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Tales of Symphonia for ever
9 janvier 2009

Chapitre 01: Préséa - par Salami

  Préséa aidait Régal dans sa société Lézaréno le jour,et retournait dans sa ville natale la nuit.L'homme du nom de Bryant avait accepté de redevenir directeur de cette immense entreprise à condition qu'il la modifie à sa façon.Il n'était plus question de faire quoi que ce soit avec les exsphères sauf détruire ce qu'il en restait,de sorte que cette lourde tâche ne soit pas impliquée qu'à Lloyd et Colette.Et il a bien expliqué à George et à ses ouvriers pourquoi,en leur annoncant,à la plus grande surprise de tous, que ces petites pierres étaient malheureusement fabriquées à partir d'êtres humains,et qu'il ne fallait pas que ce qu'il en restait tombe entre de mauvaises mains.

Pour pouvoir retirer ses menottes,il a demandé à Lloyd de le faire.Comment? En faisant une clef adaptée au trou de la serrure.Seul ce jeune epéiste est le plus doué dans les travaux manuels,on pourrait même dire qu'il est le meilleur.Du coup,faire une clef a été un jeu d'enfant.Tous le groupe étaient très surpris et content en même temps que Régal se décide enfin à retirer ses fers qui entravaient ses poignets.C'est pourquoi ils n'hésitèrent pas à lui en demander la cause.Eh bien...c'était dû à deux choses: aux nombreuses demandes de sa petite assistante qu'il chéri tant,et à la promesse qu'il avait faite à Alicia,la petite soeur de celle-ci.C'était au moment où le corps immatériel de cette dernière s'élevait de sa tombe,ne pouvant être libre et s'échaper des ténèbres à moins de détruire l'exsphère qui la retenait ainsi prisonnière.Il lui a promis qu'il garderait ses fers pour protéger Lloyd et les autres du mal qui les entourait à ce moment-là.Cela n'étant plus le cas,du moins c'est ce qu'il éspère,il a retiré ses menottes pour qu'il puisse mieux travailler dans son entreprise.

Jusqu'à maintenant,il n'avait jamais eu de problème qui le forçait à se battre une nouvelle fois.

 

 Cet aristocrate,plus très jeune maintenant (ben quoi?c'est vrai,non?), s'était énormément attaché à Préséa.Il lui avait même offert une chemise de nuit bleue,où il y était marqué ''Angel'' en grosse lettres italiques rouges orné d'une aile d'ange de chaque cotés du mot,qui lui arrivait jusqu'à ses genoux et qu'elle mettait tous les soirs avant de se coucher.Il s'occupait d'elle comme si c'était son propre enfant.Il ne pensait pas à son véritable âge,alors il la choyait comme une petite fille de douze ans.Ce qui agaçait parfois la jeune fille ayant en réalité vingt-huit ans, qui avait largement passé l'âge d'être bordée,sans pour autant le montrer car elle ne voulait pas vexer son ami.A plusieurs reprises,ce dernier lui avait proposé d'habiter chez lui pour qu'elle ne se sente pas trop seule,mais ses réponses furent toujours négatives.Si bien que le jeune directeur renonça,pour de bon,de lui imposer cela. Elle rajoutait qu'il y avait trop de souvenir,à Ozette,qu'elle ne pouvait quitter.Durant les pauses de la journée, elle demandait à être seule un moment.Régal la laissait faire.Il savait très bien où elle allait dans ses moments de solitude: c'était sur la tombe d'Alicia,sa soeur.Quelquefois,il l'accompagnait car il voulait voir aussi où reposait celle qu'il aimait.Lorsqu'elle avait fini son travail et qu'elle retournait chez elle,la jeune fille allait voir la tombe de son père et priait pour que son âme repose en paix.Mais elle ne priait pas que pour lui et sa soeur,elle pensait également à sa mère.Elle a rejoint les étoiles alors que Préséa n'était qu'une toute petite fille.Les deux jeunes soeurs tiennent plus de leur mère:les mêmes cheuveux longs roses,la même beauté et les mêmes traits de caractère,quoiqu'Alicia fut un peu plus téméraire et déterminée que sa soeur.Du contraire des yeux verts bleutés:elles les tiennent de leur père.

 

 Ozette venait d'être reconstruit et semblait même plus beau qu'avant.Ses villageois avaient légèrement changer d'attitude envers Préséa qui les avait aidé a rebâtir ce village.Ils s'étaient tous excusés auprès d'elle pour avoir été si méfiants et si méchants avec elle,et lui avaient promis qu'ils feraient tout pour qu'elle soit heureuse, ce qui la toucha tellement qu'elle en pleura.Certains lui faisait des signes amicaux par lesquelles cette dernière répondait d'un large sourire.Dès qu'elle arrivait dans ce village,les enfants jouaient avec elle.Ils avaient totalement confiance en elle.Et elle,pour les remercier,elle leurs racontait,chaque soirs,dehors,devant un bon grand feu qui les réchauffait tous,de merveilleuses histoires.Elles étaient toujours différentes,et si passionnantes que Régal restait parfois pour les écouter,fixant tendrement du regard sa petite assistante.Il trouvait tellement admirable qu'elle parvienne à inventer chaque soirs de nouvelles longues histoires qui sont de loin lassantes.Jamais elle ne parlait ou ne s'amusait autant,et il profitait de ces moments pour bien entendre sa voix si douce et si mignonne que les petits enfants,en plein extase,écoutaient en silence et avec beaucoup d'admiration.Elle faisait souvent des mimiques,illustrants ses contes,qui amusaient beaucoup les jeunes interressés.Le directeur de l'entreprise Lézaréno se réjouissait beaucoup de cette entente entre elle et les gens d'Ozette.Préséa était parvenue à être heureuse.

Mais...

 «-Haaah...Encore une bonne journée d'accomplie,n'est-ce pas Préséa?» dit Régal à l'interpellée.Ils avaient tous les deux finis le même travail qu'ils partageaient, et se reposaient un peu maintenant.Ils avaient commencés par s'occuper des exsphères qui se trouvaient dans la mine de la vallée de Toïze,et ils en étaient presque à la moitié.Après qu'ils auraient finis de tout ''balayer'',ils conserveraient ces machines, peut-être dans un musée,sous la demande de Raine qui s'indignait que l'on puisse encore utiliser ce qu'elle estimait être des reliques.A chaque fois que l'aristocrate et sa jeune secrétaire entraient dans cette mine d'exsphère,ils pensaient,en souriant, à cette chère archéologue qui avait un gros penchant pour les ruines en tout genre.A chaque fois qu'elle voyait un objet datant des temps anciens,elle l'argumentait par une longue histoire qui le retraçait,les yeux emplis d'admiration.

 «-Oui.» répondit simplement la petite fille.

 Ces derniers temps,Régal s'inquiétait beaucoup de l'état de Préséa.Elle ne disait presque plus rien,ne souriait presque plus,et ne le regardait plus aussi souvent qu'avant. Elle allait de moins en moins voir la tombe de ses proches et mangeait à peine.Ses histoires qu'elle contait aux enfants n'étaient plus aussi longues et passionnantes qu'avant.Après la création du nouveau monde,elle avait un peu grandi, puis elle avait brusquement cessé...

Mais ce qui le tracassait le plus,c'était son regard.Elle avait,par moment,le regard vide._Pr_s_a

 «-Est-ce que ça va Préséa?»demanda l'homme aux cheuveux bleus à la petite fille.

Elle répondit par un hochement de tête positif.Après un petit moment de silence,elle finit par dire:

 «-Je veux...rentrer.»

 «-A Ozette? maintenant?mais tu ne reste pas dînner avec moi comme à ton habitude?»s'étonna Régal.

 «-Non...aller à Ozette...rentrer à la maison...»dit brièvement l'enfant.

Il y eu encore un petit moment de silence,puis,Régal décida finalement de la ramener chez elle.

 

 «-Merci Régal...»le remercia Préséa après qu'il l'ai déposé au village.Ce dernier fit mine de repartir chez lui,mais sa jeune assistante l'arrêta en lui posant brusquement cette question:

 «-Attends!J'ai...je voudrais te demander...ces derniers temps,me trouves-tu...bizarre?»

Lorsqu'il vit que la bûcheronne,pour la première fois depuis son changement d'attitude,le regarda dans les yeux avec insistance,le noble écarquilla brièvement les siens.Puis,il fronça légèrement ses sourcils bleus et répondit:

 «-...mmmh...disons que je commence à m'inquiéter à ton sujet.» Cette réponse franche ne choqua guère Préséa,mais elle le regarda toujours avec cette étrange insistance.Il y eut un petit moment de silence. «Tu...tu as une autre question à me poser?» interrogea l'amant d'Alicia qui trouvait que le temps s'était rafraichi.

 «-Non.Tu peux partir.Mais merci... Régal...»

 «-...Il n'y a pas de quoi.Alors à demain.Bonne nuit.»

 «-Oui,bonne nuit.» et elle le regarda se diriger vers la sortie d'Ozette,jusqu'à ne voir qu'une ombre puis plus rien,ses cheveux de couleur anormal volant au vent froid du soir.

Et cette fois-ci,les enfants n'auront pas du tout d'histoires merveilleuses avant de s'endormir.Et cette fois-ci,elle n'annoncerait à personne qu'elle était de retour au village.Elle se sentait,pour la première fois de sa vie,étrangement fatiguée et légèrement chancelante.Pourtant,elle avait passée une journée comme les autres.Mais elle ne se sentait vraiment pas bien,surtout pour raconter une histoire,et Régal l'avait sûrement remarqué.

Et la petite fille aux couettes roses se dirigea vers sa maison,ne négligeant pas,cette fois,d'aller voir son père à son passage.Elle lui fit alors une petite prière,et murmura:

 «-Papa...Alicia...Mais que m'arrive-t-il encore?»

 

 

Auteur: *soupir*...ma pauvre petite Préséa...moi je sais c'que tu as vu qu'j'suis l'auteur...

Au fait,je tiens à te remercier Colette Brunel!^^ Ton fanart m'a beaucoup inspirée dans la façon dont allait être la chemise de nuit de Préséa.(Je tiens même à m'excuser de t'avoir prise cette idée sans ta permission.Tu m'excuses,dis?)

Ici, j'ai fais les jambes de Régal TROP PETITES-EUH!Ouinnn!c'est pô juste!!*sniif*

Sinon,j'trouve que y a trop de dialogue et pas assez de texte...j'ai tendance à faire ça.Qu'en pensez-vous vous autre?

-...*Big vent*...

Auteur: ...-_-''...*GROS soupir* y a vraiment des fois où j'me sens un peu seule...

 

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9 janvier 2009

Introduction - par Salami

Quelques années se sont écoulées depuis la réunification des deux mondes: Sylvarant et Tésséha'lla.Dès lors,nous n'avions plus entendu parler du rite de la régénération du monde,des élus,des monstres,des désians et des fermes humaines.Ce qui était une bonne nouvelle puisque cela signifiait que le nouveau monde,appelé maintenant «Sylvaha'lla»,était prospère.

Ce nouveau monde est,maintenant,beaucoup plus vaste et plus grand que Sylvarant ou Tésséha'lla.La terre y est plus riche et plus belle,alors c'est un plaisir de cultiver là-dessus.De nouvelles belles éspèces en tout genre sont apparues:fruits,légumes,plantes,animaux,minéraux,etc... .Le peuple y vit,heureux.La paix a de nouveau régné.Pour combien de temps?personne ne le sait.Mais il en viendrait à supposer qu'elle durera pour toujours.Il faut seulement que chaque êtres y mettent du sien,et qu'ils fassent tout pour éviter une nouvelle guerre.Il ne faut pas qu'une guerre semblable à celle qu'ils ont tous subies commence à pointer.Il faut respecter et garder cette paix qu'ils ont eus tant de mal à avoir.

Mais même si cette guerre n'avait plus de raisons d'être,les mentalités,elles,ne changaient pas malheureusement. Ou plutôt,elles prenaient un certains temps pour comprendre à quel point il était absurde d'opprimer les êtres vivants pour ce qu'ils sont.L'harmonie revint petit à petit.Le monde entier commençait à s'accepter.

Les responsables de cette paix se sont promis de garder ce monde régénérer en effectuant leurs autres promesses.

 

Colette Brunel,cette jeune fille aux cheveux blonds aux yeux bleus utilisant comme arme des ''chakrams'' (sortes d'armes tranchantes à la forme circulaire),vêtue d'une robe longue jusqu'à ses genoux,d'un pantalon noir, et d'un long manteau blanc aux bordures bleues dont des épaulettes triangulaire qui pendouillent sont même couleurs,et à ses maladresses habituelles,elle parcourt le monde avec Lloyd Irving,un adolescent aux cheveux bruns et aux yeux noisette, aux habits rouges boutonnés de partout, qui a un cratère a la place de l'estomac et n'est pas plus intelligent qu'une poule,en l'aidant à ramasser les exsphères pour les détruire. Kratos Aurion,ayant apparement un lien familial avec Lloyd,est un assez grand homme aux cheveux et aux yeux de même couleurs que son chère fils,à l'habit fabriqué par les anges du Cruxis (il y a pleins de ceintures qui servent à rien), et à l'air sérieux et toujours impassible (ce qui est,d'ailleurs,très énèrvant) mais qui se la joue un peu avec son épée longue et fine en fer (il faut dire qu'il ne le fait pas exprès!),qui prend le poste de chef sur Derris-Kharlan à la suite d'un fâcheux décès de celui du précédent,paix à son âme...(le pauvre...si jeune et déjà victime de la maladie daltonienne-paranoya-psycho-bazookanienne à tendance kamikase et qui vous fait la technique de la-mort-qui-et-qui-déchire-sa-mémé...).Raine Sage et son petit frère,Génis,qui ont tout les deux les cheveux blancs aux yeux bleus mais qui sont totalement différents question cuisine,sont de très bons magiciens (l'une utilisant un bâton et l'autre portant un bilboquet surnommé ''kendama'')à la race dûe à un mélange d'un humain et d'une elfe, qui parcourent,eux aussi,le monde afin d'essayer d'y faire accepter les demis-elfes (bon courage!). Tandis que Sheena Fujibayashi,cette jeune femme invocatrice d'esprits originels à la chevelure noire violacé et au GROS détail qui montre qu'elle est bien de carrure féminine,a également pris le poste de chef à Mizuho (elle a même des vêtements qui vont avec) et perfectionne, désormais,le réseau d'information de son village.Zélos Wilder,ce jeune homme,qui préfère utiliser les stylets comme arme (pauvre chochotte va!), aux cheveux rouges et aux habits à la couleur digne d'une fille,s'est décidé de plus s'occuper de sa chère petite soeur,Sélès.Cette dernière n'est,en réalité,que sa demi-soeur du côté de son père,et elle n'appréciait pas vraiment que son demi-frère la laissait seule,sans raisons,alors qu'elle aurait tellement aimé qu'il joue ne serait-ce qu'une fois avec elle.Ce dragueur en herbe,qui était autrefois l'élu de Tésséha'lla,veille,dorénavant, à ce que son peuple ne méprise plus les demis-elfes.Il aide Raine et Génis en quelque sorte.Bien qu'il ne soit plus l'élu,il est considéré comme tel en continuant à vivre dans le luxe et la joie de se faire de nouvelles groupies.Quant à Préséa Combatir,la petite fille orpheline aux cheveux roses,habillée d'une tunique sans manches grise aux bordures noires qui arrive jusqu'à ses genoux,qui peux manier les haches les plus lourdes du monde grâce à son cristal du Cruxis qu'elle porte à son cou,elle aide Régal Bryant,un sage homme aux cheveux et aux yeux bleus,simplement vêtu d'un pantalon vert kaki et d'un haut blanc ne servant qu'à recouvrir ses big pectoraux,qui a décidé de retirer ses fers après la réunification des deux mondes,dans l'entreprise Lézaréno de ce dernier.Mais elle ne fait pas qu'être son assistante,elle aide également les habitants d'Ozette à reconstruire ce village en essayant de le rendre encore plus beau qu'avant.

N'oubliez pas tous ces héros qui ont vaincu Mithos,dit ''le seigneur Yggdrasill'',le frère de la déesse Martel,dans le but de sauver ce qu'étaient autrefois Sylvarant et Tésséha'lla.Ils ont mis fin à son rêve égoïste:être tous des Préséa en mode ''empty soul''!(Brr!rien qu'd'y penser ça m'fout les choquottes!!)Euh bref, n'oubliez pas Kratos,un des quatre Séraphins et son fils Lloyd.Souvenez-vous que ce jeune epéiste,juste avant qu'il ne prononce son dernier souhait à l'Epée Eternelle,à découvert de magnifiques ailes lui poussant soudainement dans le dos,grâce à l'exsphère spéciale que sa mère lui donné avant sa mort.N'oubliez pas non plus les majestueuses baffes de Raine et les plaques rouges sur la joue de Génis.Sheena et son corps de déesse (et encore!même Martel n'a pas un corps aussi parfait!!),et l'humour subtil de Zélos et ses convoitises habituelles.Ce jeune homme au charme rare,qui a gardé ses belles ailes douces et légères d'anges, a bel et bien trahit ses amis,mais contre son plein gré et pour une bonne cause.Et ne perdez pas en mémoire Préséa.Son corps de jeune fille de douze ans cache une sage mentalité de vingt-huit ans.Le son de sa voix qui sortait très rarement de sa bouche nous faisait sentir son lourd et triste passé.Rappelons-nous qui sont les quatre Séraphins qui ont mis fin à la guerre d'il y a quatre mille ans:ce ne sont autre que la déesse Martel,son frère Mithos,Kratos et Yuan (le soi-disant ''fiancé'' de la grande déesse).Et le reste vous pouvez l'oubliez,c'est sans importance. ... Bon,d'accord,si vous le voulez tellement...Gardez à l'esprit la chevelure longue et blonde volante au vent de Colette,ses petites blessures qu'elle se faisait lorsqu'elle tombait maladroitement,et ses questions et réponses toujours niaises.Il y a aussi la manie de Régal à sans arrêt être à côté de Préséa (dégage le vioque!c'est MA Présy alors pas touche!!) qu'il ne faut pas éloigner de sa mémoire. Voilà,content?Bon.

 

Ils travaillaient tous avec beaucoup d'acharnement,de détermination et de bonne volonté.Ils avaient tous une lueur d'espoir sur ce que donnerait leur travail.Ils n'oubliaient pas ce qu'avait quémander la déesse Martel:ils priaient tous les jours et adoraient l'Arbre Géant de Kharlan.Ils ne semblaient pas tous inquiets.Du moins,c'est ce que l'on pensait...jusqu'au jour... où...

 

Auteur: J'avoue que pour un chapitre court,c'est court...bah,de toute façon,c'est même pas un chapitre...c'est une introduction...mais bon,j'aurais quand même pus essayer d'en rajouter!

Pour votre information, ''empty soul'' en anglais veut dire ''âme vide''.''Empty'' pour ''vide'',et ''soul'' pour ''âme''.J'adooooore cette qualification que l'on donne à ma Pré-pré! *yeux en coeur*

Et j'ai également l'impression que je baragouine dans ce que j'ai écris...bah,personne n'est parfait comme on dit.Surtout pas moi!

Mithos: Dis-donc toi! Ça t'amuse de faire croire à tout le monde que j'ai été victime de la maladie daltonienne-psychochépakoi-fatal bazooka truc muche et que j'te fais l'attaque de-la-mort-qui-tue-et-qui-déchire-sa-grand-mère!?Alors que j'me suis juste fais *bip* par mister Lloyd et compagnie!

Auteur: Ah t'es là toi.Ben,dans un certain sens...oui! Ça m'amuse énooormément!et pis avoue qu'tu l'étais quand même un peu...Niark niark! De toute façon,t'étais même pas jeune!t'avais plus d'4ooo ans!! t'es qu'un pauvre vieux en pleine décomposition! Regarde!tu mets de la poussière partout!!c'est normal que t'es attrapé cette maladie IN-CU-RABLE!en plus de ça,t'as la maladie d'Alzheimer! MOUAHAHA!!!

Mithos: QUOI! Non mais je vais la... rooh et puis zut! Et puis d'abord,comment ça se fait que j'te parle si je suis normalement mort?d'abord...

Auteur: C'est bien c'que j'me demande aussi depuis tout à l'heure...

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9 janvier 2009

Sheena avec ses cartes - par Salami

Sheena_avec_ses_cartes

9 janvier 2009

Préséa en pleurs devant la tombe de son père - par Salami

Presea_en_pleurs_devant_la_tombe_de_son_p_re

9 janvier 2009

Chapitre 02: L'éveil - par Ludovika

 Un millénaire plus tard, pendant l’hiver…

Tesséha’lla, Ozette, Musée National de la Réunification…

 

Le Demi Elfe s’arrêta devant un mur où s’étalait le descriptif des quatre Anges du Cruxis. Yuan…Un sourire s’étira sur ses lèvres. A ses côtés, Hellen, une jeune femme qui travaillait pour lui, jouait distraitement avec une mèche blonde ayant échappé à sa longue natte qui dépassait de son bonnet. Yuan n’avait pris que quatre hommes de plus avec lui, ce serait amplement suffisant. La première, Hellen, était habillée en étudiante : bonnet à pompon, collants noirs, jupe de laine courte, … Bien qu’elle ait dépassé la vingtaine, le costume lui allait comme un gant. Quand à Jonathan et Clev, ils observaient avec grande attention des débris d’exsphères appartenant autrefois à des Desians.

- Qu’est-ce qui te fais rire ? Demanda Hellen, sa voix sérieuse contrastant vivement avec la douceur qu’elle dégageait.

Yuan montra du doigt la représentation approximative que des artistes avaient faite de lui.

- Tu trouves que je ressemble à cette chose ?

La jeune femme braqua sur lui ses yeux céruléens puis eut une mimique amusée.

- Eh bien… Vu sous cet angle, j’avoue que la ressemblance n’est pas frappante. Mais d’un autre point de vue, les peintres t’ont imaginé terrifiant alors… Je suppose que c’est la cause de tous ces muscles disproportionnés… Et de ces étranges cornes qui te sortent du crâne.

- Et je ne suis pas chauve, ajouta-t-il à la liste.

Ils échangèrent un sourire complice.

- Chef ? Demanda quelqu’un dans leurs oreillettes.

C’était Ygra, le quatrième compagnon. Le jeune Elfe était devant la prison. Au centre de la pièce, il y avait un énorme cube de pierre noire, d’une hauteur de trois mètres et d’une largeur identique. Sur chaque face, sur chaque centimètre carré étaient inscrites d’anciennes runes destinées à retenir une puissance inhumaine… L’objet semblait absorber la lumière de la pièce et une aura étrange l’entourait. « C’est chose est une abomination… » Pensa Yuan.

- On t’écoute, confirma Hellen assez bas pour que les visiteurs ne les entendent pas.

- Bon, j’ai préparé le sort. L’explosion devrait être assez puissante pour détruire le bloc mais je ne peux pas garantir que l’Ange ne sera pas blessé, ni les autres personnes.

- On fera avec, il n’y a pas d’autre solution, dit Yuan.

- Tout le monde est prêt ? Demanda Hellen.

- Prêt, lança Jonathan.

- Prêt, confirma Clev.

- Prêt.

 A la base de son cou, le cristal du Cruxis de l’Ange se mit à briller et l’exsphère sur la main d’Hellen fit de même. Au centre de la pièce, des runes luirent sur la face de la prison sur laquelle Ygra se concentrait. Et soudain, la détonation retentit. Le sol trembla et les visiteurs courraient vers la sortie. Mais au milieu de ce tumulte de pierre et de poussière, Yuan et Clev, un humain d’une carrure impressionnante, se précipitaient vers le cube noir dans lequel se dessinait un énorme trou alors que Hellen et Jonathan, le frère de Clev, surveillaient l’entrée pendant qu’Ygra leur préparait une évasion par les sous-sols. A peine quelques secondes plus tard, Yuan sortit, suivit de Clev qui portait un corps inerte sur son dos.

- Ygra ! Hurla l’Ange.

- Explosion !

Quand les flammes du sort disparurent, ils se laissèrent tomber quelques niveaux plus bas.

- Allez, on y va ! Les exhorta Yuan alors qu’ils se mettaient à courir dans l’obscurité.

 

 

Base renégate de Flanoir…

Bip… Bip… Bip… Le son répétitif s’immisçait dans sa tête. Bip… Bip… Bip… Le bruit ne s’arrêtait pas. Il n’y avait rien d’autre. Bip... Bip… Bip… Ses paupières, il devait ouvrir ses paupières. Un peu de concentration lui permit seulement de remuer le bout des doigts. Où était-il ? Depuis combien de temps était-il… ? Est-ce que… ? Il inspira profondément, soulevant son torse, avant d’expirer en une sorte de gémissement. Fff… Clap, clap, clap, clap, clap… Fff… Deux personnes venaient d’entrer dans la pièce. Il tendit ses sens pour capter leurs murmures.

- On dirait que nous avons évité de gros ennuis, dit une voix féminine.

L’autre soupira, c’était un homme. Il était certain de connaître son odeur si familière.

- Mais maintenant, nous avons l’autorisation du sénat pour le réhabiliter. De toute façon, l’histoire est devenue une légende et la légende est devenue un conte pour gamins. Tant qu’il ne cause pas de problèmes, il vivra.

Il fut soudainement assaillit de souvenirs : une guerre, deux mondes, une planète solitaire, … Lentement, sa mémoire se remettait en place, classant soigneusement les événements dans le bon ordre, lui rappelant les moindres détails. Un autre gémissement lui échappa et les deux autres cessèrent de chuchoter.

- Il se réveille déjà ? S’alarma la jeune femme.

- Vérifie les scans et appelle quelqu’un.

- Très bien.

La femme quitta la pièce.

- Laisse-moi deviner, dit-il à l’homme restant dont il se souvenait désormais, plus ou moins un mètre quatre-vingt, des yeux cyan, des cheveux bleus, et, à en juger par le bruit que font tes chaussures, tu es plus un chat de salon qu’autre chose. Mh… Yuan, pas vrai ?

L’Ange ne lui répondit que par un ricanement suivit un coup de pied sur le lit où il était allongé.

- Tu reviens d’entre les morts après un millénaire et c’est la seule chose que tu trouves à dire ? Charmant, ironisa le Demi Elfe.

- Mon vieil ami, pourrais-tu m’aider à ouvrir les yeux ? Demanda-t-il, étonné d’entendre sa voix si rauque.

- Bien sûr, mon vieil ami.

Il s’approcha et Kratos sentit des doigts se poser sur ses paupières. Lentement, la lumière atteignit ses yeux. Ils étaient dans une chambre. Les murs étaient métalliques et deux fauteuils étaient disposés autour d’une table devant une fenêtre aux rideaux tirés. A côté de lui, un moniteur contrôlait son rythme cardiaque avec des petits « bips » incessants. Yuan le regardait, une ride de scepticisme barrant son front. Mais un sourire moqueur remplaça vite son inquiétude.

- N’empêche, je préfère être un chat de salon, boire de bons alcools et rencontrer des femmes intéressantes que d’être un vieux loup décharné à l’humour dépassé.

Kratos leva les yeux au ciel, la bonne humeur planant sur son visage.

- Je n’aurais jamais pensé dire ça un jour mais je dois avouer que tu m’as manqué, lança-t-il dans l’humeur générale.

- Je t’en prie, ne me force pas à te rendre à la pareille, railla le Demi Elfe en dégageant une mèche bleue de son visage avec une élégance exagérée.

Ils laissèrent planer un silence léger. Prenant appui sur ses coudes, le mercenaire se redressa assez pour pouvoir parler face à Yuan. Il marqua une hésitation puis aborda enfin le sujet qui, sans qu’il ne le sache, tordait les entrailles de son ami.

- Yuan… Lors du procès, j’ai vu que tu avais donné un cristal à Lloyd. Où est-il ?...

Le concerné tiqua et un voile glacé remplaça la bonne humeur sur son visage. Lentement, il rapprocha un des fauteuils du lit et s’y assit presque douloureusement. La tête baissée, il respira à profondément avant de lever les yeux vers Kratos.

- Qu’est-ce qu’il s’est passé ?

- Tu as entendu, au procès, que Lloyd devait être placé dans une famille.

- Oui.

- Les premières personnes à avoir obtenu la garde ont été Zélos et Sheena, ils ont du se battre une année entière pour y arriver. Après, il y en a eu d’autres, tu sais, avoir un héros dans sa famille est devenu une sorte de marque de prestige. Enfin… Nous nous sommes toujours arrangés pour garder un œil sur lui. Ca fait quelques temps que nous n’avions plus eu aucune nouvelle alors j’ai contacté sa famille actuelle. Il avait été placé là en urgence parce que ses précédents parents pratiquaient la magie noire. Ils ne nous ont pas répondu et quand nous sommes allés sur place, ils étaient morts…

- Et Lloyd ?

- Pas une seule trace de lui. Mais vu l’état des cadavres, son ancienne famille est venue le récupérer…

- Tu veux dire qu’il est entre les mains de mages noirs ?! S’alarma le mercenaire.

- Oui, et…

Kratos arracha rageusement les fils accrochés à son corps et repoussa la couverture pour se lever.

- Kratos ! Tu n’es pas encore en état… Soupira Yuan.

Ignorant ses mises en garde, il posa les pieds sur le sol. Mais sitôt debout, il chancela dangereusement et sentit la pièce tournoyer. Le Demi Elfe lui bloqua les épaules sur le lit et il vit des étoiles danser devant ses yeux, trop faible pour lui résister.

- Laisse-moi, grommela-t-il avec peine, Lloyd est un Ange, tu sais tout ce que ces ordures sont capables de lui faire…

- Je sais, mais de toute façon, nous ne savons pas où ils sont en ce moment et te tuer ne l’aidera pas.

La porte coulissa et la jeune femme qu’il avait entendue entra dans la pièce. Elle portait une chemise blanche et un pantalon gris poussé dans de fines bottes noires laquées. A son bras, elle tenait une veste sombre d’aspect militaire. Son visage était fin et harmonieux, encadré de quelques mèches blondes échappées d’une longue natte. Elle étudia Kratos de ses yeux céruléens.

- Kratos, je te présente Hellen, mon assistante. Elle a aussi participé à ta libération.

Le mercenaire la salua d’un hochement de tête, elle-même lui rendant la pareille.

Yuan saisit une ceinture de cuir pendant au lit et entreprit d’entraver les poignets de son ami alors que la jeune femme s’occupait de ses chevilles.

- Ce n’est que par pure précaution, expliqua le Demi Elfe, même si tu as été légalement réhabilité, le pays est encore en état d’alerte. L’Etat a affirmé qu’il n’y avait jamais rien eu dans la prison et qu’un groupe anti-réunification l’avait fait explosé pour son symbolisme. De plus, je suis certain que si je te demandais de ne pas partir à la recherche de Lloyd, tu ne m’écouterais pas.

Kratos ne dit rien mais approuva, quoique rageur de ne pouvoir se lancer à la poursuite des mages noirs. Le Demi Elfe et la jeune femme quittèrent la pièce. Mais avant même que l’autre Ange ait pu soupirer, celui aux cheveux bleus passa sa tête par la porte.

- Pas bouger, gronda-t-il, pointant sévèrement son index vers lui.

Puis il repartit, laissant Kratos seul face à mille ans d’un noir absolu.

 

Kratos prit un poignard et le mit dans sa botte. Devant lui, plusieurs armes étaient disposées sur une table métallique. Jaugeant une épée qui lui semblait de bonne facture, il la glissa dans le fourreau qui pendait à sa ceinture.

- Je crois que celle-ci sera plus efficace, dit Yuan en lui présentant une arme dans un étui de soie noir.

Le mercenaire plissa légèrement les yeux pour tenter de décrypter le regard de son ami puis, il défit le tissu et se saisit de sa vieille épée.

- Flamberge… Lâcha-t-il dans un souffle.

- Lloyd nous l’avait confiée, ainsi que la Vorpal. Les laisser dans la nature était trop dangereux.

L’humain contempla l’arme. Des flammes semblaient danser à l’intérieur du métal, courant le long de la lame en lui offrant la beauté du feu. Sa poigne se raffermit sur la garde de Flamberge et il se débarrassa de l’autre épée.

 Ensuite, Kratos se tourna vers un grand miroir. Il portait des vêtements noirs renforcés de cuir par endroits et une cape épaisse recouvrait son dos et son épaule gauche. Alors qu’il enfilait distraitement des mitaines, il s’étonna lui-même de l’expression sinistre rendue par son visage émacié.

- Tu devrais peut-être te couper les cheveux, ironisa Yuan.

Le mercenaire jeta un coup d’œil à la longue chevelure carmin qui atteignait ses cuisses. Un soupir d’exaspération lui échappa.

- Dans le fond, ça te va plutôt bien.

L’humain ne répondit rien et tourna les talons vers la sortie. Le Demi Elfe leva les bras au ciel.

- Même après cinq mille ans, j’ai toujours l’impression de parler à mur !

Kratos fit volte-face, fusillant Yuan de son regard rouge.

- Dépêches-toi et dis-moi où étaient les mages noirs avant de disparaître !

 

Yuan le fit monter dans un engin qui avançait grâce au même principe que les ptéroplans, mais en beaucoup plus grand. Ils survolèrent plusieurs villes, éclatantes de blancheur et d’activité. Son ami lui expliqua que l’Arbre de Kharlan produisait énormément de mana, ce qui permettait non seulement à la nature de se développer, mais aussi à la technologie de fonctionner sans toucher l’environnement. Le monde et les hommes vivaient ainsi en équilibre parfait.

Après une petite heure, ils dépassèrent Meltokio, en direction du Temple de l’Obscurité. L’engin se posa dans une clairière, près des montagnes. Quand Kratos descendit, il dégaina son épée et saisit sa longue chevelure. De longues mèches rouges glissèrent au sol.

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9 janvier 2009

[OS] Flocons - par Ludovika

 

 Au-dessus de Meltokio, des nuages cachés par l’ombre de la nuit offraient leur pluie immaculée à la capitale. Les toits étaient blancs et la rue glissante, mais, malgré la neige et le froid, la métropole restait très animée, même plus qu’à l’accoutumée. Elle était bondée d’habitants, de couples et de familles louvoyant gaiement dans les boutiques et autour des sapins. Partout les façades étaient décorées et illuminées par des guirlandes élémentales. C’était le premier Noël depuis la réunification des deux mondes et il promettait déjà d’être mémorable.

Mais, bien que ce soit une fête de joie et de générosité, certains n’arriveraient malheureusement jamais à s’entendre…

- Zélos ! Tu n’es qu’un… qu’un sale pervers ! Vociféra Sheena.

- Pervers, j’en convient, mais, personnellement, je me trouve plutôt propre. Tu veux venir vérifier ? Plaisanta le roux. Ma délicieuse petite madame Noël en sucre !

Un objet volant non identifié traversa la pièce pour aller s’écraser avec grand fracas contre un mur. Le manoir Wilder comptait désormais un vase de moins.

- Voyons, ne te mets pas en colère, je croyais juste que ce joli costume était mon cadeau, rigola l’élu en évitant un deuxième projectile.

A la porte, Génis avait suspendu son mouvement, la main à quelques centimètres de la porte. Le jeune Demi Elfe soupira avant d’enfoncer son menton dans son écharpe. Derrière lui, les autres compagnons masquaient difficilement leur sourire, remontant leur col pour qu’on ne voie plus que leurs yeux brillant d’amusement.

 Finalement, il cala correctement son bonnet sur sa tête et prit son courage à deux mains.

- Génis ! Comme ça fait plaisir de te voir ! Oh ! Vous tous aussi !

Zélos l’avait doublé, sûrement en quête d’un quelconque espoir de fuite.

- Reviens ici ! S’époumona la jeune femme à l’intérieur.

Un sifflement au-dessus de la tête du jeune mage lui indiqua qu’il aurait été la victime innocent du jour s’il avait été un peu plus grand.

- T’as vu comme Sheena est de bonne humeur ? Une bataille de boules de neige s’impose, hé hé !

L’élu fit entrer toute la compagnie.

- Tiens, tu ne nous avait pas prévenus qu’ils seraient là, dit Raine en apercevant les deux autres invités.

Dans le salon, les deux derniers Anges du Cruxis, Yuan et Kratos, encore dans ses habits du Cruxis, étaient confortablement installés dans de grands fauteuils, immobiles. Ils relevèrent la tête à leur arrivée, le premier levant son verre en guise de salut.

- Ouais, j’ai voulu les accrocher au sapin mais ils n’étaient pas d’accords !

- Tss… Stupide élu, dit Yuan, visiblement vexé.

- On accroche des Anges aux sapins à Tesséha’lla ? Demanda candidement Colette.

- Mais oui ma petite chérie ! Après tout, c’est l’Ange Gabriel qui est venu annoncer la naissance de Mithos !

- Balivernes, maugréa le Demi Elfe aux cheveux bleus entre ses dents.

Zélos ne cacha pourtant pas sa joie d’avoir touché l’un des compères dans son orgueil et c’est avec un sourire comme une banane, jusqu’aux oreilles, qu’il fit amener à boire et les fit asseoir.

- Au fait, vous n’auriez pas vu Lloyd ? Je l’avais aussi invité mais je n’ai pas eu de réponse.

Les compagnons s’entreregardèrent silencieusement. Génis prit la parole.

- Quand Dirk est mort, il y a environ six mois, il a dit qu’il avait besoin de se changer les idées et… il est parti.

- Nous pensions le retrouver ici, poursuivit sa sœur. Mais visiblement…

Zélos haussa les épaules.

- S’il voyage, c’est normal qu’il n’ait rien reçu. Franchement, je pense qu’on n’a pas besoin de se faire du souci pour lui.

Les autres ne répondirent pas.

- Bref ! Fit l’élu en se levant d’un bond. C’est Noël et j’ai des cadeaux pour vous !

- Des cadeaux ? Dirent en cœur les habitants de Sylvarant.

La bonne humeur du roux s’affaissa comme s’il venait d’apprendre la mort de quelqu’un, les yeux scintillants, au bord des larmes.

- Nous ne faisons pas de cadeaux à Noël chez nous, expliqua Raine. Nous en faisons à la fête de Martel, c’est-à-dire quand…

- Vous voulez dire que… vous n’avez rien pour moi ? Les questionna Zélos de sa petite voix enrouée. Ce sera la première fois que je ne recevrai rien à Noël….

- Il y a un début à tout ! Lança Génis d’un rire gêné.

L’élu ne bougeait plus. Un à un, il regardait chacun de ses compagnons, la mine défaite.

- Personne ne m’aime ! Hurla-t-il de désespoir.

 

Assis sur un des plus hauts toits de la ville, Lloyd inspira profondément l’air glacé de la soirée et regarda un gros flocon blanc fondre dans sa paume. Frissonnant, il resserra sa cape autour de lui. C’était un grand tissu brun clair qui lui arrivait aux mollets avec un col qui remontait jusqu’à son nez, entourant tout son corps comme un poncho.

Il entendit des bruits de pas et n’eut pas besoin de tourner la tête pour reconnaître son amie. Ayumi prit une des longues mèches de cheveux du garçon et la fit glisser entre ses doigts.

- Ca te va bien le blond, dit-elle avec un sourire amical.

Elle enleva un peu de neige du toit et s’assit à ses côtés. Enfin, Lloyd se tourna vers elle.

Ayumi était une jeune fille du même âge que lui, plus petite et svelte que les autres filles de la bande. Elle avait des yeux splendides, étirés tel les natifs de Mizuho, et à l’iris tellement sombre qu’elle se confondait avec ses pupilles. Sa peau était comme de la porcelaine et on la devinait douce comme de la soie. Encadrant son visage ovale, ses cheveux noirs et brillants étaient aussi longs que ceux du garçon, atteignant sa taille. A l’instar de Lloyd, elle avait revêtu une des grandes capes habituelles des jeunes maraudeurs de Tesséha’lla, mais plus foncée que la sienne.

Après l’initiation de Lloyd, ils étaient devenus des coéquipiers inséparables. Ayumi était d’une compagnie agréable, elle avait toujours une histoire à raconter lorsqu’ils s’asseyaient autour d’un feu après une longue journée et, étrangement, sa présence semblait redonner de la bonne humeur à tout ceux qui la rencontraient. Au départ, Lloyd avait eu peur de la déranger avec son constant air maussade.

Depuis le départ de son père biologique sur Derris-Kharlan et encore plus à la mort de son père adoptif, Dirk, il s’était sentit abandonné et n’avait cessé de se refermer sur lui-même. Heureusement, Ayumi avait le don de réconfort et, sans jamais demander les raisons de son attitude, son sourire lui mettait du baume au cœur.

- Allez, debout, on va faire un tour en ville ! Y a encore plein de richards à qui ont peut faire les poches !

Les deux amis se levèrent et coururent vers le bord de la toiture, leur chaussures souples ne laissant que peu de traces dans sur la poudreuse. Une fois arrivés, sans ralentir leur course, ils bondirent jusqu’au bâtiment voisin. S’aidant de l’environnement urbain, ils filaient à tout allure dans la nuit sur les toits pourtant couverts de neige. Après une dizaine de minutes d’une course effrénée, ils s’arrêtèrent. L’air froid les faisait grelotter dans leurs capes, ils se regardèrent et, sans prononcer un mot, ils décidèrent mutuellement de redescendre dans la rue pour rejoindre les autres.

- Où vas-tu ? Demanda Zélos en apercevant Kratos près de la porte, enfilant un long manteau clair au capuchon de fourrure.

- Je vais prendre l’air, répondit sèchement le mercenaire.

Kratos sortit.

- Tsss, toujours aussi sympathique celui-là, marmonna l’élu.

 

 L’Ange referma la porte derrière lui. Il devait faire terriblement froid cette nuit, mais la température ne l’affectait pas. Il se promena dans les rues principales de la capitale, entrant finalement dans un bar moins bondé que les autres mais néanmoins plus tranquille. Détachant son long manteau, il le posa sur un siège à côté de lui et s’assit au bar. Le gérant vint prendre sa commande.

C’était un homme de bonne taille et d’une carrure assez large. Il portait une chemise blanche enserrée par un singlet noir et son visage calme arborait une petite moustache.

- Monsieur, que puis-je vous servir ? Demanda-t-il d’une voix posée tout en essuyant un verre.

- Whisky.

- De Meltokio, des montagnes de l’Est ou du Nord ?

- Du Nord.

Le plus fort.

Kratos passa une main sur son visage. La pièce rectangulaire était chauffée par une grande cheminée sur le côté gauche. Les murs étaient sans tapisserie mais les briques acajou, les meubles de bois brut et les fauteuils mitonnés offraient aux clients cette impression d’être ailleurs, d’avoir quitté les habitudes mondaines de la capitale. Le bar occupait les deux tiers du fond de la pièce. Devant le bar et près de la cheminée, il y avait en tout six tables, pas de quoi en faire un endroit surpeuplé. Mais l’Ange appréciait cet endroit, le calme, les alcools classiques, …

Le barman lui apporta son verre. Le Kratos but une gorgée qui manqua de lui brûler la gorge. Il savoura cette sensation. C’était Yuan, il y avait plusieurs milliers d’années, qui lui avait appris à apprécier l’alcool alors qu’il n’était qu’un jeune mercenaire concourant avec ses amis pour savoir lequel pouvait boire une bouteille entière sans tanguer après. Ces souvenirs lui auraient tiré un sourire mais ce dernier préféra se cacher derrière l’habituel masque d’acier de l’Ange. Il reposa son verre.

Des rires. Tournant la tête vers la cheminée, il remarqua un groupe de jeunes, tous vêtus de longues capes. Au nombre de six, l’un d’entre eux était à genoux sur sa chaise, penché sur la table, le bras tendu, essayant de prendre son verre à un autre qui rigolait. Mais le regard écarlate du mercenaire remarqua un autre enfant, un jeune garçon aux longs cheveux blonds et aux yeux semblables aux siens qui s’était recroquevillé derrière ses amis quand son regard c’était posé sur eux.

Mine de rien, Kratos se détourna et, après quelques secondes, fit un signe discret au barman.

- Qui sont ces jeunes ? Demanda-t-il à l’homme, très bas.

Le barman jeta un coup d’œil discret près de la cheminée.

- Ce sont des gosses qui viennent d’un peu partout, personne n’a l’air de savoir s’ils ont une famille ou non. Ce ne sont pas vraiment des voleurs comme certains le disent. Ils travaillent parfois pour les hauts dignitaires en transmettant des messages privés ou secrets. Un peu tapageurs, mais pas méchants.

Le barman retourna à sa vaisselle.

Le regard du mercenaire se perdit au fond de son verre. Alors c’était ça qu’il était devenu. Une vague douloureuse manqua de le submerger. Kratos finit son verre d’une traite. Rapidement, il enfila son manteau et sortit sans un regard pour les jeunes près de la cheminée. Après tout, c’était son choix. Il n’avait pas le droit d’intervenir. Peu importe le mal que ça lui faisait. Il ne pouvait pas.

Il marcha ainsi jusqu’à une grande place au deuxième niveau de Meltokio, se persuadant que c’était mieux ainsi. L’air était glacé et son souffle faisait des volutes blanches dans l’air qui s’évanouissaient presque aussitôt. Lentement, il bascula la tête en arrière, face aux cieux parsemés d’étoiles. Quoi qu’il arrive, les étoiles brilleraient toujours, c’était un moindre réconfort. Il ferma les yeux. Même ainsi, il pouvait les voir. Le ciel n’avait depuis longtemps plus de secrets pour lui. Demain, il rentrerait sur Derris-Kharlan, surveillerait à nouveau les Anges dépourvus d’âme, resterait silencieux. Avec une douloureuse appréhension, il se libéra quelques secondes, sentit le poids de son cœur dans sa poitrine, se rendit compte une fois de plus de l’étendue de ses cicatrices. Il s’avoua enfin que ce destin l’effrayait. A force d’être loin de toute vie, il finirait comme eux, le regard vide, agissant mécaniquement, comme une machine. Il perdrait tout ce qui faisait de lui un être humain, toute trace de son passé.

Kratos ne se tracassait pas de ce que les gens pensaient de lui, il n’y avait personne à cet endroit. Il agrippa son manteau à l’emplacement de son cœur. Lloyd… Une bouffée de réconfort l’envahit. Il avait choisi de vivre ainsi et ça ne le dérangeait pas. Tout ce qui comptait, c’était qu’il soit heureux. S’il était heureux, alors sa longue existence trouverait son sens, son…

Un bruit dans la neige, le léger craquement habituel de pas sur la poudreuse. Lentement, l’Ange se retourna. Il était là, à quelques mètres de lui, dans sa cape brune, avec ses longues mèches blondes parsemées de flocons. Leurs regard se croisèrent, reflets l’un de l’autre, identiques. Le visage du mercenaire s’adoucit. Lloyd, les joues rosies par le froid, le regardait, muet, ses grands yeux écarlates emplis d’un triste mélange de peine et de reproche.

Le garçon esquissa un geste, mais se retint. Après quelques secondes d’un silence interminable, il sembla vouloir revenir sur ses pas. Kratos fit un pas dans sa direction. Le garçon se réintéressa à son père.

Kratos fit un deuxième pas, puis un troisième. Reprenant contenance, ses idées se remettant en place, il avançait avec plus d’assurance. Lloyd le regarda arriver sans bouger. En face de son fils, le mercenaire s’accroupit pour être à sa hauteur. S’il y avait un remède contre son mal, c’était la vie, son fils, son enfant adoré. Il posa sa main sur la tête du garçon. Sa paume glissa jusqu’à sa joue. Sa peau était froide.

Les yeux de Lloyd se remplirent d’une soudaine tristesse, brillants, de petites larmes scintillantes sur le bord des paupières. Sans crier gare, il se jeta au cou de son père, éclatant en sanglots. L’instant de surprise passé, Kratos referma ses bras sur lui, le sera contre son cœur, de toutes ses forces. Il n’avait plus envie de repartir.

 

 

Dans le manoir Wilder, seul l’élu était encore éveillé, même la jeune Séles était rentrée de sa virée entre amies. Peu fatigué, il s’était proposé pour attendre le retour du mercenaire et ce dernier ne tarda pas à rentrer.

Zélos regarda avec des yeux ronds les deux énergumènes qui venaient d’arriver. Kratos portait sur son dos un jeune garçon aux longs cheveux blonds mais au visage familier, endormi et emmitouflé dans son manteau.

- Qu’est-ce que c’est ? Le questionna l’élu en voyant le mercenaire emporter son paquet vers les chambres.

- Mon cadeau de Noël, répondit l’Ange, imperturbable.

- Qui te l’a donné ?

- Le Père Noël.

 

Lloyd ouvrit lentement les paupières. Un mince rayon de soleil était passé entre les rideaux de tulle qui en filtraient la majeure partie. Prenant appui sur ses coudes, il se redressa. Avec la lumière, les souvenirs de la vieille ressurgirent. Son père… Il jeta un coup d’œil dans la chambre, notant que son manteau était posé sur le dossier d’une chaise. Il était chez Zélos et, vu la hauteur du soleil dans le ciel, il ne devait pas être très loin de midi. Il y eut des bruits de pas dans le couloir puis quelqu’un entra. Kratos.

Son père s’avança et s’assit sur le bord du lit. Sans rien dire, il prit un objet dans sa poche et le lui tendit. C’était une petite clé dorée. Lloyd comprit et n’esquissa pas un geste. Kratos lui prit la main et y déposa la petite clé.

- Qu’est-ce que c’est ? Demanda innocemment le garçon.

- La clé d’un coffre à la banque.

Lloyd se retint de fusiller l’Ange mais ne put s’empêcher de lui rendre un regard dur. Il laissa tomber la petite clé sur les draps.

- Je n’ai pas besoin d’argent.

- Maintenant, non. Mais plus tard peut-être.

Sous les yeux ébahis de son père, Lloyd, en enfant buté, prit la clé et la lança à l’autre bout de la pièce. Il se laissa retomber sur le lit et tourna fermement le dos à son protecteur.

Sans se démonter, Kratos tendit la main et lui caressa les cheveux. Le garçon ne broncha pas. Comme Ayumi le jour précédant, le mercenaire fit glisser une longue mèche blonde entre ses doigts, un sourire en coin.

- En blond, tu me fais penser à Yggdrasill. Je préférais ta vraie couleur, brun, comme ta mère.

Lloyd se releva vivement, rageur.

- Arrête ! Maman n’est plus là !

- Lloyd…

- Tu vis dans le passé et tu te caches tout le temps derrière ! J’aime maman, mais elle est toujours entre nous ! C’est impossible de parler ! Impossible d’essayer de se connaître ou de se comprendre !

Le jeune garçon se dégagea rageusement des couvertures et se leva. Sur le lit, son père semblait pétrifié. Autrefois, il aurait donné cher pour pouvoir admirer cette stupeur peinte sur son visage. Mais aujourd’hui, c’était différent.

Lloyd ouvrit la porte-fenêtre, faisant volte-face pour toiser l’Ange une dernière fois, hurlant sa tirade finale.

- Je suis son fils ! Pas son fantôme !

Et il bondit à l’extérieur.

 

 

- Lloyd ?

Le jeune garçon, l’Epée Eternelle en main, s’était arrêté depuis quelques secondes alors qu’il était en train d’envoyer son père sur Derris-Kharlan pour la seconde fois. Lloyd baissa le bras, l’épée pointée vers le sol. Il lança un regard indifférent au mercenaire et, sans le quitter des yeux, il lança l’arme à ses pieds. L’Ange ne bougea pas. Lloyd haussa les épaules.

- S’tu veux y aller, t’a qu’à le faire tout seul, t’es assez grand pour m’abandonner encore une fois.

Il tourna les talons. Kratos se précipita et posa une main sur son épaule. Mais Lloyd se dégagea brutalement et le poussa en arrière, les joues inondées de larmes.

- La seule chose que je voulais c’était rester avec toi ! Cria-t-il de tristesse et de rage.

- Ecoute…

- Non ! Toi, tu écoutes ! Je me fous pas mal de ce que t’as fait ou de l’âge que tu as ! Tu comprends pas ce que je ressens ! T’es mon père, tu trouves ça anormal que je veuille être avec toi après avoir été séparés pendant plus de dix ans ?! T’as pas le droit de me refaire ça !

Le jeune garçon tomba à genoux, couvrant son visage de ses mains, agité de sanglots. Rapidement, Kratos vint à son côté et le prit contre lui, le serrant dans ses bras, le consolant, sans cesser de répéter : « Je suis désolé, Lloyd. Je suis désolé. »

- Arrête de pleurer, tout va bien, je reste avec toi.

Lentement, Lloyd se calma. Toujours dans les bras de son père, il leva ses yeux fatigués vers lui.

- Tu vas vraiment rester ?

- Oui, je te le promets.

Le jeune garçon se blottit un peu plus contre lui.

- Même si je n’ai pas de foyer pour toi…

- On n’a pas besoin de maison. On est ensemble, c’est ça notre chez nous.

Kratos lui releva la tête et lui montra un objet brillant dans sa paume. Un Cristal du Cruxis. Le regard de son père se fit plus peiné.

- Est-ce que tu veux vraiment vivre pour l’éternité, voir tous tes amis vieillir et mourir, endurer la jalousie de ceux qui te sont chers à cause de cela, regarder le monde et regretter les moments passés ?

Lloyd enfouit son visage dans le torse du mercenaire.

- Je me fous de vivre jusqu’à la fin des temps sur cette planète, Lloyd. Je resterai, si tu le veux encore, mais ne me demande pas de rester à tes côtés pour te regarder périr à petit feu.

Son fils se redressa et prit le cristal.

- Je n’ai pas peur, je suis avec toi.

Kratos déposa un baiser sur son front.

- Euh… dis, il y avait toute ta fortune dans le coffre dont tu m’as donné la clé ?

Son père lui lança un regard amusé.

- Non, seulement une petite partie. J’avais demandé à Yuan de quand même surveiller ce que tu allais en faire et de remplir le coffre en cas de besoin… Pourquoi ?

- Bah, euh, j’ai refilé la clé à une amie de Meltokio. Ca… ne pose pas de problème ?

Kratos lui ébouriffa gentiment les cheveux en se relevant.

- Ca posera problème si tu refuses de raccourcir ça. C’est quand même un peu long, tu ne trouves pas ?

Lloyd lui rendit un immense sourire.

9 janvier 2009

Régal -par Zélos sensei

r_gal_z_los_sensei

9 janvier 2009

Sheena de Noël - par Ariall

Sheena__3_by_Ariall

9 janvier 2009

Zélos de Noël - par Ariall

Zelos__3_by_Ariall

9 janvier 2009

Un peu plus sur... Ariall

moi_ariall


Hello les gens !

Donc comme vous devez le savoir, je me nomme Ariall (bah normalement vous le savez puisque vous cliquer sur mon pseudo pour tomber sur cette description ;p), je suis née un 15 mai 1989 (faites le calcul pour l'âge *huhuhu*, jpeux vous dire que c'était un lundi ensoleillé, mais qu'il a plu une fois que le soleil fut satisfait de m'avoir vu assez longtemps x3).

Je tiens de suite à dire "Non, mon pseudo n'est pas tiré de la police d'écriture que l'on peut trouver sur tous les ordis, na !"

C'est juste un pseudo trouvé avec une copine pendant un cours d'anglais, il y a quelques années...

Oui, je sais ma vie m'intéresse, mais fallait vous y attendre en cliquant ici xD
'fin bref...

Je dessine depuis un certain temps, et j'adore ça, plus encore, quand Tales of Symphonia est sorti en France je ne dessinais plus que ça, c'était ma source d'inspiration du moment, mais je vous épargne ces vielles mochetés pour seulement vous présenter mes dessins les plus récents ou que j'aime le plus, j'espère simplement que cela vous plaira aussi ^^

Soit dit en passant, je suis devenue une fan de ToS dès les premières images vues dans le Nintendo magasine ! (surtout de Kratos) en gros, jle suis depuis sa sortie avec 2 ptites années de plus ^0^

Que puis je vous dire d'autres ? Ah voui, j'aime écrire des fan fictions, alors attendez vous à en avoir.

Si vous avez la moindre question à me poser, n'hésitez pas, si je peux vous aider et vous répondre ça me fera extrêmement plaisir ^^

Ja ne les gens !

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