélos : Et combien font 2 et 2 ?

Kate : 4.

Forcystus : 3.

Zélos : Et quel est l’artiste qui vous tape le plus sur les nerfs ?

Forcystus et Kate : Patrick Bruel…

Zélos : Vous voyez, vous avez quelque chose en commun.

Forcystus : Difficile de pas être d’accord là-dessus…

Zélos : Vous êtes mariés ?

Forcystus et Kate : Ouais…

Zélos : Par l’église ?

Kate : Non par erreur…

Zélos : Mais est-ce qu’il vous arrive quand même de vous dire parfois ‘’je t’aime’’ ?

Forcystus: Oui c’est d’ailleurs exactement c’qu’on s’dit…

Zélos : Ah oui ?

Forcystus : ‘’Parfois je t’aime’’…

Zélos : Mr Hikari est-ce que votre femme vous dit ‘’je t’aime’’ ?

Forcystus: Ca arrive mais j’la crois pas.

Zélos : Vous vous parlez calmement ?

Forcystus : Mais ça fait des années qu’il me ment.

Kate : Tssss

Zélos : Madame Hikari vous donnez de l’attention à votre mari ?

Kate : Mais bien sûr que j’lui donne d’l’attention.

Forcystus : Tellement de tension que je suis d’ailleurs tout tendu.

Zélos : Mr Hikari caresse-t-il sa femme ?

Forcystus : Non d’ailleurs elle ne le fait pas non plus…

Kate : Même pas vrai…

Forcystus : Mais je comprend vous savez, ma femme vieillit, elle n’est plus très fraîche …

Kate : Roh salop !

Zélos : Et vous Madame Hikari ?

Forcystus : Non j’viens d’vous l’dire, elle ne suce pas, elle s’use.

Kate : Ta gueule. Il dit ça mais il est toujours en érection.

Zélos : Et ça n’vous excite pas ?

Kate : Ca m’répugne.

Zélos : Mais pourtant ça n’vous engage à rien.

Kate: Au contraire dans sa tête sa m’engage à quek’chose.

Zélos : Mais pas du tout faut s’habituer.

Kate : Au contraire il faut tuer sa bite.

Zélos : N’avez jamais essayer de retourner à des endroits, des lieux ou vous parliez de projet, d’amour ?

Forcystus : Oui on pense à retourner chez le notaire bientôt

Zélos : Fff, vous avez apporté les lettres que je vous avais demandées ?

Forcystus : Oui voilà, ça c’est une lettre que je lui avais écrit quand tout allait bien au début…

Zélos : Ah lettre d’amour.

Forcystus : Oui, mais au tout début quoi…

Zélos : «Tu vas voir salope, c’que tu vas prendre, espèce de grosse vache…»

Forcystus* gêné* : Haha

Kate *gênée* : Hihi, c’était nos ‘tit fantasmes…

Zélos : Je comprend, et vous avez de ces lettres plus hostiles ?

Kate : Oui voilà tenez, ça c’est c’qui m’a écrit la semaine dernière…

Zélos : D’accord, «Tu vas voir salope, c’que tu vas prendre, espèce de grosse vache…»

Kate * en pleurs * : Ha, C’est pas possible que tu ais pu m’écrire une chose pareille !

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Ca vous a plut ?

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1 octobre 2009

Parodie de ToS - Chapitre 10: Questionnaire 2 - par Marina Ka-fai

Allez c'est au tour des filles maintenant!

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Interview des filles de tales of Symphonia

Ce soir nos invités sont: Anna Aurion, Colette Brunel, Martel Yggdrasill, Raine Sage, Préséa Combatir et Sheena Fujibayashi

Toutes: Bonsoir!

1). Quel age avez vous?:

Sheena: 19 ans

Colette: 16 ans

Préséa: De corps 12 ans, en vrai 28 ans

Anna: Quand je suis morte, j'ai arrêté de vieillir et là vu que je suis ressuscitée j'ai gardé mes 24 ans.

Raine: 23 ans

Martel: Plus de 4000 ans

2).votre taille?:

Colette: 1m57

Anna: 1m75

Préséa: 1m38

Martel: 1m80 et demi, c'est important le demi ^^

Raine: 1m66

Sheena: 1m64

3).vous avez des mauvaises habitudes?:

Anna: Je suis accro à mon chéri

Colette: Je suis maladroite

Raine: Je deviens dingue quand je vois des ruines

Préséa: Je manque d'émotionalité

Martel: Je deviens vite un symbole religieux

Sheena: je frappe tout le temps un pervers nommé Zélos

4).vous êtes vierge?:

Anna: J'ai eu un enfant avec mon époux donc tirez-en vos conclusions.

Colette:* trop rouge pour répondre et trop innocente sans doute *

Préséa: A cause du temps que j'ai perdu avec mon exsphère qui a bloqué mon métabolisme, oui

Raine: Je ne vous dirai rien

Martel: C'est très impudique comme question

Sheena: C'est Zélos qui a posé cette question?

5).vous avez un compagnon / conjoint?:

Martel: YUAN! ^^

Anna: KRATOS! ^^

Raine: J'ai....une relation avec Régal Bryant....

Préséa: Génis

Sheena: Un certain rouquin, pervers

Colette: Lloyd

6). vous avez des enfants?

Anna: Lloyd.

Martel et les autres: non.

7).nourriture préférée?

Toutes: pas d'idées précises

8).vous avez déjà tué?

Anna: Non

Martel: Non
Sheena: Oui

Raine: Oui

Préséa: Oui

Colette: Oui

9).détestez vous quelqu'un?

Anna: Kvar
Martel: euh je sais pas trop
Sheena: Kuchinawa à cause de sa trahison
Colette: Personne

Raine: pas vraiment

Préséa: Vharley

10).des secrets personnels?

Anna et Martel: Nous aimons deux Séraphins et nous avons été ramenées d'entre les morts.

Préséa: J'ai 28 ans mais à cause de mon exsphère qui parasitait mon corps, je suis resté physiquement à l'âge de douze ans.

Raine: je suis une demi-elfe de Tesséh'alla

Sheena: J'ai été adoptée par le chef Igaguri de Mizuho

Colette: je ne tiens pas à m'étaler

11).vous aimez quelqu'un?

Anna: Mon mari et mon fils!

Martel: Mon fiancé, mes amis et mon petit frère

Raine: Régal, mes élèves, mon frère cadet, mes amis et LES RUINES !

Sheena: Mon grand-père et Zélos ainsi que tout mes amis

Colette: Mes amis, ma famille et Lloyd

Préséa: Ma sœur qui est morte, mes parents qui sont morts et Génis qui est vivant

12).TACOS?

Tous: c'est quoi ça?

Anna: faudra me donner la recette ^^

13).avez vous déjà dormi toute une journée?

Anna: Après avoir accouché de Lloyd
Martel: J'ai dormi pendant 4000 ans dans la graine suprême
Préséa, Colette, Sheena et Raine: oui suite à une soirée qui a duré jusqu'à l'aube

14).couleurs des yeux?

Colette Préséa et Raine: bleus
Sheena et Anna: Bruns
Martel: Verts

15).couleurs des cheveux?

Martel : verts

Raine: platine

Colette: blond

Préséa: Rose

Anna: châtain

Sheena: noir bleuté

16).la pluie ou le soleil?

Préséa: la pluie

Colette: les deux

Anna: soleil

Martel: les deux

Raine: les deux

Sheena: soleil

17).piscine ou plage?

Colette : les deux
Martel: La plage
Sheena: je m'en fiche royalement
Anna: plage
Préséa : peu importe

raine: Aucun des deux j'ai peur de l'eau

18).camping ou rester a la maison?

Anna: peu importe

Martel: Camping

Préséa: M'en fiche

Colette: C'est pareil

Sheena: Maison

Raine: peu m'importe

19).chat ou chien?

Sheena: Chat!
Colette: Chiens power!
Martel: je m'en fiche, j'aime les deux.
Préséa et Raine: idem

20).que faites-vous pour vous détendre?

Martel: je mate Yuan

Colette: je prie et je vais voir Lloyd

Préséa: je coupe du bois

Sheena: je tape Zélos

Raine: Je lis

Anna: Je regarde les deux hommes de ma vie s'entraîner ensemble à l'épée ( Kratos et Lloyd )

21).quel est votre travail?

Raine: Enseignante à Isélia

Préséa: Bûcheronne

Colette: Élue

Martel: Ancienne Déesse

Sheena: Ninja

Anna: Mère au foyer

22).toutes choses inhabituelles sur vous?

Martel: Je ne vieillit plus
Colette: J'ai des ailes que je peux faire disparaître

Raine: J'ai une espérance de vie de 1000 ans

Préséa: Je vais vivre plus longtemps que la moyenne des Hommes

Anna: J'avais une exsphère qui désormais appartient à mon enfant

Sheena: Je suis responsable d'une hécatombe dans mon village

23).fille ou garçon?

Toutes: CA SE VOIT NON?

24).aimez-vous les crêpes?

Tout le monde: oui

25).derniers mots?

Sheena: Zélos arrête de draguer la camériste !
Raine: Au revoir

Préséa: Hm

Colette: Merci beaucoup

Anna: C'est pas tout ça fat que je file

Martel: Idem

au revoir!

Toutes: Bye!

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Les filles sont apparemment plus patientes que les garçons ^^

ça vous a plût?

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1 octobre 2009

Parodie de ToS - Chapitre 9: Questionnaire - par Marina Ka-fai

Avouez! Vous attendiez ce moment avec impatience n'est-ce pas?

Voici l'interview des plus beaux garçons du jeu TOS

Merci à ma juju pour les questions! Elles sont sur le skyblog:sonadow edaline! C'est elle qui m'a donné l'idée!

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Interview des beaux gosses de tales of Symphonia

Ce soir nos invités sont: Kratos Aurion, Yuan Ka-Fai, Mithos Yggdrasill, Lloyd Irving et Zélos Wilder

Lloyd : Bonsoir tout le monde!
Mithos: Salut tout le monde!
Yuan:Bonsoir!
Kratos:Bonsoir!
Zélos: Salut la compagniiie!!

1). Quel age avez vous?:

Yuan, Mithos et Kratos: plus de 4000 ans * comment ils font pour être aussi bien à leurs âges?! OO *
Zélos: 22 ans
Lloyd: 17 ans

2).votre taille?:

Lloyd:

1 mètre

73
Zélos:

1 mètre

et

79 centimètres


Kratos: 1m 86
Yuan: Idem
Mithos: Ma vraie forme ou ma forme de chef du Cruxis?

3).vous avez des mauvaises habitudes?:

Zélos: Je drague à tout va
Lloyd: je suis trop gentil
Kratos: trop secret
Yuan: peut-être un peu agressif
Mithos: je veux ramener ma sœur à la vie

4).vous êtes vierge?:

Zélos: Hey j'ai une réputation moi! je dois prouver mon amour à mes chéries!
Lloyd: Euh désolé je suis pas vierge moi, je suis du mois de juillet! donc cancer ^^
Kratos: Vu que j'ai un fils, vous avez votre réponse.
Yuan: vous n'avez pas à le savoir.
Mithos: pour une fois je suis d'accord!

5).vous avez un compagnon / conjoint?:

Lloyd: Colette ^^
Zélos: Mon harem de courtisanes!
Kratos: Ma défunte femme Anna
Yuan: Ma défunte fiancée Martel
Mithos: célibataire endurci

6). vous avez des enfants?

Lloyd: Non
Yuan: Non
Mithos: Non
Zélos: pas à ma connaissance
Kratos: oui, Lloyd

7).nourriture préférée?

Mithos: J'en sais rien moi
Les autres: pareil

8).vous avez déjà tué?

Kratos: Oui *son regard s'assombrit *
Yuan: Oui
Mithos: Oui
Zélos: Oui pour me défendre
Lloyd: des désians

9).détestez vous quelqu'un?

Lloyd: Kvar
Kratos: idem
Mithos: Yuan
Yuan: Mithos * un peu forcé mais bon *

Zélos: le pontife

10).des secrets personnels?

Kratos: dans cette question, il y a le mot secret, donc si on les révèlent ils ne sont plus secrets.
Les autres: on plussoie!

11).vous aimez quelqu'un?

Lloyd: Colette, mes amis et mes deux papas! * lloyd a son père biologique vivant et un père adoptif *
Kratos: Mes amis, ma femme et mon fils. Oui Yuan ,tu comptes dans mes amis.
Yuan: Mes amis et ma fiancée. Merci Kratos et c'est réciproque en plus.
Mithos: mes anciens compagnons

12).TACOS?

Tous: c'est quoi ça?

13).avez vous déjà dormi toute une journée?

Kratos: Non
Yuan: Non
Mithos: Non
Zélos et Lloyd: oui suite à une soirée qui a duré jusqu'à l'aube

14).couleurs des yeux?

Zélos: bleus
Yuan: Bleus
Mithos: Verts
Lloyd: Bruns
Kratos: regardez mes yeux et vous saurez ( quelle question conne! )

15).couleurs des cheveux?

Kratos: même réponse que précédemment
Les autres: on suit.

16).la pluie ou le soleil?

Zélos: SOLEIL!
Lloyd: soleil
Yuan: je m'en fiche
Mithos: idem
Kratos: les deux

17).piscine ou plage?

Zélos: les deux, on peut draguer
Lloyd: La plage
Mithos: Euh...je ne sais pas...la plage peut-être...
Kratos: plage plutôt
Yuan : peu importe

18).camping ou rester a la maison?

TOUS: Camping


19).chat ou chien?

Zélos: Chat!
Lloyd: Vive les chiens!!!
Kratos: je m'en fiche
Yuan et Mithos: idem


20).que faites-vous pour vous détendre?

Lloyd: Je me bats à l'épée
Zélos: Je drague
Yuan: Je me balade
Mithos: J'emmerde les humains
Kratos: ça dépend


21).quel est votre travail?

Kratos: Mercenaire
Yuan: chef des Renégats
Mithos: Chef du Cruxis et des désians
Lloyd: je protège Colette
Zélos: Élu


22).toutes choses inhabituelles sur vous?

Yuan,Kratos et Mithos: On ne vieillit plus
Lloyd et Zélos: On a des ailes qu'on peut faire disparaître


23).fille ou garçon?

Kratos: Je croyais qu'on avait touché le fond mais en fait on creuse encore
Yuan: C'est quoi cette question nullisime?
Mithos: Ouais d'abord?
Zélos: Oui franchement!
Lloyd: Garçon


24).aimez-vous les crêpes?

Tout le monde: oui


25).derniers mots?

Kratos: Enfin fini
Yuan: A qui le dit tu!
Mithos: Quelqu'un veut pas se sacrifier pour que ma sœur puisse ressusciter?
Zélos: Femmes je vous aime
Lloyd: Merci de m'avoir invité


au revoir!

Kratos: Adieu plutôt! Qu'est-ce qui m'a pris de vouloir suivre Lloyd
Yuan: Au revoir
Mithos: Bye
Zélos: OH NON! JOLIE PRESENTATRICE, RESTEZ AVEC MOI!
Lloyd: à la prochaine

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Vous êtes contents?

Après c'est au tour des filles ^^

Merci aux participants ^^

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