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Tales of Symphonia for ever
16 octobre 2009

Contes parodiques de ToS - Chapitre 6: Les fées - par Marina Ka-fai

Hello les amis!

Me voici avec une jolie histoire de Charles Perrault: les fées

Lloyd: C'est quoi le couple ce coup-ci?

PronymaxMithos sous sa forme de chef du Cruxis

Mithos: QUOI?!

Pronyma: *aux anges*

Allez voilà le staff:

La gentille jeune fille: Pronyma ( Mithos : c'est juste parce que tu l'aimes bien )

Sa sœur ainée: Raine Sage ( désolée raine je compte sur toi )

Leur mère: Sheena Fujibayashi

La fée: Kratos

Kratos: Quoi?!

Je déconne ^^ Ne me lance pas un Jugement s'il te plait ^^'

La fée: Anna Aurion

Le prince: Mithos Yggdrasill

Le père mort: Kvar juste pour le fait de le voir mort ( sauf que le descriptif du père est ironique)

Kratos: Tu veux que j'en fasse un cadavre TRES réaliste? ^^

Vas-y je peux pas le saquer mais mollo, on en a besoin.

Enjoy

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Les Fées

Il était une fois une veuve qui se nommait Sheena Fujibayashi, elle avait deux filles; l'aînée, Raine, lui ressemblait si fort et d'humeur et de visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, Pronyma, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la Cuisine et travailler sans cesse. Il fallait entre autres chose que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l'eau à une grande demi-lieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche.

Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire.

- Oui, ma bonne mère, dit cette belle fille.

Et rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l'eau au plus bel endroit de la fontaine, et la lui présenta, soutenant toujours la cruche afin qu'elle bût plus aisément.

La bonne femme, ayant bu, lui donne pour don, qu'à chaque parole qu'elle dirait, il lui sortira de la bouche ou une Fleur, ou une Pierre précieuse. Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard de la fontaine.

-Je vous demande pardon, ma mère,d'avoir tardé si longtemps dit cette pauvre fille

Et en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux Roses, deux Perles, et deux gros Diamants.

-Que vois-je là! dit sa mère toute étonnée; je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants; d'où vient cela, ma fille?

(ce fut là la première fois qu'elle l'appela sa fille).

La pauvre enfant lui raconta naïvement tout ce qui lui était arrivé, non sans jeter une infinité de Diamants.

-Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille; tenez, Raine voyez ce qui sort de la bouche de votre sœur quand elle parle, ne seriez-vous pas bien aise d'avoir le même don? Vous n'avez qu'à aller puiser de l'eau à la fontaine, et quand une pauvre femme vous demandera à boire, lui en donner bien honnêtement.

– Il me ferait beau voir, répondit la brutale, aller à la fontaine.

– Je veux que vous y alliez, reprit la mère, et tout à l'heure.

Elle y alla, mais toujours en grondant. Elle prit le plus beau Flacon d'argent qui fût dans le logis.

Elle ne fut pas plus tôt arrivée à la fontaine qu'elle vit sortir du bois une Dame magnifiquement vêtue qui vint lui demander à boire: c'était la même Fée qui avait apparu à sa sœur, mais qui avait pris l'air et les habits d'une Princesse, pour voir jusqu'où irait la malhonnêteté de cette fille.

-Est-ce que je suis ici venue, lui dit cette brutale orgueilleuse, pour vous donner à boire? Justement j'ai apporté un Flacon d'argent tout exprès pour donner à boire à Madame!

J'en suis d'avis, buvez à même si vous voulez .

-Vous n'êtes guère honnête, reprit la Fée, sans se mettre en colère;

Hé bien! puisque vous êtes si peu obligeante, je vous donne pour don qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un serpent ou un crapaud.

D'abord que sa mère l'aperçut, elle lui cria:

- Hé bien, ma fille!

– Hé bien, ma mère! lui répondit la brutale, en jetant deux vipères, et deux crapauds.

– Ô ciel! s'écria la mère, que vois-je là? C'est sa sœur qui en est cause, elle me le paiera!

Et aussitôt elle courut pour la battre.

La pauvre enfant s'enfuit, et alla se sauver dans la Forêt prochaine. Le fils du Roi, Mithos Yggdrasill, qui revenait de la chasse la rencontra et la voyant si belle, lui demanda ce qu'elle faisait là toute seule et ce qu'elle avait à pleurer.

-Hélas! Monsieur, c'est ma mère qui m'a chassée du logis.

Mithos , qui vit sortir de sa bouche cinq ou six Perles, et autant de Diamants, la pria de lui dire d'où cela lui venait. Elle lui conta toute son aventure. Mithos en devint amoureux, et considérant qu'un tel don valait mieux que tout ce qu'on pouvait donner en mariage à un autre, l'emmena au Palais du Roi son père, où il l'épousa.

*Coupure *

Yuan: On est sûr que c'est pas pour la thune qu'il l'épouse?

Mithos: Non

Yuan: J'ai du mal à te croîre

Mithos: je m'en fous

Bon je peux reprendre?

* Reprise *

Pour sa sœur, elle se fit tant haïr, que sa propre mère la chassa de chez elle; et la malheureuse, après avoir bien couru sans trouver personne qui voulût la recevoir, alla mourir au coin d'un bois.

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Alors?

Pronyma: Je recommence quand vous voulez!

Mithos: Mouais, comparé à mes autres rôles, celui là est l'un des meilleurs

Yuan: Enfin casé le beau-frère il était temps!

Martel: Pronyma, Mithos, à quand le neveu ou la nièce?

Les concernés rougissent

Alors cher lecteur( ou lectrice ^^) reviews?

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